La maison natale ; et autres nouvelles

Traduit de l'ANGLAIS par LOUISE SERVICEN

À propos

Le gardien d'une illustre maison désabusé par l'ineptie des hommes, la passion mortelle d'un jeune couple, un romancier en mal d'estime, un majordome ou encore une entremetteuse mondaine, font de La maison natale et autres nouvelles une galerie de portraits savoureux où les personnages sont souvent rattrapés par la réalité, médiocre ou misérable, de leur condition.
Explorant à la perfection les cheminements imperceptibles des êtres, la complexité de leur conscience et de leurs secrets, ce recueil rend compte de la prose minutieuse, parfois placée sous le sceau de l'étrangeté, de Henry James. On y retrouve les thèmes qui lui sont chers, ancrés entre la vieille Europe et la société américaine, où les héros n'existent réellement que par le rôle qu'ils jouent dans la société.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles > Nouvelles


  • Auteur(s)

    Henry James

  • Traducteur

    LOUISE SERVICEN

  • Éditeur

    Gallimard

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    21/03/2013

  • Collection

    L'imaginaire

  • EAN

    9782070140664

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    308 Pages

  • Longueur

    19 cm

  • Largeur

    12.5 cm

  • Épaisseur

    1.6 cm

  • Poids

    299 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Henry James

Né à New York en 1843, mort à Londres en 1916, Henry James qui prit la nationalité anglaise un an avant sa mort, est l'écrivain qui a dépeint le plus finement la distance, qui n'a cessé depuis de s'élargir, entre l'esprit européen et la sensibilité américaine. C'est à Londres où il s'établit à partir de 1876 qu'il écrit ses plus grands chefs-d'oeuvre. Une série d'études sur la femme américaine dans un milieu européen fut inaugurée par Daisy Miller (1878). Le thème opposant innocence américaine et sophistication européenne se retrouve dans Les Européens (1878), Washington Square (1880), Les Bostoniennes (1885) et « Reverberator » (1888) et atteint sa conclusion avec Les Ambassadeurs (1903) où la civilisation est définie comme « la tradition ininterrompue de culture que l'Europe occidentale hérita du monde antique ».
La Différence a publié en poche dans « Minos » : « Reverberator », Une vie à Londres, L'Autre Maison, Heures italiennes, Esquisses parisiennes, Le Sens du passé et La Scène américaine.

empty