Alors que la plupart des rites maçonniques date du .18 e ou du 19 e siècle, le Rite Opératif de Salomon est élaboré à la fin des années 60. Dès 1974, c'est au sein de l'Ordre Initiatique et Traditionnel de l'Art Royal qu'il trouve une structure pour s'épanouir.
Rare rite datant du 20 e siècle, si ce n'est le seul, il puise ses racines dans une tradition qu'il entend revivifier, à l'image du phénix renaissant de ses flammes qui orne les sceaux des loges qui le pratiquent, dites « loges de Salomon ». Ses spé- cificités apparaissent d'emblée au visiteur : recherche d'une beauté formelle des cérémonies maçonniques, un rythme spécifique au déroulement des réunions, la mise en avant de l'expression orale dans la loge et la recherche d'une dynamique de la parole et des échanges. Rite « discret », il interroge par sa singularité, sa revendication d'opérativité et par son projet initiatique.
Par l'étude de ses textes et de sa pratique, et au travers de son parcours, Didier Ozil apporte ici un éclairage inédit sur les particularités et les richesses du Rite Opératif de Salomon, un rite pensé pour le monde d'aujourd'hui.
Le Rite Français est une continuité de sept grades initiatiques, les trois grades symboliques de la Maçonnerie dite « bleue » puis les quatre Ordres de Sagesse au-delà de la Maîtrise. Un 5 ème Ordre s'y ajoute qui embrasse l'ensemble du parcours maçonnique.
Les Ordres font appel à un récit mythique ou biblique pour stimuler la réflexion sur la hiérarchie des Devoirs de l'homme dans la société.
Cet ouvrage aborde le travail du Quatrième ordre à partir de la sentence « De la Libération à l'Épanouissement ».
Le Quatrième Ordre consacre le cheminement du maçon en lui donnant accès au Conseil des Parfaits Maçons Libres. En accédant à ce cercle des plus hautes obligations maçonniques, le maçon atteint le niveau ultime de l'exigence éthique. Excellence des qualités opératives et intellectuelles, parfaite adaptation des outils maçonniques à ses propres capacités, liberté grâce au courage et à la lucidité, le Parfait Maçon Libre saura-t-il les traduire dans la vie sociale ? Saura-t-il transmettre judicieusement, à bon escient, ses connaissances ? Saura-t-il faire comprendre qu'il n'y a de vérité que dans la recherche de la vérité ?
Au travers de ce fascicule Daniel Béresniak nous donne avec précision les éléments essentiels pour répondre à notre questionnement. Seul nous intéresse le symbolisme véhiculé par ces trois degrés dits de perfection et les enseignements qu'ils contiennent. L'enjeu est d'importance puisqu'il s'agit pour le Franc-maçon de faire émerger l'être nouveau qu'il cherche à construire. Grand Maître Architecte (12e), nous voici parvenu au terme des petits mystères, caractérisés par la ? n de la légende d'HIRAM. Il s'agit à ce degré d'achever sa propre construction en même temps que celle du temple a? n de tirer le plus grand pro? t des règles du Métier. Chevalier de Royal-Arche (13e) et Grand Élu, Parfait et Sublime maçon (14e), avec ces degrés on arrive au terme d'une fabuleuse épopée où le maçon découvre que c'est dans un nouveau Cabinet de Ré? exion que son travail lui permettra de voir non pas une apparence mais la réalité concrète de l'individu. C'est en ajoutant vos propres connaissances et vos propres commentaires à ce travail de perfection que vous aurez rempli l'obligation de Lire et de Ré? échir.
Qui poursuit le chemin du Maçon découvre d'étranges ? gures. Elles se montrent dans les lauriers et dans les oliviers, dans la clef d'ivoire, dans le signe du silence, dans certains tracés. Des mythes et des symboles invitent le voyageur à expérimenter des rôles. Partager cette expérience avec d'autres, au coeur d'un Temple, là où s'écrit et se dit le Nom, permet à chacun, s'il le veut bien, de devenir le Maître que, dans la cité, il est contraint d'ignorer.
Le Rite Français est une continuité de sept grades initiatiques, les trois grades symboliques de la Maçonnerie dite « bleue » puis les quatre Ordres de Sagesse au-delà de la Maîtrise. Un 5 ème Ordre s'y ajoute qui embrasse l'ensemble du parcours maçonnique.
Les Ordres font appel à un récit mythique ou biblique pour stimuler la réflexion sur la hiérarchie des Devoirs de l'homme dans la société.
Cet ouvrage aborde le travail du Troisième ordre à partir de la sentence « De la destruction à la reconstruction ».
La beauté d'une oeuvre bien édifiée excite convoitise et jalousie. Le temple de Salomon sera irrémédiablement détruit, pillé et le peuple des bâtisseurs emmené en captivité par les armées de Nabuchodonosor. « Sept semaines d'années » passeront avant que Cyrus ne leur accorde la liberté, leur restitue leurs biens et leur donne l'autorisation de reconstruire le temple. Sur le chemin du retour, ils durent livrer combat, vaincre pour pouvoir reconstruire.
Les efforts de tout un peuple pour cette mythique reconstruction nous ouvrent la voie d'une réflexion sur l'utilité sociale mais aussi culturelle de ce type d'entreprise. En l'absence de matériaux terrestres indispensables, le Chevalier Maçon est investi du devoir de construire des temples immatériels.
« Tout le monde en aura pour son grade » : les nantis, les ignorants, les pissefroids et les autres...
Iconoclaste, irrévérencieux, bête souvent, méchant et insolent parfois, misogyne autant que les Frères peuvent l'être, cet À-peu-près dictionnaire bouscule le « maçonniquement correct ».
Grâce aux définitions des noms communs et propres, ce dictionnaire vous permettra de percevoir la richesse et la profondeur de l'univers maçonnique, tout en évitant de devenir creux à vouloir être trop profond.
Le 30e degré, Chevalier Kadosh est devenu LE degré de la progression. À la démarche initiatique des autres degrés, il ajoute plusieurs thèmes forts qui en font un grade prestigieux, au lourd passé historique et polémique. Dégagé de bien des contraintes, se connaissant mieux, le Maçon peut parfaire ses connaissances en étudiant les Arts et la Science. Il ne doit cependant jamais rester dans le savoir seul, il lui faut aussi redescendre pour se mettre au service des autres tout en acquérant les vertus qui font d'un homme, un être vigilant, ferme et maître de lui. Les allusions Templières ne sont qu'une façade qu'il faut traiter comme un symbole : chercher ce qu'il y a au-delà. Il appartient au « Kadosch » - autrement dit au « Saint », c'est-à-dire à celui qui entièrement libéré de ce qui en lui n'est pas exclusivement spirituel - de vivre hors des normes et de franchir toutes les limites... Mais cela est perçu comme un privilège pour ceux qui ne sont pas Kadosch !
Le Rite Français est une continuité de sept grades initiatiques, les trois grades symboliques de la Maçonnerie dite « bleue » puis les quatre Ordres de Sagesse au-delà de la Maîtrise. Un 5 ème Ordre s'y ajoute qui embrasse l'ensemble du parcours maçonnique.
Les Ordres font appel à un récit mythique ou biblique pour stimuler la réflexion sur la hiérarchie des Devoirs de l'homme dans la société.
Cet ouvrage aborde le travail du Deuxième ordre à partir de la sentence « De l'Union des Hommes à l'Unité des Valeurs ».
Avant de mourir, Hiram s'est séparé de son bijou sur lequel était gravé la somme de ses connaissances. Le chantier ne peut se poursuivre. Le Grand Élu, va partir à sa recherche. Réussira-t-il à transformer l'Union des hommes qui l'accompagnent en Unité des Valeurs ? À quels prix ?
Le cheminement de cette quête va lui faire découvrir les risques de la dissimulation des connaissances tout autant que leur vulgarisation.
Au travers de nombreux témoignages, l'OITAR propose ici de retracer 40 ans d'histoire de cet ordre si particulier et encore trop souvent méconnu qu'est l'Ordre Initiatique et Traditionnel de l'Art Royal.
Les auteurs témoignent de la force, de l'intensité, du courage de ces Hommes de fondation, de ces Hommes d'action qui ont oeuvré durant plusieurs décennies pour que vive le Rite Opératif de Salomon.
Comment est né l'OITAR ? Qui sont les fondateurs ?
Comment écrit-on un rite ? Comment se sont constitués les degrés ? Quelle est la structuration de l'Ordre ? Quelles sont ses spécificités ? Qui l'a dirigé ? Quels chemins parcourus pour être reconnus ?
Ou encore comment faire croître l'ordre ? Et tant d'autres questions... trouveront dans ce recueil de récits, par nature subjectifs, des éléments de réponses.
Comme le rappelle si bien le rituel de « Galerie » si spécifique à l'OITAR : « nul ne peut prétendre posséder la vérité parfaite ».
Le Rite Français est une continuité de sept grades initiatiques, les trois grades symboliques de la Maçonnerie dite « bleue » puis les quatre Ordres de Sagesse au-delà de la Maîtrise. Un 5 ème Ordre s'y ajoute qui embrasse l'ensemble du parcours maçonnique.
Les Ordres font appel à un récit mythique ou biblique pour stimuler la réflexion sur la hiérarchie des Devoirs de l'homme dans la société.
Cet ouvrage aborde le travail du Premier ordre à partir de la sentence « De la Vengeance à la Justice ».
Les Maîtres consternés par l'assassinat d'Hiram, devenus Maitres Élus, vont être confrontés à ces deux conceptions pour réparer cet acte délictueux.
Se vengeront-t-ils ou feront-t-ils justice ?
La vengeance est-elle un acte légitime ?
Peut-on se faire justice soit même ?
La Franc-maçonnerie, pour promouvoir le progrès humain, compte sur l'infl uence de ses membres, eux-mêmes perfectionnés par un travail en loge, conduit selon une méthode particulière : la méthode initiatique maçonnique.
S'inspirant d'une mythique tradition immémoriale de l'art des géomètres constructeurs, elle en pérennise les valeurs par un enseignement initiatique, greff é au XVIIIe siècle sur la tradition de la confrérie des maçons francs, ou libres, à partir de ce qui était alors connu des initiations aux Mystères de l'Antiquité.
Elle pérennise ainsi la transmission d'une méthode de travail s'appuyant sur l'initiation, des rites, un symbolisme spécifi que et un usage particulier de la parole.
Dans sa volonté d'améliorer l'être humain et les sociétés humaines, l'enseignement maçonnique doit pouvoir être reçu et compris par des adeptes de toutes cultures, avoir un caractère d'universalité.
Enfin, son ambition exige de la franc-maçonnerie que ses méthodes de travail et son organisation assurent sa vitalité dans le monde tel qu'il évolue, sans renier ses traditions.
Le 14 décembre 1784, à presque 29 ans, W. A. Mozart est soumis aux questions rituelles, préalable à l'initiation. Le compositeur salzbourgeois convoque son âme au tribunal de la sincérité.
Que pensez-vous des devoirs d'un Homme :
Envers Lui-même ? Envers l'Humanité ?
Envers Dieu ?
Mozart, après avoir rejoint la fraternité se questionnera longuement sur la réponse à apporter à ces trois questions. Le compositeur mettra son génie au service de ce questionnement philosophique. Quoi de mieux que la musique pour bousculer les esprits, pour aller chercher au tréfonds de l'âme humaine les réponses aux questions.
Un do... un mi... un fa..., la première tierce, la première page, et la valse des notes sur la partition s'accélère, Mozart dans un déferlement musical inégalé nous livre sa vision, sa vérité aux questions qui lui avaient été préalablement posées.
La Flûte enchantée n'a cessé d'attirer la curiosité, les interrogations, les suspicions.
Cet opéra épouse les traits de la cérémonie d'initiation maçonnique pratiquée dans les loges du XVIIIe siècle. Dix-huit siècles après Saint Jean le Baptiste, Mozart plonge le spectateur dans la musique. À Vienne où sur les rives du Jourdain, les deux hommes tentent de ressusciter la pureté de l'âme humaine. Confl uent de deux rives, seuil symbolique, La Flûte enchantée marquerait le crépuscule d'une vie empreinte de vice et l'aube d'une existence guidée par la vertu.
Considérant les connaissances acquises pour la maîtrise comme un niveau de base, fondé sur les enseignements tirés d'une première approche du mythe d'Hiram, le Maître Franc-maçon désireux de poursuivre son perfectionnement personnel, va prolonger son travail, d'abord par une réflexion sur ce qui a suivi le meurtre d'Hiram, puis il abordera, toujours par la méthode symbolique, d'autres légendes mythiques destinées à alimenter sa recherche philosophique.
C'est cette démarche, alternant l'interprétation symbolique et la réflexion philosophique, c'est cette quête, qui est présentée dans cet ouvrage
Alain Subrebost revient à sa vocation de pédagogue du symbole et de la Franc-maçonnerie avec un concept assurément novateur développé ici dans L'Art Royal révélé. Ce premier opus de la collection « l'Aventure initiatique », sous-titré « Le développement personnel symbolique » est un pas de plus vers l'utilisation concrète du symbolisme et du cursus initiatique maçonnique tant dans la réalisation de soi que dans celle de projets.
Le récit du meurtre de l'architecte perpétré par trois compagnons est joué par les Francs-maçons lorsqu'ils deviennent des " Maîtres ". La Loge est un théâtre, et les Frères jouent des rôles pour expérimenter, échanger, s'éprouver. Chacun réactive le sens du récit grâce à l'action rituelle. Ce drame est celui des contradictions qui mettent en marche l'histoire, celle de chacun et celle de la société. Nul ne progresse dans la maîtrise de soi s'il ne se reconnaît pas comme victime et comme bourreau, et aussi comme auteur d'un projet contrarié par l'impatience. La légende d'Hiram renvoie à celle d'Horus, le fils d'Isis et d'Osiris assassiné par son frère désigné comme " l'enfant de la veuve ". Depuis les fraternités dionysiaques aux ghildes des bâtisseurs de cathédrales, le thème est intégré dans la formation et intervient pour réunir un savoir-faire à un savoir-être. Il convient d'examiner des sources, de comparer des versions, de suivre les développements de la légende pour éclairer le sens d'une demande, la nature d'une attente.
Savez-vous ce que signifient les couleurs de la Franc-maçonnerie ?
L'initiation est un retour aux origines (« ab initio »).
Dans la Préhistoire, les trois couleurs symboliques de l'humanité sont le noir, le blanc et le rouge. Ce sont aussi les couleurs de nos ateliers symboliques. Elles se sont perpétuées à travers l'espace, le temps et l'Histoire.
La tradition les a conservées. Mais, en y associant trois autres couleurs fondamentales (le bleu, le jaune et le vert), elle a en renouvelé les sens.
Alors, que signifi ent-elles ?
C'est ce que l'auteur vous invite à découvrir dans cet ouvrage...
La Maçonnerie est-elle une thérapie ou bien un jeu social pour permettre à ceux qui, n'ayant pas tout obtenu du premier coup, aspirent au poker de la deuxième chance initiatique ?
Si, pour vaincre l'épreuve des premières enquêtes et survivre au passage du bandeau, le profane doit mentir, lui faudra t-il devenir un dieu de l'imposture pour atteindre les degrés ultimes de la Maçonnerie ? L'ouvrage, s'il ne répond à ces questions, est écrit dans un désir non dissimulé de prendre du recul sur ce qui - à tous les grades - laisserait perdurer les errances des mauvais compagnons. Enfi n, comme une image peut valoir mille mots, il aspire à faire sourire tous ceux qui, refusant les discours pompeux, préfèrent « que la joie soit dans les coeurs. »
Oswald Wirth remarquait qu'il existe une doctrine maçonnique non explicitement formulée, le maçonnisme, résultant de la philosophie se dégageant du symbolisme maçonnique, qui apprend au franc-maçon à construire le temple de ses convictions personnelles.
Préoccupés par l'ambivalence du progrès, dont ils ont peur, ceux qui opposent la tradition initiatique à l'évolution de la pratique maçonnique, donnent au mot tradition un sens dénaturé, proche de conservation et immobilisme. Le progrès de la pensée est incessant ; pourquoi la pensée maçonnique resterait-elle fi gée ? Il serait incohérent de s'arrêter à la pensée du XXe siècle.
Le temps n'est-il pas venu de formuler de façon plus explicite une doctrine maçonnique pour l'avenir ?
Le maçonnisme est la doctrine qui se dégage du symbolisme maçonnique ; c'est une philosophie de constructeur, fondée sur un idéal humain alliant l'intelligence, l'énergie et la sensibilité, avec une conception humaniste de la vie.
La Franc-maçonnerie de l'avenir conservera sa double vocation de société initiatique et de société de pensée. L'Initiation, malgré la diversité des rites, affi rmera toujours plus ses caractères de libération de la pensée, d'élévation et d'élargissement de la conscience, et d'introduction à une spiritualité laïque débarrassée des dogmes.
Enfi n, la Franc-maçonnerie société de pensée humaniste, devra manifester son unité autour de quelques valeurs éthiques, universellement acceptables.
Tout le monde aujourd'hui parle d'humanisme. La Franc-maçonnerie, elle-même, dont les obédiences sont plurielles et qui se prétend universelle, s'en réclame.
Pourtant, la fi nanciarisation du monde, sa déréglementation généralisée, ainsi que le nouveau savoir qu'apportent les sciences sociales sur notre nature - nous sommes à la fois Homo Sapiens et Homo Démens - nous conduisent peut-être à tout repenser.
Telle est la réfl exion que propose ce modeste essai.
L'humanisme est toujours existentiel. Les Maçons recommandent à leurs adeptes de construire à la fois le Temple intérieur (soi-même) et le Temple extérieur (la Cité humaine). C'est dire que « l'autre est indispensable à mon existence, aussi bien d'ailleurs, qu'à la connaissance que j'ai de moi ». Mais, en même temps, chacun est la somme de ses actes. En outre, au cours de son vécu, il connaît plusieurs morts et plusieurs renaissances. La fi n de l'enfance, celle de l'adolescence, celle de la maturité, la vieillesse enfi n et le passage à l'Orient éternel, sont autant de ruptures.
C'est pourquoi, même si « le moi est haïssable », sur un thème qui engage à la fois l'individu et son environnement au sens le plus large, l'auteur ne peut faire l'économie d'évoquer ce que fut son chemin.
Le cabinet de réfl exion est un réduit peint en noir. L'éclairage est réduit. Des objets sont posés sur une tablette. Des sentences sont écrites sur les murs. Le profane est invité à s'asseoir en ce lieu. Il regarde les objets symboliques qui orientent sa méditation. C'est le passage du monde d'où il vient au monde où il va. Il réside en ce lieu un long moment avant d'être admis aux épreuves de l'initiation.
Plus qu'un passage, le cabinet de réfl exion est le lieu à revisiter sans cesse. Il procure des repères indispensables au voyageur qui poursuit sa quête. Il montre l'essentiel à celui qui entreprend le voyage.