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Gm Editions
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Black is beautiful. Quoi qu'on dise, le noir est une couleur. Le noir est une couleur aux multiples reflets, dont les voix se veulent protestataires, engagées, festives, cosmiques, romantiques, rebelles, novatrices. Le noir est une couleur aux reflets cuivrés et remarquablement rythmés. Malgré les stigmates de l'esclavagisme, une ségrégation agressive, une discrimination persistante et des abus d'autorités qu'ils subissent encore aujourd'hui, les Afro-Américains ont façonné la texture sonore des États-Unis, en parallèle de leur lutte pour leurs droits. L'unité, c'est ce qui rend incontournable leur musique, aussi plurielle soit-elle, et qui la fait toujours vibrer dans nos tripes comme dans nos coeurs.
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Disquaires, une histoire ; la passion du Vinyle
Francis Dordor
- Gm Editions
- 12 Juin 2021
- 9782377971343
Ce livre retrace une aventure, celle d'une activité pas comme les autres, souvent incarnée par des personnages hors normes dont la vie est remplie d'histoires improbables. Elles sont relatées ici, chacune célébrant ce métier qui a changé la vie de beaucoup d'entre nous. En proposant d'inestimables lieux d'échanges et de rencontres à des mélomanes exigeants comme à des apprentis musiciens, certains disquaires ont contribué à la transformation du monde. Ainsi Brian Epstein qui de son magasin NEMS à Liverpool a lancé les Beatles... De Paris à Rennes, de Nancy à Nantes, de Londres à Bordeaux de nombreuses boutiques de disques ont aidé à enfanter les nouvelles tendances musicales et les groupes qui les façonnaient. D'Étienne Daho à Chrissie Hynde (Pretenders), de Lenny Kaye (Patti Smith) à Miossec en passant par Pierre Lescure et Philippe Manoeuvre, l'auteur s'entretient avec les acteurs petits ou grands, vendeurs, clients, collectionneurs attachés à ce négoce à part qui a marqué plusieurs générations. Il fait le récit vivant d'une passion commune ranimée à la faveur du retour inespéré du disque vinyle et de ses incontournables passeurs de sillons, les disquaires.
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« Bernard Herrmann avait l'habitude d'écrire seul toutes ses partitions. Exactement comme le faisaient Bach, Beethoven ou Stravinsky. Je ne saurais dire pourquoi ce genre de chose se passe dans l'industrie du cinéma.» Derrière ce constat du maestro Ennio Morricone, une réalité´ : pour peu démonstratifs qu'ils sont dans la sphère publique, ces étranges animaux - parfois dotés de l'oreille absolue - que restent les compositeurs de B. O., sont devenus les héritiers des maîtres de la musique symphonique d'antan. Mieux, les thèmes qu'ils ont écrits pour certains films, séries et même jeux vidéo, sont devenus des marqueurs de la pop culture globale.