Bachari
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La cuisine algérienne, comme tant de cuisines traditionnelles, évoque pour celui qui la connaît, l'image de la mère tamisant sa semoule, roulant son seksou (couscous) ou pétrissant sa galette.
Des souvenirs chaleureux ancrés dans la mémoire olfactive du moins gourmet des enfants qui n'en apprécie la valeur qu'à l'âge adulte, lorsque les effluves si familières s'effacent et que la nostalgie s'installe.
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La cuisine Kabyle, comme tant de cuisines traditionnelles, évoque pour celui qui la connaît, l'image de la mère tamisant sa semoule, roulant son seksou (couscous) ou pétrissant sa galette.
Des souvenirs chaleureux ancrés dans la mémoire olfactive du moins gourmet des enfants qui n'en apprécie la valeur qu'à l'âge adulte, lorsque les effluves si familières s'effacent et que la nostalgie s'installe. Mais la cuisine Kabyle c est aussi le goût brut, celui de la montagne, frais, épuré ; celui d'un champ de blé après la moisson et celui des légumes, bios par nature.
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Plaisir d'un goût qui remonte loin dans le passé, la pâtisserie algérienne se caractérise par sa diversité, sa finesse, son arôme et sa saveur, qualités qui font qu'elle se différencie de celles des pays voisins.
Ayant certainement connu une influence directe des cultures moyen-orientales, elle a su, cependant, créer sa propre originalité grâce à la subtilité d'esprit et a la passion des femmes algériennes. Ces bonnes recettes contiennent une richesse et un goût ; leur pâte feuilletée, fondante, avec sa douceur irrésistible, accompagnées d'un bon thé à la menthe en font un régal au sein d'une ambiance conviviale où jeunes et vieux peuvent partager un moment agréable.
Bien plus, elles transmettent la sagesse d'hier.
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La cuisine Kabyle, comme tant de cuisines traditionnelles, évoque pour celui qui la connaît, l'image de la mère tamisant sa semoule, roulant son seksou (couscous) ou pétrissant sa galette.
Des souvenirs chaleureux ancrés dans la mémoire olfactive du moins gourmet des enfants qui n'en apprécie la valeur qu'à l'âge adulte, lorsque les effluves si familières s'effacent et que la nostalgie s'installe. Mais la cuisine Kabyle c'est aussi le goût brut, celui de la montagne, frais, épuré ; celui d'un champ de blé après la moisson et celui des légumes, bios par nature.
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De nos jours, les livres de recettes ne manquent pas. Cependant, lorsqu'on parle de cuisine algérienne, il faut bien reconnaître que mis à part quelques initiés, lorsqu'on a dit couscous, méchoui, merguez et quelques très rares gâteaux ou beignets, on est en panne de mots...
Cuisine mal connue, voire méconnue, la cuisine algérienne mérite un détour, une halte gourmande.
Les curieux, les gourmands, les gourmets de tous bords y trouveront leur compte et, ceux et celles dont les parents ont quitté l'Algérie et qui, souvent, ignorent les richesses de cette cuisine, auront ici l'occasion d'entreprendre un voyage de la mémoire dans l'antre ancestrale de la magie culinaire.
En effet, il s'agit bien d'un voyage où saveurs et parfums nouveaux rivalisent à l'envie avec les couleurs.
Ce livre, d'est en ouest, du nord au sud, à travers un riche éventail de recettes, nous entraîne sur les chemins de la découverte de l'art culinaire traditionnel algérien.
Tradition et modernité n'y sont ni en compétition, ni en contradiction. Il s'agit juste d'utiliser les facilités actuelles en matière de produits « préfinis » qui permettent aux femmes actives de mitonner de délicieux plats dans un temps raisonnable à l'aide d'ustensiles de cuisine actuels qui marient efficacité et célérité sans pour autant nuire au goût. Il s'agit donc de cuisiner plus rapidement et sans prendre de kilos superflus car cuisine traditionnelle ne rime pas forcément avec excès de gras et de sucre. C'est dans cette optique que les recettes sont élaborées.