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Détails produits
Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles
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Auteur(s)
James Fenimore Cooper
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Traducteur
FRANCOIS HAPPE
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Éditeur
Gallmeister
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Distributeur
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Date de parution
23/08/2018
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Collection
Totem
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EAN
9782351786307
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Disponibilité
Disponible
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Nombre de pages
528 Pages
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Longueur
18 cm
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Largeur
12 cm
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Épaisseur
2.6 cm
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Poids
362 g
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Diffuseur
Hachette Diffusion
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Support principal
Poche
Infos supplémentaires : Broché
Biographie
James Fenimore Cooper
- Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Fenimore_Cooper
- Naissance : 15-9-1789
- Décès :14-9-1851 (Mort il y a 174 ans à l'âge de 62 ans)
- Pays : Etats-unis
- Langue : Anglais (etats-unis)
James Fenimore Cooper (1789 - 1851) est né à Burlington, dans le New-Jersey. Il grandit au manoir d'Otsego Hall à Cooperstown, dans l'état de New-York. Colon et homme politique, le père de Cooper avait fondé cette ville située sur la frontière, que le romancier décrira plus tard dans Les Pionniers. Après un début de carrière navale avortée, Cooper épouse l'héritière new-yorkaise Susan de Lancey et mène une vie de gentleman-farmer dilettante.
C'est suite à un pari avec sa femme qu'il se lance dans l'écriture : en 1820, il écrit Precaution, un roman dans la veine de Richardson ou de Jane Austen. Pris au jeu, il enchaîne avec The Spy, qui sera le tout premier ouvrage rédigé par un Américain à devenir un best-seller aux États-Unis comme à l'étranger, puis avec The Pilot.
En 1823, il commence à écrire ses romans les plus célèbres, qui constitueront le cycle de « Bas-de-Cuir » (Leatherstocking Tales) : Les Pionniers, Le Dernier des Mohicans et La Prairie. Ces livres retracent la vie d'un trappeur, Natty Bumppo sur fond d'histoire et de mythologie américaine (guerre d'Indépendance, recul des indiens, destruction de la Prairie). Selon de nombreux critiques, ce sont ces ouvrages qui marquent la naissance d'une littérature proprement américaine.
La fortune de Cooper est établie. De 1826 à 1833, il vit en Europe pour mieux pouvoir protéger ses intérêts en Grande-Bretagne. Il achève l'écriture de The Prairie à Paris ; son talent n'est plus à prouver et il est récompensé par un triomphe. Quand il rentre en Amérique, sa popularité est mise à mal par sa réputation de réactionnaire. En effet, il s'insurge contre la colonisation à outrance, la distribution de terres aux pionniers immigrants et l'évolution vers une démocratie industrielle, qui sapent les hiérarchies et les ressources naturelles - des prises de position à contre-courant de son époque.
Conservateur, il s'intéresse à la Prairie pour des raisons politiques. Il préfère que les terres de l'Ouest soient réunies en grands domaines qui garantiront l'ordre social, plutôt qu'elles soient redistribuées à des petits colons qui les défricheront. Cette idée s'exprime dans ses romans.
Il meurt en 1851, brouillé avec la démocratie américaine.