Ce titre est destiné à un public majeur.

J'ai plus de 18 ans

Le capitalisme comme religion (réservé à un public averti)

Traduit de l'ALLEMAND par FREDERIC JOLY

À propos

"In God We Trust" : la formule orne les billets de banque américains. Mais qu'est-ce que l'argent a à voir avec Dieu ou la religion ? «Le capitalisme comme religion», l'un des textes les plus célèbres de Walter Benjamin, soutient que l'investissement, la spéculation, les opérations financières, les manoeuvres boursières, l'achat et la vente de marchandises, sont les éléments d'un culte et que le capitalisme est une religion à part entière. Les textes qui composent se recueil sont suivis du "Caractère fétiche de la marchandise et son secret", de Marx. Avec une préface de Baptiste Mylondo, philosophe et économiste, spécialiste de la décroissance et l'un des promoteurs du revenu minimum universel.


Rayons : Littérature > Littérature argumentative > Essai littéraire


  • Auteur(s)

    Walter Benjamin

  • Traducteur

    FREDERIC JOLY

  • Éditeur

    Payot

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    13/03/2019

  • Collection

    Petite Bibliotheque Payot ; Classiques

  • EAN

    9782228922975

  • Disponibilité

    Manque sans date

  • Nombre de pages

    144 Pages

  • Longueur

    17 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    0.9 cm

  • Poids

    92 g

  • Lectorat

    + de 18 ans

  • Diffuseur

    Actes Sud

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Walter Benjamin

Walter Benjamin est un philosophe, journaliste, critique littéraire, critique d'art et traducteur allemand, rattaché à l'école de Francfort. Il naît à Berlin en 1892 de parents juifs. Là, il participe activement au "Mouvement de jeunesse" antibourgeois. Il rejoint également le mouvement " Le commencement " ; c'est l'occasion pour lui de publier ses premiers textes sous le pseudonyme d'Ardor. Il fait des études de philosophie à l'Université de Berlin en 1912 et soutient sa thèse sur la critique d'art à l'époque romantique en 1918 à l'Université de Berne. Il commence à traduire Baudelaire en 1914. Dans les années 1927-1930, il se lie d'amitié avec Horkheimer, Adorno, et Brecht. La présence hitlérienne le pousse à effectuer de nombreux voyages, notamment en France. Il traduit alors Proust et Balzac. Il s'exile définitivement en 1933. Il tente de quitter l'Europe pour les États-Unis en 1940. Mais la nuit de son arrivée en Espagne, il est arrêté et se suicide en absorbant une dose mortelle de morphine, pensant que les autorités espagnoles allaient le livrer à la Gestapo.

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