Tout pour réussir le Capes d'Histoire-Géographie. Les nouvelles épreuves professionnelles du concours, difficiles à cerner pour les étudiants, exigent un ouvrage méthodologique et pédagogique clair. Les différents types d'épreuves sont expliqués et des exercices concrets sont donnés.
- Des conseils.
- Des exemples.
- Des rappels de connaissances.
- Comprendre ce qui compte pour un correcteur.
Quoi de commun entre la traduction linguistique, l'exégèse d'un texte sacré, la pratique divinatoire, la jurisprudence d'un procès, l'analyse psychanalytique d'un rêve, le jeu musical ou théâtral, la compréhension finale des résultats d'une expérience scientifique, la critique littéraire, esthétique ou philologique, le commentaire des philosophes ? La présente analyse fait le pari que la forte équivocité du mot et de l'idée d'interprétation n'est pas irréductible et que, par suite, un concept d'interprétation véritablement unifié peut être crée. Concept difficile mais passionnant, aux enjeux considérables (épistémologie, méthodologie des sciences humaines, théorie du langage et des facultés de compréhension, esthétique, droit, philosophie, herméneutique, religion), l'interprétation doit d'urgence être purgée des nombreux préjugés qui l'occultent afin d'être définie rigoureusement.
Cet ouvrage traite du thème de la morale qui est au programme de l'agrégation interne de philosophie pour la session 2019-2020.
Une erreur commune consiste, en philosophie de l'art, à ne pas prendre d'assez haut le domaine en question. Il en résulte ordinairement une conception par trop étriquée de l'art, ainsi qu'insuffisamment spécifique. Il convient donc, pour ne pas se laisser duper, d'envisager l'art dans un contexte conceptuel beaucoup plus large, comme le font significativement tous les grands philosophes. Platon pense l'art à partir de l'éducation ; Aristote part de la notion de nature ; Kant arrive à l'art à partir de la question du jugement ; Hegel, à partir de celle d'esprit ; Nietzsche adopte le point de vue de la vie, etc. Tout ceci explique alors la diversité des possibilités de théories sur l'art : théorie morale et politique, théorie naturaliste, idéaliste ou empiriste, rationaliste ou anti-rationaliste, vitaliste, etc. On peut même penser, comme certains, que la question esthétique de l'art et du beau est commandée plus ou moins secrètement par celle, métaphysique, de l'être.
Quant à nous, une théorie sérieuse de l'art ne nous paraît pas pouvoir se développer de manière solide sans une théorie (dès lors englobante) de la culture, même si le rapport art/culture, comme on va le voir, ne va pas de soi. Est-ce bien un hasard si nombre de grandes théories de l'art ont été élaborées par des philosophes de la culture tels que Platon, Hegel ou encore Nietzsche ?