La révélation de scandales liés aux stupéfiants alimente régulièrement l'actualité moyen-orientale. Mais sait-on que l'addiction de masse qui frappe l'Iran moderne trouve sa source dans une dépendance à l'opium diffusée depuis un demi-millénaire au sein de la société persane ? Que la position hégémonique sur le marché de l'héroïne qu'occupe aujourd'hui l'Afghanistan se fonde sur le choix d'un souverain modernisateur de développer, au début du siècle dernier, la culture du pavot ? Que le régime Assad, bien avant de devenir le principal producteur mondial de captagon, a longtemps joué un rôle névralgique dans les réseaux mondiaux d'héroïne, à partir des raffineries installées sous son contrôle au Liban ?
Au-delà de la mise en perspective d'une actualité brûlante, et loin des clichés culturalistes, l'ambition de ce livre est de remonter la trame historique du Moyen-Orient sous l'angle de la production et de la consommation des stupéfiants. Un fascinant voyage à travers les siècles, de l'Antiquité jusqu'à l'époque contemporaine, en passant par les Abbassides et les Mamelouks, l'empire ottoman, ou encore l'expédition d'Egypte, avec pour guide l'un des meilleurs spécialistes de la région.
Une histoire de pouvoir et de société qui confirme, sur la longue durée, que « plus la répression est dure et plus les drogues le sont ». Une leçon à méditer.
La situation au Moyen-Orient n'est pas une crise de plus mais un basculement historique.
En dépit de la Crise financière de 2008, l'aménagement d'Abou Dhabi - et de sa smart city de Masdar non loin de l'aéroport - se poursuit. Grâce à son ralentissement structurel, on assiste depuis peu à un basculement de la capitale des Émirats arabes unis (600 000 habitants, troisième ville après Dubaï et Charjah) d'un modèle de « pétro-urbanisme » calqué sur les villes américaines énergivores (superhighways de bitume, murs-rideaux de verre et megamalls climatisés), vers celui d'un modèle plus durable, culturel et touristique, symbole de « l'après-pétrole ». Et alors que l'« île des Musées » de Saadiyat prend peu à peu forme, Masdar teste la limite des écocités solaires. Un historien et un urbaniste déchiffrent ici cette mutation.
"Alors que l'étau risque de se fermer sur le Liban à la fin des années 1960, le Père Abbé Boulos Naaman, supérieur général de l'Ordre Libanais Maronite, tente de contrer les problèmes politiques et existentiels guettant son pays. Il rejoint le Front libanais qui soutient le régime légal installé par le mandat français. Dans ses mémoires préparés et rédigés par Antoine Saad, l'Abbé Naaman dévoile plusieurs secrets de la guerre du Liban et nous fait part des efforts qu'il a déployés pour éviter plusieurs tragédies."
Malgré les nombreux ouvrages consacrés à l'Algérie, les ressentiments, les idées fausses, les préjugés demeurent ; la polémique sur la nature de la colonisation ressurgit dans le débat public et la mémoire au sujet de la Guerre d'Algérie et de ses nombreuses victimes n'est toujours pas partagée. C'est à partir de ce constat que Pierre Caravano propose de reprendre l'Histoire de son pays natal. Dans un style narratif, pédagogique, étayé sur une abondante bibliographie, l'auteur décortique, les mécanismes sociaux et politiques, les peurs, les injustices, les mensonges qui ont provoqué le malentendu et l'affrontement entre deux peuples ayant vocation à vivre ensemble dans un même pays. Ce faisant, il dénonce des idées reçues tenaces qui ont empêché la compréhension de cet évènement.
Alors que les guerres d'Indochine et d'Algérie s'enchaînent, créant une période de conflit continue pour la France de 1945 à 1962, l'historiographie dépasse rarement les cadres spatiaux-temporels de chaque guerre pour les considérer comme un ensemble. Il en est de même pour la colonisation, en dépit des acquis actuels de l'histoire connectée. Le pari de ce dossier est de dégager l'Indochine et le Maghreb d'approches nationales et/ou bilatérales, centrées sur leurs relations avec l'ancienne métropole. Partant d'un projet comparatif, il aboutit à des propositions, empiriquement fondées, de renouvellement de l'histoire de l'Empire français.
Avec les contributions de Christopher Goscha, Sylvie Thénault, Pierre Grosser, Jim House, Neil MacMaster, Denis Leroux, Raphaëlle Branche, Julien Mary, Martin Thomas, Emmanuel Blanchard, Andrew Barros, Hazuki Tate, Frédéric Spillemaeker.
"En 2018, elles ne sont pas encore tout à fait six millions, mais cela ne saurait guère tarder. Elles, ce sont les Tunisiennes. Ce livre propose des réponses claires aux nombreuses interrogations que soulève la place de la femme dans la population. L'auteur décrypte ici le comportement démographique de la femme tunisienne, au travers d'un examen approfondi des différentes étapes de sa vie : sa naissance d'abord, son éducation, son entrée sur le marché de l'emploi, sa mobilité, sa nuptialité, sa divortialité, sa fécondité, son vieillissement, et finalement sa mort."
Cet ouvrage traite du statut juridique des femmes tunisiennes et de leur droit de propriété foncière à l'époque moderne. L'auteur examine aussi la question du droit de propriété, les structures du régime foncier tunisien et, surtout, les nouvelles réformes foncières pendant la période des Tanzimat de l'Empire ottoman. Quelle est la nature des propriétés accordées aux femmes ? De quelle manière les biens waqfs des femmes circulaient-ils entre les individus dans la ville de Tunis à l'époque moderne ? Les femmes étaient-elles simplement désavantagées ou totalement exclues du partage des biens fonciers ?
Les vignobles du Proche Orient n'ont pas souvent l'occasion de faire l'objet d'une attention particulière, ceux du Liban encore moins. Cet ouvrage tient à combler cette lacune en prenant comme objet d'étude les espaces viticoles de la Bekaa, grande plaine intérieure de cet Etat.
Si la vigne existe depuis fort longtemps, la renaissance du vignoble libanais intervient après le milieu du XIXe siècle sous l'impulsion des Pères Jésuites. Pendant tout le XXe siècle, il ne connaît que des changements minimes. C'est après la fin de guerre civile, en 1990, qu'une véritable révolution s'opère dans la manière de produire avec une restructuration des surfaces plantées accompagnée d'une recomposition territoriale.
Cette étude prend comme fil conducteur les paysages viticoles créés par les exploitants, éléments visuels qui montrent la genèse d'un vignoble en cours d'expansion.
Durant ces dernières années la gestion intégrée des nappes aquifères par l'utilisation de l'outil informatique est devenue plus que nécessaire avant d'être un choix. Des modèles mathématiques ont était élaborés, de plus en plus performants pour simuler le fonctionnement des aquifères, de comprendre ce fonctionnement dans les conditions naturelles, de quantifier l'influence de la variabilité climatique et de prévoir l'impact de l'intervention anthropique sur la quantité et la qualité de la réserve souterraine. Ce travail consiste en une étude hydrogéologique pour l'identification des paramètres hydrodynamiques et l'application du code de calcul ASMWIN (Aquifère Simulation Model) basé sur la méthode des différences finies, pour la modélisation de la nappe inféroflux se basant sur de nombreuses hypothèses simplificatrices, et des simulations du comportement de la nappe pour différents scénarii d'exploitation. Nous essayerons pour finir de faire une synthèse des résultats trouvés et quelques recommandations en vue d'une meilleure gestion de cet aquifère.
Dans un contexte de raréfaction et des risques de changements climatiques, l'usage intensif des ressources en eau souterraine, en particulier par le secteur irrigué, conduit à une nécessité accrue des concevoir des mécanismes de gouvernance, à la fois au niveau local et national. Conscient de cette menace, l'association et la responsabilisation des usagers dans la gestion de l'eau d'irrigation a été jugée nécessaire à travers la mise en place des associations d'usagers d'eau appelées aujourd'hui les Groupements de Développement Agricole (GDAs) d'irrigation. Ce mode de gouvernance est cependant source de distordions économiques pouvant impactés négativement l'efficacité du système. En effet, l'asymétrie d'information entre les différents acteurs de la gestion de l'eau d'irrigation a été largement ignorée dans l'étude de la relation contractuelle de GDA avec son environnement externe et posant ainsi un problème d'incitation au meilleur service et de son contrôle. Le présent travail s'interroge effectivement sur les outils économiques de régulation à mettre en oeuvre afin de contrôler la surexploitation des ressources en eau souterraine dans un scénario d'asymétrie d'information.
Ce qui est paradoxal, c'est que ce regain de religiosité ne s'accompagne pas réellement de la mise en évidence des valeurs fondamentales proclamées aussi bien par l'Islam que par les acquis universels ; nous assistons en fait à une réelle panne en termes de valeurs ; on se proclame de la spiritualité musulmane, mais dans les faits on réduit souvent l'islam à des interdits qui frisent parfois le ridicule ; on va certes à la mosquée, mais les chaines de solidarité s'affaiblissent ; on met en évidence la morale dans les comportements sociaux, mais les relations socioéconomiques perdent énormément en termes de confiance et la corruption prend des proportions exorbitantes...
La perte de représentativité de nos organisations politiques et notre système électoral éparpille le champ politique et ne permet pas l'émergence de majorités claires.
L'oasis de Chott Sidi Abdel Salam est l'unique oasis littorale de la méditerranée et l'un des derniers exemples d'oasis dans le monde. Il s'agit d'une une ancienne oasis traditionnelle qui doit son existence à trois ressources naturelles et patrimoniales. Aussi, l'oasis constitue un refuge pour une faune riche en petits mammifères, reptiles, mollusques, insectes, etc...., et pour une faune associée, peu encore connue, composée essentiellement des oiseaux migrateurs et hivernants d'intérêt international. Malgré leurs importances multiples, l'oasis a été transformée en une catastrophe économique, sociale et écologique par la construction du complexe industriel chimique et l'ONAS, l'urbanisation anarchique au dépend des terres agricoles, la détérioration et la salinisation des sols, l'urbanisation anarchique et la démobilisation des paysans, afin de présenter les recommandations rassemblées lors des rencontres et discussions, ainsi que des rapports provenant des études d'inventaires.
C'est une étude géo archéologique où l'application du S.I.G. est en vigueur. Le tout forme désormais une discipline dite « archéomatique », à savoir, l'application de la géomatique en archéologie, essentiellement en prospection archéologique dans la zone couverte par la feuille au 1/50000ème de Zaouiet Medien au nord ouest de la Tunisie. Le principe consiste à : -Réunir, tout d'abord, plusieurs types de données: données spatiales, cartes et fonds numérisés, données du terrain ou données obtenues lors de la prospection du terrain et ce pour appuyer et compléter un autre type de données recueillies lors du dépouillement des références et des sources historiques et archéologiques en relation directe ou indirecte avec le terrain étudié, d'un site ou d'un monument situé sur ce terrain. -Etablir, en suite, un lien intelligent et interactif entre ces données de différents types, croiser ses couches spatiales grâce à ce que pourrait permettre notre outil dit S.I.G. -Faire des statistiques analytiques ou près analytiques. -Passer, enfin, à l'étape dite « analyse spatiale » étape où on comprend mieux la dynamique du peuplement essentiellement pendant l'Antiquité et l'Antiquité tardive.
Cet ouvrage n'est pas une réflexion nébuleuse hors de l'espace et hors du temps. Le débat qu'engage Abdelkader Mohaine n'est pas seulement celui qui tourne autour de la nature de la géographie. Car c'est aussi d'aménagement dont il s'agit dans ce travail de réflexion, à la lumière de laquelle l'auteur examine l'histoire de l'aménagement au Maroc depuis l'Indépendance. Il le fait sans concession au politiquement correct...
Abdelkader Mohaine revient par ailleurs sur la géographie marocaine en invitant ses détenteurs à oser jeter un regard à leur angle mort, à être à la fois conscients de leurs responsabilités et suffisamment prêts à accepter de sortir de leur tour d'ivoire universitaire où ils restent trop souvent éloignés des réalités tangibles du terrain.
La diversité floristique du parc national de Taza (PNTaza) a permis d'établir une liste floristique de 420 espèces et sous espèces relevant de 258 genres et 71 familles botaniques. Cette richesse floristique renferme 56 taxons endémiques (s.l.). La flore du PNTaza est composée de 120 espèces considérées comme rares (s.l.). La mise en place de la base des données numérique et graphique a permis de réaliser un ensemble des cartes thématiques et plurithématiques (cartes des groupements végétaux et cartes d'aménagements) du massif des Babors et le PNTaza. Ces cartes serviront de documents de base à l'élaboration d'un plan d'aménagement forestier durable.Sur un nombre total de 105 enquêtes socioéconomiques réalisées à travers cinq sites : (Babor, serdj el Ghoul , Taza, Lallem et Ait Smail). L'AFC a mis en évidence trois types d'exploitations (exploitation pastorale dans la forêt, exploitation agro-pastorale à la lisière et dans la forêt et exploitation en phase de développement).
En Algérie, les sols gypseux occupent une superficie de 7966,3 km2, ce qui correspond à un pourcentage de 3,3 % de la surface totale du pays, les études effectuées sur ces sols sont beaucoup plus pédologiques que microbiologiques. Ce travail est une étude quantitative et qualitative des micro-organismes qui vivent dans les croutes de surface de quelques sols gypseux et salins, dans un milieu saharien (la région de Ouargla). Les analyses physico-chimiques montrent que les sols de Ouargla ont une texture sableuse et limono-sableuse. Les sols étudiés sont caractérisés par : un faible taux d'humidité, une salinité élevée, et contiennent des teneurs variables en gypse. Les teneurs en matière organique et en azote total dans le sol sont faibles. Le couvert végétal est clairsemé et parfois totalement absent. Les sols sont peuplés par une microflore diversifiée et adaptée aux conditions difficiles du milieu saharien, la biomasse microbienne et le nombre des germes varient d'un sol à un autre. Les croutes biologiques de la région de Ouargla sont peu développées à cause des facteurs climatiques (sècheresse) et des facteurs biologiques (rareté et/ou absence du couvert végétal).
Le présent ouvrage traite les impacts négatifs des déchets sur l'environnement et les écosystèmes de Tagzirt. Il détaille les causes qui engendrent des décharges sauvages en proposant des enjeux et des alternatives. Il expose également les aspects de la dégradation de l'environnement et présente une vision sur une réalité qui s'aggrave en l'absence de volonté politique avec un plan d'action où la société civile sera chargée d'encadrer les populations autochtones afin de s'attacher à leurs valeurs ancestrales. La culture amazighe est soucieuse de l'équilibre entre l'homme et son environnement à travers le Moyen Atlas. Un inventaire de la biodiversité établi dans des tableaux et une analyse traite les menaces de l'érosion sur l'homme et son environnement.
Dans le sillage d'Edward W. Said qui définissait l'impérialisme comme un « acte de violence géographique, par lequel la quasi-totalité de l'espace mondial est explorée, cartographiée et finalement annexée », la géographie est apparue comme la discipline de l'impérialisme par excellence. Du xixe au milieu du xxe siècle, les savoirs sur l'espace ont été indéniablement des instruments puissants de la conquête puis du contrôle social des territoires non européens, mais cette évidence a conduit à une analyse souvent très réductrice de leurs contenus. Ces savoirs offraient-ils tous la même représentation des sociétés et des territoires non européens ? Ressassaient-ils tous à l'envi l'irréductible différence entre l'Européen et l'Indigène ?
Florence Deprest propose ici de reconsidérer la catégorie de géographie coloniale à travers l'étude de la géographie universitaire de l'Algérie entre 1880 et 1950. L'auteur opère une mise en relation des discours savants, des conditions institutionnelles de leur production et de leur circulation entre colonie et métropole, ainsi que des contextes politiques et des pratiques concrètes de leur mise au service du pouvoir.
Donnant à observer des scientifiques qui participent tous de la nébuleuse coloniale, elle montre comment ceux-ci développent des conceptions variables et parfois antagonistes sur des thèmes aussi stratégiques que les limites naturelles de l'Algérie ou l'évolution des genres de vie indigènes.
Très loin d'une réhabilitation de la géographie coloniale française, l'ouvrage met au jour les logiques contradictoires au coeur des savoirs universitaires et dévoile ainsi les visages multiples de la domination.
Peut-on parler de décentralisation sans faire le rapprochement avec les questions de développement? Au Sud comme au Nord, les opinions s'accordent sur le choix des mesures de décentralisations, dans la mise en oeuvre des stratégies participatives de développement. S'inscrivant dans une réflexion sur la «bonne gouvernance», la décentralisation prône un nouveau type de développement, mettant en évidence la relation entre gouvernance et gestion des ressources locales d'une société. L'implication des entités territoriales de base aux prises de décisions participe à la (re)construction du développement local.La décentralisation peut-elle servir la dynamique de développement au niveau local? L'exemple de la commune rurale de Guidimouni évoque une situation où la décentralisation piétine encore, du fait notamment du manque d'implication des acteurs locaux, mais aussi de l'absence d'un espace public propice à l'harmonisation des initiatives de développement. Cette contribution constitue une source d'informations et de réflexions,pour les épris des questions de décentralisation,de développement et de gouvernance publique.
Le long des littoraux sableux tels que la côte Est de Sidi-Fredj, les vagues et principalement les courants moyens induits par celles-ci jouent un rôle majeur dans l'évolution morphologique des plages. La côte Est de Sidi Fredj, notre zone d'étude, est caractérisée par des formations sableuses développées sur une longueur de 3km environ entre le port de Sidi-Fredj et la plage de Moretti. Durant ces dernières décennies, cette plage a connu d'importants démaigrissements et recul du trait de côte après la construction du port de Sidi-Fredj (1970), aussi une dégradation spectaculaire de la plage devant l'hôtel El Riad et El Minzah, causée par la mauvaise implantation des ouvrages de protection de cette zone. Le but essentiel est d'étudier l'évolution morphodynamique de cette portion du littoral de la Baie d'El Djemila.
Cette publication d'Options Méditerranéennes (OM) réunit les travaux du réseau Foncimed présentés au séminaire de Cargèse d'octobre 2011 et de Montpellier de juillet 2013. Foncimed est un réseau méditerranéen pluridisciplinaire et interinstitutionnel d'échanges et de comparaisons d'expériences sur la question foncière. Il fonctionne depuis 2007 animé conjointement par le CIHEAM-IAMM et l'INRA-SAD. Le réseau Foncimed ambitionne de nourrir le partage d'expériences multidisciplinaires, de croiser le monde scientifique et celui du développement, de produire des études collaboratives et comparatives sur les changements d'usages des terres et de l'eau et les politiques de gestion des ressources naturelles (sol et eau) dans la région méditerranéenne. C'est un lieu d'échange entre chercheurs et praticiens, sur les expériences, les études, les méthodes et les résultats de recherches portant sur la question foncière, et plus spécifiquement pour la période 2011-2013 sur les modes de gouvernance (institutions, règles d'accès, régulation des conflits d'usage) des ressources naturelles (terres et eau) en Méditerranée. Les objectifs spécifiques (2011-13) sont les suivants : échanges de savoir sur les modes de gouvernance et les usages des ressources naturelles ; améliorer les approches développées par le réseau et promouvoir les études et la recherche dans le réseau ; faire le suivi des politiques et des actions qui ont un impact sur les changements d'usages des terres et sur leur dynamique ; appuyer la décision publique.