Filtrer
Rayons
- Littérature
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
Support
Éditeurs
Libertalia
-
Dans ce petit livre, l'auteur s'intéresse aux origines du syndicalisme, à ses pratiques de lutte, à ses rapports avec les partis, aux tendances et débats qui l'animent et le divisent, à ses liens avec l'antifascisme et le féminisme et aux perspectives de réunification organique qui se dessinent. Il présente un syndicalisme vivant, porteur d'avenir, qui n'ignore rien de son passé pour retrouver le chemin des victoires et renouer avec les ambitions de rupture et de transformation sociale.
-
-
Je n'aime pas la police de mon pays
Maurice Rajsfus
- Libertalia
- A Boulets Rouges
- 20 Novembre 2012
- 9782918059240
« Dans un pays où la police parle bien plus de ses droits que de ses devoirs, quel espace de liberté peut bien subsister pour les citoyens ?
Ces droits revendiqués par les policiers ne peuvent que signifier, parallèlement, le renoncement à la critique quant à la qualité de leurs activités. Lorsque la parole du policier ne peut être réfutée, c'est toute la liberté d'expression qui se trouve mise en cause [.]. Il est nécessaire que des témoins ou des observateurs se fassent entendre. C'est le rôle qu'a tenté de jouer, depuis le printemps 1994, l'Observatoire des libertés publiques et son bulletin mensuel Que fait la Police ? Avons-nous réussi à décrire les aspects malfaisants de la police et à sensibiliser les esprits ? Peut-être pour une minorité. Sans doute pas pour le plus grand nombre. Est-ce une raison pour renoncer ? Sans doute pas ! »
-
éditocrates sous perfusion
Sébastien Fontenelle
- Libertalia
- A Boulets Rouges
- 4 Septembre 2014
- 9782918059509
« Les journaux et magazines «de référence» publient régulièrement de longues exhortations à «réduire la dépense publique», et des anathèmes contre «la France des assistés».
Mais depuis trente ans, ces mêmes publications sont littéralement gavées de millions d'euros d'aides publiques - qui ne servent à rien, puisque la presse écrite continue de s'enfoncer dans une crise structurelle. Mais qui représentent jusqu'à 12 % de leur chiffre d'affaires.
Cette gabegie, documentée par de nombreux rapports, est de celles qui font généralement, pour les journalistes spécialisés dans la chasse à l'«assistanat» et aux «gaspillages», un scandale réussi.?
Or la révélation que le contribuable nantit la presse écrite de gigantesques subventions ne leur inspire aucun commentaire. Car ici, le silence est d'or : l'éditocratie sous perfusion l'a parfaitement compris, qui continue de faire sponsoriser par l'État ses incessants appels à diminuer la dépense étatique. »
-
Les marchands de peur ; la bande à Bauer et l'idéologie sécuritaire
Mathieu Rigouste
- Libertalia
- A Boulets Rouges
- 2 Mai 2013
- 9782918059356
L'auteur explique que la peur est un outil politique fondamental pour les classes dominantes. Transformée en marchandise, elle constitue le secteur d'activité d'idéologues organisés pour vendre ces produits aux gouvernements et aux complexes industriels. Le cas du haut fonctionnaire et consultant en sécurité Alain Bauer est notamment évoqué.
-
L'affaire dite « de Tarnac », en novembre 2008, a révélé au grand public l'existence d'un arsenal législatif censément destiné à lutter contre le terrorisme.
Mis en place à partir de 1986 par les gouvernements de gauche comme de droite, il a trouvé une nouvelle légitimité depuis les attentats du 11 septembre 2001 et de nouveaux moyens dans les dispositifs européens. Bien avant Tarnac, il a permis d'arrêter, dans l'indifférence générale, des centaines de prétendus « islamistes », le plus souvent relâchés après de longs mois de détention. Ce sont maintenant des militants révolutionnaires qui font les frais de textes sans cesse révisés et durcis.
L'auteur analyse ici les mécanismes et la signification de cette « terrorisation démocratique » qui concerne et vise désormais toutes les formes d'opposition au système capitaliste.
-
-
Comment (et pourquoi) être un intellectuel anarchiste, dans un siècle qui se vante d'avoir écarté le spectre révolutionnaire, quitte à faire de l'« indignation » une valeur à la mode ?
C'est en militant et en écrivain que Claude Guillon tente de répondre à cette double question, dans les articles, tracts et « posts » de blog ici réunis.
Sans jamais céder à la démagogie, il veut contribuer à élaborer, dans la vie quotidienne et dans les luttes auxquelles il participe, une théorie anarchiste à la portée de toutes et de tous, une pensée critique libertaire, une philosophie pratique.
-
La position du penseur couché ; petites philosophies du sarkozysme
Sébastien Fontenelle, Nono Le hool's
- Libertalia
- 10 Octobre 2007
- 9782952829281
Pendant des mois, Sébastien Fontenelle, journaliste et pamphlétaire, auteur d'Impunités françaises et d'Un juge au-dessus des lois, a analysé les textes et propos des
« intellectuels de cour », en s'arrêtant plus particulièrement sur Alain Finkielkraut, véritable figure de proue d'un courant qui s'attache à salir et à détruire toute pensée progressiste. Voyage au coeur de l'idéologie dominante. Ad nauseam.
Depuis l'avènement de Nicolas Sarkozy à la tête de l'État, nous assistons à un déferlement d'idées et de pratiques répugnantes : fichage génétique des immigrés, expulsions d'enfants scolarisés, casse du droit de grève, haine de l'altérité, détestation des pauvres.
Chez les intellectuels de cour, cela fait bien longtemps que tous les tabous sont bel et bien brisés. Depuis plusieurs années, ces nouveaux réactionnaires, avec comme figure de proue Alain Finkielkraut, s'attachent en effet à salir et à détruire toute pensée progressiste. Plongée au coeur de l'idéologie dominante. Ad nauseam.
-
En plein Mai 68, alors que les pavés volent et que les barricades brûlent, les pédés, les gouines et les trans ne trouvent pas leur place parmi les militants de gauche. La FHAR d'abord, puis Les Gouines rouges et les Gazolines vont élaborer la critique la plus audacieuse et la plus pertinente du discours de transformation sociale de la gauche.
En partant d'une lecture de Guy Hocquenghem et de Monique Wittig, Paul B. Preciado se demande ce qui se passerait si la gauche était capable de mettre au centre de son projet politique la révolution sexuelle et du genre.
Loin d'être une enquête historique, cet essai prolonge et radicalise les hypothèses révolutionnaires de 68 pour réfléchir à la mutation sexuelle et de genre contemporaine.