LES TROIS GRANDES LUMIERES LA REGLE,L'EQUERRE ET LE COMPASsuivi de l'ART DU TRAIT de Patrice MEYERInstruments de savoir utilisés dès l'antiquité par les bâtisseurs du Temple de Salomon ; la règle, l'équerre et le compas deviennent symboles de Connaissance lorsqu'ils sont employés au sein de la Franc-Maçonnerie.A l'aide des tracés de Patrice MEYER, Bruno Tosi réunit ce qui est épars, relevant tout à la fois des domaines opératifs et spéculatifs.Les Compagnons du Tour de France descendants des maçon francs du XIIIe siècle ainsi que les Chercheurs de Lumière contemporains trouveront dans cet ouvrage des clés pour construire des cathédrales ou édifier le temple intérieur.
Si les mots sont le peu que l'oreille humaine perçoive du Logos, alors méritent-ils une grande attention !Offrir aux non-latinistes l'opportunité de percevoir la signification des devises latines qui émaillent lesrituels, des mots qui les composent, tel est le but de cet opus : ainsi les mots pourront-ils prendre sens au-delà deleur apparence, de leur réalité sensible.Il est écrit pour tous ceux qui travaillent au Rite Écossais Rectifié, dans toutesles obédiences.Et bien sûr, pour tous les Maç. qui s'intéressent à ce rite singulier.Cet opuscule dans sa version princeps a été nominé par l'IMF Paris 2019, il est aujourd'hui augmenté au IV e grade.
Réédition de l'ouvrage Méditations initiatiques de 1953 de C. CHEVILLON, qui fut après la grande guerre, Grand Maître du Rite Maçonnique de Memphis Misraïm, de l'Ordre Martiniste, et patriarche de l'Eglise Gnostique Universelle.
Constant CHEVILLON entra en maçonnerievers 1913, fit la connaissance de Gérard Encausse-Papus, et Jean Bricaud. À sa mort, il lui succéda dans toutes ses fonctions : GrandMaître du Rite Maçonnique de Memphis Misraïm, et de l'Ordre martiniste, il fut aussi patriarche de l'Église Gnostique Universelle. Directeur de la Revue Annales initiatiques, il poursuit, malgré l'interdiction des sociétés initiatiques par le gouvernement de Vichy, ses activités et le développement de la Franc-maçonnerie en France et en Europe.
Il faut rappeler sa fin tragique en mars 1944, arrêté par la milice chez Madame Bricaud.
Il fut trouvé mort percé de balles, exécuté à Saint Fons, dans la banlieue lyonnaise.
Toute son oeuvre littéraire ou presque, de 1926 à 1946, fut publiée chez le libraire-éditeur Derain à Lyon, haut lieu de l'ésotérisme lyonnais.
Le texte proposé, Méditations Initiatiques, est un fac-similé aujourd'hui introuvable de l'édition de 1953, aimablement prêté par un Frère. Cet opuscule garde toute son acctualité de nos jours.
La franc-maçonnerie « spéculative », cette société initiatique née au 18e siècle, est aujourd'hui traversée en France par divers courants d'une spiritualité aussi bien confessionnelle que laïque.Elle pérennise néanmoins la tradition fervente des bâtisseurs de cathédrales. A ce titre, elle centre sa réflexion symbolique sur les premiers mots de l'Evangile de Jean : « Au commencement était le Verbe ». Dès lors y sont activés sept vocables qui en découlent et lui dictent une véritable ligne de conduite : Apprendre, recevoir, oeuvrer, croire, croître, fraterniser, transmettre. C'est autour de ces injonctions productives - librement acceptées et pratiquées par les francs-maçons et franc-maçonnes contemporains de divers horizons - que Gilbert Garibal, membre de la confrérie depuis plus de quarante ans - a structuré cet ouvrage.
Il nous présente ainsi « l'Art Royal » avec une écriture alerte, limpide et précise. Devenir franc-maçon. Etre initié. Intégrer une loge. Y faire quoi. Le secret maçonnique. La rencontre. Le message de cette organisation discrète. Autant de situations, autant d'interrogations : l'auteur y répond ici clairement, avec sa sensibilité très personnelle.
Que votre souhait soit d'entrer en franc-maçonnerie ou de vous informer sur ce modèle de communication,vous découvrirez dans ce livre, « vivant » et complet, le fonctionnement d'une institution séculaire, de sa naissance à nos jours. Au moment même où elle sait faire rimer humanité avec modernité.
Dans cette Expédition d'Égypte de 1798 qui se termina lamentablement sur le plan militaire, les francs-maçons jouèrent pourtant un rôle important, que ce fût dans la préparation (nous pensons à Gaspard Monge notamment... ainsi qu'à Talleyrand qui minimisa son influence lorsque l'échec fut patent alors qu'il l'avait conçue entièrement !) ou tout au long de la campagne.
LA VÉRITÉ ALCHIMIQUE, traité inédit de PHILALÈTHE, entrouvre la porte très étroite du TROISIEME oeUVRE AU ROUGE. Il est précédé d'un commentaire de CHALYBE : « De l'admirable Mystère du Feu » . [ suite de « L'admirable Mystère de l'Eau », paru dans le TESTAMENT du COSMOPOLITE ]. 408 pages, édition numérotée cartonnée.
In questo caso, chiedetevi in quali servitù consisterebbe la vera vita quotidiana del'adepto? Su cosa lavorerebbe quando ha finito tutto? Per cosa e per chi si investirebbe, allora è padrone del suo destino? Sì, sarebbe di grande interesse se gli spiriti, una volta tornati in salute, si facessero un'idea, anche parziale, della reale portata dell'Adeptat in questo mondo inferiore. Delle esigenze che comporta, dei doveri e delle prove che impone. E rispetto al quale non c'è, per nessun soggetto coronato e fino alla fine assegnata della sua esistenza, nessuna via di fuga. Altrimenti, per rinunciare ai suoi obblighi, la perdita irrimediabile del prezzo della vittoria così duramente conquistato.Queste poche parole di Basilio Valentino, estratti dal trattato Sulla grande pietra degli antichi saggi, dovrebbero risuonare nelle orecchie di tutti i cercatori dell'assoluto e metterli in guardia. Dal momento che sollevano, con gravità, parte del velo che copre lo straordinario e tuttavia imprescrittibile destino del nuovo adepto:«?E ricordati, quando sarai portato agli onori, di venire in aiuto dei poveri e dei bisognosi, per sollevarli dalle loro miserie e confortarli con la tua mano generosa, per cui ottieni una benedizione maggiore dal Signore e acquisisci il tuo posto in cielo attraverso la conferma della tua fede.»
Faire le tri entre l'inutile encombrant et le nécessaire judicieux, n'est pas, en définitive, une chose aisée en l'absence de significations précises, variant du reste d'un Auteur à un autre, concernant des opérations (solution, déalbation, sublimation, calcination, etc.), corps ou composants (minéraux, métaux, végétaux ou animaux), codes astrologiques (signes, maisons, etc.) et symboles alchimiques divers (poids, durées, régimes des feux, etc.) et nomenclatures traditionnelles.C'est pourquoi, pour pallier justement à ce genre de démarche fort rébarbative, qui n'augure jamais d'un quelconque résultat probant et satisfaisant pour ceux qui l'entreprennent, CHALYBE fit le choix de mettre en place et publier, outre ses propres ouvrages, des brochures techniques ou lesdites Chroniques ainsi qu'une Collection de traités inédits d'Adeptes de grande renommée, traduits en langue française, amplement commentés et annotés. Ainsi ce livre ne déroge pas à l'éthique chalybienne. Il est bâti depuis les mêmes plans qui ont servi à l'édification de ses précédents ouvrages et suit les mêmes direction et dessein, partage et manifeste son initial et invariable souci : celui de mettre à la disposition des étudiants d'initiatiques exégèses, à savoir des explications claires bien que tempérées, commentaires édifiants comme de nombreuses reformulations, lesquels répondront ainsi, nous semble-t-il, à leurs principales interrogations ou attentes dont CHALYBE ne connaît que trop les raisons fortes, inquiétudes, errances, échecs et désarrois dans l'essentiel, qui les font naître. (Cerbérius)Edition augmentée du traité alchimique de D. Stolcius paru à Francfort en 1627, dans lequel quarante planches de quatre gravures sont commentées par de courts poèmes décrivant le processus alchimique, le passage de la décomposition à l'unification, puis à la fécondité. Cette édition propose en outre un commentaire alchimique de chaque planche par Chalybe
Avec cet ouvrage encensant à juste titre la Praxis adeptale, l'unique Expérience immanente, positivement efficiente sur le plan physico-chimique, de la Doctrine hermétique, nous avons la conviction que CHALYBE a dispensé la meilleure partie ou substantifique moelle de l'Art d'Alchimie, bien entendu par la voie analogique, autorisée pour l'instruction profane. Lequel a-t-il pris garde de formuler et enseigner de la même manière que nous procédons selon ses recommandations, c'est-à-dire avec les mêmes poids et mesures dont nous autres, Instructeurs et Maîtres, faisons usage professoraux auprès des apprentis. Toutefois, il faut savoir que, au sein de notre Assemblée, il n'est pas le moindre privilège qui soit octroyé envers quiconque, sous quelque prétexte que ce soit. Seul le travail accompli compte à ses yeux, fonde et justifie tout véritable progrès qui est en soi la résolution personnelle d'un point de Science majeur, l'un des nombreux paliers menant jusqu'au sommet de la Montagne des Philosophes hermétistes. Lequel acquis permettra alors à son récipiendaire, à nouveau épaulé par un aîné, une progression jusqu'au palier ou seuil suivant pour, peut-être, atteindre un jour par ses seules forces et en vertu de sa Destinée ou de la Providence, le dernier sur lequel s'épanouit et se puisse recueillir leur double et admirable fleur. (Cerberius)