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Via Romana
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Beaucoup de Français ne se sentent plus en France à Saint-Denis, Mantes-la-Jolie ou Marseille. Ils sont devenus étrangers chez eux et préfèrent l'ambiance de Prague, Budapest ou Lisbonne. Finalement ils se sentent Européens d'abord ! Européens de langue française. En novlangue, Français est devenu une simple notion juridique (la nationalité) et statistique. Un concept vidé de tout contenu historique et culturel. Européen renvoie, lui, à un contenu fort et charnel, un contenu spirituel et civilisationnel. La civilisation européenne est à nulle autre pareille : c'est la civilisation des libertés et de l'incarnation, la civilisation qui respecte la femme et voit du divin dans la nature, la civilisation des grandes découvertes. La préférence de civilisation, c'est mettre, au coeur de ses choix personnels et de l'action politique, la préservation et la transmission de l'héritage : c'est retrouver la mémoire européenne, c'est une école qui enseigne, une culture qui se ressource, des rites qui se réenracinent, des moeurs qui se défendent car elles sont plus importantes que les lois. La préférence de civilisation, c'est réaffirmer le droit des peuples européens à l'identité et à la continuité historique. Face au Grand Remplacement, au Grand Effacement, au Grand Chambardement, la préférence de civilisation, c'est le Grand Ressourcement. Trente ans après La préférence nationale, la préférence de civilisation est un livre qui fera date.
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Dictionnaire de novlangue
Jean-Yves Le Gallou, Michel Geoffroy
- Via Romana
- 24 Septembre 2015
- 9782372710183
Voici l'outil indispensable à qui veut comprendre le monde contemporain, livrer la bataille du vocabulaire contre la pensée perroquet et libérer la langue française de la tyrannie du politiquement correct. Ce dictionnaire de novlangue comporte près de 1000 mots et décode le langage utilisé par les médias de l'oligarchie et celui des hommes politiques. La novlangue est un instrument d'oppression politique et idéologique, établissent ici Jean-Yves Le Gallou et Michel Geoffroy, avec un triple objectif : Faire prendre aux Français des vessies pour des lanternes et camoufler la réalité par le recours à des mots trompeurs, subliminaux ou sidérants. Rééduquer politiquement les locuteurs dans une logique « antisexiste », « antiraciste », « antiphobies », cosmopolite et droits-de-l'hommiste. Expurger la langue en rendant certains mots tabous, pour que l'expression des « mauvaises pensées » devienne impossible. Le bobardement précède le bombardement.
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L'album des bobards ; 10 ans de fake news des médias
Jean-Yves Le Gallou
- Via Romana
- 14 Novembre 2019
- 9782372711258
Les grands médias aiment à dénoncer ce qu'ils appellent les « fakes News », ce qu'ils considèrent comme les « fausses informations » émanant des réseaux sociaux.
Ils pointent la paille dans l'oeil du voisin mais se gardent de voir la poutre dans le leur.
Car les mensonges répétés en boucle par les grands médias sont innombrables. Chaque année la cérémonie parodique des Bobards d'or récompense les plus saillants. Souvenez-vous. Theo, la racaille mythomane prétendument violée par des policiers. « L'ophtalmo raciste » accusé indûment d'avoir refusé de soigner une enfant arabe. Le journaliste américain James Folley soi-disant enlevé par Assad et retrouvé égorgé par les islamistes. Les chiffres de participants gonflés pour les manifestations LGBTQ et... dégonflé pour les opérations politiquement incorrectes.
L'album des Bobards, bien sourcé et joliment illustré, vous fait découvrir plus de 100 gros mensonges médiatiques.
Il décrypte les principales méthodes de désinformation : Bobards par l'image, bobard calculette, bobard par invention et non vérification des sources, bobard par changement de nom et de prénom. Il présente aussi les auteurs de ces bobards.
Fidèle à l'esprit de la cérémonie des Bobards d'or, l'album des Bobards vise à corriger par le rire les principaux travers des journalistes.
Un livre aussi indispensable qu'amusant !
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Le populisme ou la mort ; et autres chroniques
Olivier Maulin
- Via Romana
- 25 Avril 2019
- 9782372711296
Observateur attentif de la vie littéraire, artistique, politique et sociale de son époque, Olivier Maulin a rassemblé ici le meilleur de ses analyses de chroniqueur anticonformiste. Abaissement moral des élites, fracture entre la France d'enhaut et celle d'en-bas, désintégration de la société sous les coups de boutoir du capitalisme, de l'immigration et des diktats de l'Union européenne, promotion d'une société multiculturelle et multiconflictuelle, destruction du goût et de l'environnement, trahison des médias : l'inventaire est lourd et c'est avec une verve satirique et un humour cocasse digne de Marcel Aymé qu'Olivier Maulin dresse un portrait de notre époque régressive qu'on ne lira nulle part ailleurs.
Mais le chroniqueur ne désespère pas pour autant et guette dans le moindre soubresaut des peuples les raisons d'espérer, consignant scrupuleusement les éléments d'une révolution conservatrice qui dans toute l'Europe se mettent lentement en place, et qui peuvent assurément changer la donne.
Pourrons-nous éviter le précipice vers lequel nous entraînent nos élites ? Une course contre la montre a commencé.
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9791090029705 Titre de l'ouvrage: La République organique en France Auteur:
Marie-Pauline Deswarte Editeur: Via Romana Date de parution : 13/03/2014 Reliure: Broché Prix public/catalogue hors taxes: EUR 20,85 TVA: 5.5% Prix public taxes comprises: EUR 22,00 Nombre de pages: 260 Langue: français Sujet: Entreprise / Droit Description: Marie-Pauline Deswarte s'interroge sur l'incapacité récurrente de notre droit constitutionnel contemporain à défendre une société de vie. Longtemps la France a vécu selon les principes organiques du droit naturel transmis par la Grèce et Rome, puis approfondis et défendus par l'Église catholique. Ces principes constituaient son arbre de vie ; ils avaient produit, en particulier dans le domaine juridique, des fruits de civilisation exceptionnels. Mais, depuis que la Révolution a coupé les racines de l'arbre, la vie de notre pays ne cesse, à ses yeux, de s'étioler et menace même de s'éteindre tout à fait. Désormais dénaturés, les anciens principes deviennent en effet cause de notre décadence. Tel est le défi de notre époque : retrouver l'intelligence de notre « vivre-ensemble ». Les siècles passés nous disent qu'il faut entreprendre ce combat et que nous devons le gagner. C'est ce à quoi nous convie l'auteur.
Biographie de l'auteur: Marie-Pauline Deswarte, professeur émérite de l'Université d'Artois (droit administratif, droit constitutionnel, libertés publiques et idées politiques), a aussi enseigné à celle de Paris XIII et à l'école de droit du Vermont aux États-Unis. Ses travaux, publiés dans les grandes revues scientifiques juridiques, sont centrés sur la notion d'intérêt général et ses rapports avec le bien commun. Une telle approche la prédisposait à jeter un regard tout à fait original sur la façon dont le droit actuel défend les intérêts particuliers et apprécie l'intérêt général défini par les pouvoirs publics. Cette originalité a été reconnue par l'Académie des sciences morales et politiques qui a couronné en 2003 son livre Essai sur la nature juridique de la République (préface de L. Favoreu) publié chez L'Harmattan, coll. Logiques juridiques.
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La mondialisation est-elle une fatalité?
Benjamin Guillemaind
- Via Romana
- 15 Janvier 2006
- 9782916727042
La mondialisation marchande est souvent présentée comme le résultat inéluctable de l'évolution des techniques.
L'humanité trouverait son achèvement dans l'individu absorbé dans un système d'économie planétaire. Le marché unique uniformise cultures, traditions, modes de vie, habitat et nourriture... marché planifié par les organismes mondiaux : OMC, FMI, FAO... Il est aisé d'en constater les méfaits : financiérisation, concurrence illimitée, perte des emplois, atteintes à l'environnement, à la qualité de l'alimentation, déracinement, abolition des frontières et des Etats, délocalisations, paupérisation...
L'homme est dépassé par des techniques qu'il ne maîtrise plus. La doctrine sociale chrétienne offre pourtant une alternative, où le Bien Commun se substitue à l'individualisme grégaire et instaure une économie à la mesure de l'homme. Pour sortir de l'alternance infernale entre le libéralisme et le socialisme, ce 5e colloque subsidiariste de l'Alliance Sociale (4 mars 2006) aborde la question des métiers, branches professionnelles, organisations industrielles et commerciales, ententes, émissions monétaires, et de l'agriculture, pour une démocratie respectueuse des communautés naturelles : famille, métier, université, province, nation...
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La civilisation des droits de l'homme ; ou le règne du néant
Raoul Fiévet
- Via Romana
- 11 Juillet 2017
- 9782372710411
« Durant des siècles les hommes se sont reconnus soumis à des principes qui leur étaient supérieurs et qui transcendaient la quête de leurs seuls intérêts matériels et immédiats. Aujourd'hui les sociétés occidentales s'organisent selon les droits de l'homme, un homme débarrassé de toute allégeance à un ordre de légitimité supérieur. Mais quelles sont la nature et les fondements de cette religion de l'Humanité, norme de la conscience collective et étalon de l'action publique ? « Il est urgent de sortir de l'abîme où nous enferme une vision du monde où l'homme n'a d'autre référent que lui-même. J'assume le principe holiste d'une entité supérieure à la multiplicité des parties composant le tout (Bien commun, Cité, Royaume, Empire, Prince, État, Église, Peuple, Nation) sans nier la juste sphère individuelle autonome et voici pourquoi... »
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Adolescent, au moment où Johnny chantait ses espoirs, l'auteur se rêvait tantôt en Jean-Jacques Gautier, tantôt en François Brigneau ! Si l'existence l'a éloigné du journalisme, ses fonctions à la Société du Cheval Français lui donnèrent l'occasion de signer ses premiers papiers dans des revues spécialisées. Arrive la rencontre décisive. Au détour d'une polémique philosophique sur Radio Courtoisie, il échange des arguments avec Serge de Beketch alors directeur de Minute - la France.
Le contact se mue en amitié vraie et durable, mêlée d'affection et d'étonnements mutuels. Serge de Beketch engage Jean-Paul Chayrigues de Olmetta qui, sous le pseudonyme de Jérôme Thomas, signe la rubrique « Spectacles » de Minute - La France jusqu'au départ du patron qu'il suivra.
Beketch entraîne son ami dans la belle aventure de son décadaire Le Libre Journal de la France courtoise. Sous divers alias, il est de tous les numéros de la publication, qui cessera au décès de son fondateur.
Mon rétroviseur est une reprise des textes les plus vifs de ces trente dernières années et dont la résonance est intacte.
Une rétrospective cocasse et colorée de notre temps, dédiée à Serge de Beketch à l'heure de la dixième année de son retour à la Maison du Père.
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Pour travailler, le maçon a sa truelle, le paysan a sa charrue, le médecin a son stéthoscope... et l'homme politique français a les « valeurs de la république », puisque son métier est, pour l'essentiel, de communiquer. Depuis quelques années, il n'y a pratiquement pas de discours omettant de les célébrer, quel que soit le parti politique de l'orateur, qui ne précise jamais ce qu'il entend par cette expression, tant il doit apparaître clair que son sens est manifeste. L'expérience et l'histoire montrent que l'infinie répétition par les moyens de communication d'une information ou d'un concept sert surtout à en convaincre les foules quand l'information est fausse ou l'expression creuse. Il fallait donc chercher le sens exact de l'expression chérie de nos politiciens. Chercher par la sémantique : échec, les mots n'ont pas de sens précis... Chercher dans la Déclaration fondatrice de 1789 : échec, presque toutes ses dispositions sont valables « dans le cadre de la loi », loi évidemment instable, incertaine et variable au gré des lubies des foules et/ ou de leurs représentants élus... Chercher dans les termes de la « Devise républicaine » : échec, la réalité vécue depuis que la république existe n'a rien à voir avec les espoirs que ces trois mots peuvent engendrer... Il fallait donc chercher dans l'Histoire, depuis un peu plus de deux siècles, pour constater ce que la république, en France, avait réellement fait et essayer d'en déduire ce que sont ces très médiatiques et néanmoins bien mystérieuses « valeurs ». L'interprétation des événements permet effectivement de trouver un sens clair et solidement étayé à la célèbre expression. Il est assez éloigné du sens manifeste implicite dans les discours politiques...