À propos

« Il y en a toujours un qui aime moins que l'autre, malheur au perdant. » Une jeune femme quitte son compagnon, cinéaste en panne de création doublement plus âgé qu'elle. Alors que l'homme ne cesse de rejouer le film de cette histoire d'amour qui lui a échappé, il prend conscience que ses plus belles années sont derrière lui. La femme aimée prend successivement les visages de l'amante solaire et ingénue ou de l'infidèle cruelle. Au terme de l'autopsie du couple, y aura-t-il une renaissance pour l'homme blessé ?

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Jean-Jacques Beineix

  • Éditeur

    J'ai Lu

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    14/01/2022

  • Collection

    Litterature Francaise

  • EAN

    9782290240311

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    320 Pages

  • Longueur

    18 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    2.3 cm

  • Poids

    222 g

  • Support principal

    Poche

Jean-Jacques Beineix

Jean-Jacques Beineix débute comme assistant-réalisateur de Jean Becker sur la célèbre série télévisée Les saintes chéries (1964-1967) puis sur Le Cinéma de papa de Claude Berri en 1970. Il demeure assistant-réalisateur pendant une dizaine d'années, auprès de René Clément pour La Course du lièvre à travers les champs (1971) ou de Claude Zidi sur L' Animal par exemple en 1977. Cette même année il réalise son premier court métrage : Le Chien de M. Michel récompensé par le premier prix du Festival de Trouville.
Son premier long métrage Diva réalisé en 1980 connaît un succès populaire couronné de quatre César en 1982. Son deuxième film La Lune dans le caniveau malgré sa sélection au festival de Cannes en 1983 sera un échec.
En 1984, à la lecture du manuscrit de Philippe Djian, il décide de réaliser 37°2 le matin dont l'actrice principale est Béatrice Dalle, jusqu'alors inconnue. Le succès du film et son interprétation la propulsent au rang de star. Il choisit Isabelle Pasco pour incarner le rôle-titre de Roselyne et les Lions en 1989 mais sans succès.
En 1993, IP5, il offre à Yves Montand son ultime interprétation. En adaptant le polar psychanalytique de Jean-Pierre Cattégno Mortel Transfert, il subit un revers critique et commercial.

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