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Connaissance des arts Hors-Série : Basquiat soundtracks
Collectif
- Connaissance Des Arts
- Connaissance Des Arts
- 12 Avril 2023
- 9782758011774
La Philharmonie de Paris, en collaboration avec le Musée des beaux-arts de Montréal, présente À plein volume : Basquiat et la musique. Il s'agit de la première grande exposition consacrée à la place de la musique dans l'oeuvre de Jean-Michel Basquiat. L'exposition regroupe plus d'une centaine d'oeuvres de Basquiat, de nombreux extraits sonores, extraits vidéo, carnets et documents d'archives, et porte un regard approfondi sur la carrière de musicien de l'artiste, sur les sons qu'il a traduits en peinture et sur les musiciens qui l'ont inspiré. Elle jette un nouvel éclairage sur sa carrière d'homme de scène et de musicien, notamment au sein du groupe Gray, dont il était l'un des membres fondateurs.
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Volume ! n.19-1 : la scène de Canterbury
Volume !
- Melanie Seteun
- Volume !
- 15 Août 2022
- 9782913169692
L'analyse, l'histoire et la réception de la scène musicale de Canterbury entre la fin des années 1960 et le début des années 1970.
Que l'on pense au groupe Soft Machine en première partie d'une tournée de Jimi Hendrix en 1968 aux États-Unis, au célèbre album Rock Bottom de Robert Wyatt plus tard, ou encore aux groupes Caravan et Hatfield and the North : les artistes et les musiques de la scène de Canterbury en Angleterre ont donné une empreinte spécifique et colorée au rock entre la fin des années 1960 et le début des années 1970. Attachés à des tenues scéniques imprévisibles et à un humour radical, ces musiciens ont produit des disques relevant d'expérimentations multidirectionnelles, dont certains restent des repères importants aujourd'hui.
L'objectif de ce numéro de Volume ! est d'explorer ces répertoires, peu abordés par la recherche internationale, en privilégiant les approches de l'analyse, de l'histoire et de la réception. Deux spécialistes, le musicologue Vincenzo Caporaletti et l'essayiste Aymeric Leroy, et plusieurs autres chercheurs tentent de démêler ici certains des « noeuds » de cette scène et de sa musique. -
Ce numéro explore les différentes facettes musicales des Pays de la Loire et propose aussi bien à travers une approche historique des opéras de la région, qu'une présentation des musiques d'aujourd'hui. Des anges musiciens ornant la cathédrale Saint-Julien du Mans aux nombreuses écoles de musique régionales, des compositeurs aux décors et costumes des représentations lyriques ou encore de la musique baroque au rock, 303 a souhaité offrir un panorama aussi complet que possible de la musique en Pays de la Loire.
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Si la chanson mérite d'intéresser la génétique pour interroger son mode de création, il peut sembler périlleux d'y consacrer un volume et d'espérer résoudre le problème : parce que la chanson est un genre mixte qui ne saurait s'établir sur la page indépendamment des autres médias qu'elle associe, parce qu'elle est depuis toujours un genre collaboratif qui relègue la question des paternités exclusives, parce qu'elle est un genre populaire qui peut se satisfaire d'inspirations sans récriture et susciter en revanche des réécritures inspirées ;
Enfin parce qu'il n'y a pas ou peu de tradition des sources, pas de reliques prééditoriales, pas d'exégèses attendues. Toutes ces causes et conditions sont donc abordées tour à tour à travers des exemples prestigieux puisés notamment chez Brassens, Ferré, Barbara, Vian, Moustaki. La réflexion est prolongée en interrogeant les paroliers de nos tubes ou des auteurs contemporains comme Bertrand Belin ou Philippe Djian.
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Ce numéro spécial « Experts / Non Experts - Construction participative du savoir dans les musiques populaires : controverses et historiographie » entend poser une réflexion rétrospective et critique quant à la vocation initiale des popular music studies de mettre en lumière des répertoires peu étudiés et parfois déconsidérés. Il vise par ailleurs à susciter de nouvelles réflexions et pistes de recherche quant à cette vocation initiale, en envisageant notamment la collaboration des experts et des non-experts au processus de construction du savoir.
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Pour les sonorités opposées
Anthony Girard, Philippe Malhaire, Collectif
- L'Harmattan
- Revue D'esthetique Et D'analyse Musicales Des Xx Et Xxi Siecle
- 2 Novembre 2023
- 9782336411880
La revue Pour les sonorités opposées est née de la nécessité de mieux faire connaître la postmodernité musicale. Si l'ambition de cette publication est de réunir des articles esthétiques et analytiques apportant des points de vue nouveaux, il s'agit également de donner la parole aux compositeurs incarnant la pluralité de notre époque, tous animés du désir de s'exprimer aujourd'hui librement.
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Pour les sonorités opposees Tome 3 ; revue d'esthétique et d'analyse musicales des XXe et XXIe siècles
Anthony Girard, Philippe Malhaire, Collectif
- L'Harmattan
- 4 Décembre 2019
- 9782343190846
Ce numéro comporte deux articles (Tonal/atonal : une fracture dépassée par Jacques Viret, et Une autre perspective. Le choix d'une esthétique musicale : liberté ou illusion ? par Anthony Girard) ainsi que quatre entretiens avec des compositeurs (Pour évoquer l'image du passé, avec Guy Sacre par Anthony Girard ; Clocks & Clouds, avec Karol Beffa, par Philippe Malhaire ; Affaire de style, non de langage, avec Stéphane Delplace, par Charly Mandon ; Dans les murs. Retour sur une expérience musicale en milieu carcéral, avec Philippe Hersant et Thierry Machuel, par Sarah Léon).
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Ostinato rigore n.8/9 : les musiciens au temps de Louis XIV
Collectif
- Nouvelles Editions Place
- Ostinato Rigore
- 9 Décembre 1997
- 9782858933020
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Numéro consacré à la musique comme travail.
Étudier la musique, c'est aussi étudier la manière dont les gens travaillent dans la musique, en particulier pour ceux qui n'accèdent pas à la célébrité et au parcours qu'on peut qualifier d'artisanal. Aujourd'hui, les acquis de la sociologie impliquent de prendre au sérieux, au-delà des travaux sur le numérique, les dimensions les plus laborieuse, matérielle, économique, de pratiques certes « artistiques » mais qui ne s'inscrivent pas moins dans un marché de l'emploi très inégalitaire. Les six articles de ce dossier sont issus d'interventions réalisées dans le cadre du réseau de recherche international Working in Music. Les auteurs, venant de différents pays d'Europe (Grèce, Suisse, Grande-Bretagne, France), mobilisent des terrains variés mais aussi, de plus en plus, un corpus commun de références, montrant là tout le dynamisme et la robustesse des recherches contemporaines sur le travail musical.
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Blank forms n.7 : the cowboy's dreams of home
Collectif
- Blank Forms
- Blank Forms
- 27 Août 2021
- 9781733723596
Alors que les précédentes parutions (notamment Aspirations of Madness, Intelligent Life, 2019, Music From The World Tomorrow, 2018) donnaient à lire des documents d'archives peu accessibles ou nouvellement traduits, ce volume privilégie de nouveaux textes rédigés spécifiquement pour la publication. Il s'agit notamment d'un entretien rétrospectif approfondi avec l'auteur-compositeur-interprète et artiste visuel texan Terry Allen, mené par le conservateur en chef de l'ICA de Philadelphie, Anthony Elms ; d'une conversation entre des écrivaines multidisciplinaires - et amies de longue date - Thulani Davis et Jessica Hagedorn à l'occasion du dernier recueil de poésie de Davis, Nothing but the Music, récemment publié par les éditions Blank Forms ; une discussion entre la compositrice Sarah Hennies et la violoncelliste Judith Hamann à propos de leur récente collaboration, qui figure dans le disque de Judith Hamann, Music for Cello and Humming ; et une conversation avec les compositeurs-interprètes Tashi Wada et Charles Curtis, à l'occasion d'une anthologie récente des oeuvres de Curtis, Performances & Recordings 1998-2018, produite par M. Wada. Chacun de ces entretiens met en lumière les particularités des trajectoires et des méthodes des artistes.Outre ces dialogues, l'ouvrage propose de nouvelles réflexions critiques sur trois artistes dont Blank Forms a présenté le travail : le légendaire percussionniste de jazz Milford Graves, par Ciaran Finlayson ; l'artiste multimédia anglais Graham Lambkin et son fascinant album Amateur Doubles de 2011, par Alan Licht ; et le trio de musique expérimentale britannique Still House Plants, par Joe Bucciero. Ces articles explorent des contextes historiques, sociaux et théoriques, comblant ainsi les lacunes de la littérature existante. Des poèmes et des écrits sur la poésie, nouveaux ou republiés, complètent ces entretiens et ces essais, notamment des textes rares de Davis, Hagedorn et René Daumal - ce dernier traduit par Louise Landes Levi - et une suite d'écrits auto-mythologiques commandés au compositeur et musicien Angel Bat Dawid, basé à Chicago
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Spectres n.3 : fantômes dans la machine
Collectif
- Shelter Press
- Spectres
- 25 Octobre 2021
- 9782365820431
L'expression « fantôme dans la machine » a trouvé naissance dans un contexte particulier, celui de la critique du dualisme cartésien séparant l'âme et le corps, renouant ainsi avec un certain matérialisme mécaniste. Pour le dire simplement, cette approche nie l'existence d'une âme indépendante (le fantôme) qui serait véhiculée par un organisme corporel (la machine). Elle affirme, au contraire, que « l'âme » n'est qu'une manifestation du corps et ne fait qu'un avec lui. Si cette question est encore délicate à trancher, risquant à tout moment de glisser dans le registre des croyances, elle se réactualise à présent autour de l'émergence des intelligences artificielles : est-ce qu'une telle intelligence existe ? Ne se réduit-elle pas à la somme des opérations binaires qui la génère ? Et qu'est-ce au juste que l'artificiel ?
L'artificiel porte toujours en lui un fantasme d'émancipation, d'autonomie et de rupture avec un ordre supposé naturel des choses. Il est subversif. L'IA, en tant, justement, qu'artificielle, embrasse une telle subversion, hybridant les mythes prométhéen et faustien, augurant tout autant de promesses que de dangers potentiels, poussant les enjeux aussi haut que la survie ou l'extinction de l'humanité. À ce titre, le domaine de la création musicale fait figure d'avant-poste. Il est à la fois un terrain d'exploration des applications possibles de l'IA et un domaine possédant déjà une histoire assez longue dans l'intégration des machines et leur puissance de calcul dans le processus de création. De la composition algorithmique aux méthodes de resynthèse, de l'approche logique à la création de systèmes cybernétiques, de la naissance de l'informatique musicale aux réseaux de neurones, la musique, depuis plus d'un demi-siècle, a entamé un dialogue ininterrompu avec l'univers binaire des flux d'électrons et des systèmes de plus en plus complexes qui les gouvernent.
Les textes réunis ici racontent, chacun à leur manière, une face différente de ce prisme étrange que forme une telle alliance. Ils projettent chacun un spectre particulier, révèlent un fantôme, et évoquent une apparition composite d'idées, d'électricité et d'opérations. Ce livre ne se destine donc pas à essayer de trancher le noeud gordien que constitue la question des possibles devenirs et mutations de la logique binaire, et notamment de son dernier avatar, l'IA. Il propose au contraire d'apporter un éclairage multiple sur les manières possibles de s'en emparer, des rêves, des promesses et des doutes que ces devenirs soulèvent, qu'ils s'actualisent dans la création de codes et de programmes pour chevaucher les sons, qu'ils insufflent tout un projet compositionnel, qu'ils révèlent l'algorithmique chez l'humain ou encore qu'ils s'emparent directement de la rédaction du texte lui-même, se hissant à la hauteur de l'auteur. Mais plus que tout, l'enjeu, ici, est d'établir en quoi ces devenirs peuvent résonner et comment cela se manifeste, au travers de toutes ces démarches, de tou -
Blank forms n.5 : aspirations of madness
Collectif
- Blank Forms
- Blank Forms
- 20 Septembre 2020
- 9781733723541
Le 5e numéro de la revue de Blank Forms se penche sur l'oeuvre du pionnier japonais du free jazz Masayuki Takayanagi, de la poétesse Louise Landes Levi, du musicien et écrivain Joseph Jarman, de la polymathe Catherine Christer Hennix et de son ancien élève le poète Charles Stein, du musicologue russe Henry Orlov et de Maryanne Amacher, avec également des contributions de Alan Cummings, Bill Dietz, Peter Kastakis, Art Lange, Leo Svirsky, Satoru Obara et Tomoyuki Chida.
La revue de Blank Forms constitue une plate-forme de réflexion critique et de dialogue ouvert entre chercheurs, artistes et autres personnalités du monde de la musique expérimentale et des arts, publiant deux fois par an des textes d'archive, inédits ou nouvellement traduits.
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La performance de la musique générée par ordinateur rompt avec les codes qui ont été établis pour les concerts: l'audience ne peut plus regarder la création de la musique et la relation causale entre l'action et le son a été coupée. Les performances de l'ordinateur portable ont évolué vers un format dans lequel le public regarde les gens qui regardent les écrans. Regarder la musique examine le rôle que joue la visibilité dans l'expérience sonore. Quelle est l'importance de la qualité live pour l'avenir de la performance musicale? Captures d'écran des «algoraves» ou des stars de la réalité virtuelle comme Hatsune Miku réinsèrent des stimuli visuels sur une variété de niveaux, en kuduro l'accent musical est mis sur la danse expertise - pendant ce temps, d'autres musiciens ont depuis longtemps abandonné l'idée du spectacle centré sur la scène
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Ce nouveau numéro de Volume ! est composé de six articles en varia proposant des regards différents mais souvent complémentaires sur les musiques populaires (le Hellfest et les représentations de la culture metal, les discours sur la puissance sonore dans le monde du rock, quelques évolutions récentes de la musique sur le continent Sud-Américain, Damon Albarn et l'identité anglaise, La Monte Young vs The Velvet Underground). Egalement au sommaire : un article fondateur d'Alf Björnberg sur l'harmonie éolienne dans les musiques populaires, un dispositif musical de Bruno Lefèbvre alliant technologie et aléas, et les rubriques habituelles (comptes rendus, note d'exposition, notes de lectures).
Christophe Guibert s'intéresse au cas paradigmatique du Hellfest dans les représentations et les usages de la culture metal. J. Mark Percival étudie les discours sur la puissance sonore dans le monde du rock. Hélène Garcia-Solek et Joshua Katz-Rosene nous informent sur quelques évolutions récentes de la musique sur le continent Sud-Américain : l'une considère le sampling comme une pratique politique dans le Brésil contemporain tandis que l'autre examine les évolutions de la canción social colombienne. Nous publions également les articles de deux jeunes chercheurs primés par l'IASPM-bfe, Ifaliantsoa Ramialison et Christophe Levaux qui, bien que focalisés sur des corpus différents, touchent tous deux à la reconfiguration des clivages entre musiques savantes et musiques populaires. Dans la rubrique document, nous republions un article fondateur d'Alf Björnberg sur l'harmonie éolienne dans les musiques populaires. En tribune, Bruno Lefèbvre revient de manière réflexive, en tant qu'anthropologue, sur un dispositif musical alliant technologie et aléas dont il est à l'origine : les « fauteuils branchés ». On trouvera en outre dans ce numéro de nombreux comptes rendus, une note d'exposition et des notes de lectures qui, semestre après semestre, soulignent à quel point la recherche sur les musiques populaires s'étoffe tout en se diversifiant.
Volume ! La revue des musiques populaires est une revue semestrielle à comité de lecture des éditions Mélanie Seteun, fondée en 2002 par Samuel Etienne, Gérôme Guibert et Marie-Pierre Bonniol. La revue offre un espace autonome aux chercheurs souhaitant développer des recherches spécifiques consacrées à l'étude pluridisciplinaire des musiques populaires, en croisant les apports méthodologiques et théoriques français (musicologie, ethnomusicologie, sociologie de la culture, histoire culturelle etc.) avec ceux des « cultural » et « popular music studies ». La revue a été publiée sous le titre Copyright Volume ! de 2001 à 2008.
Volume ! est publié par les éditions Mélanie Seteun, une structure associative montée en 1998 par Samuel Etienne et Gérôme Guibert, alors deux doctorants désireux de publier des « réflexions sérieuses sur les musiques populaires », généralement peu investies par la recherche universitaire, ou du moins avec l'attention habituellement accordée à d'autres produits de la culture considérés comme plus légitimes.
Equipe de rédaction : Catherine Guesde, Gérôme Guibert, Emmanuel Parent, Dario Rudy, Matthieu Saladin, Jedediah Sklower.
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Numéro varia : Italo disco ; fanzines punk russes du XXIe siècle ; Olivia Ruiz ; Ornette Coleman ; les nouvelles stratégies de médiatisation de la pop ; entretien avec David Novak sur la noise japonaise ; entretien avec Simon Frith sur le rock progressif. Illustré par une sélection de flyers de concerts.
Ce nouveau numéro Varia de la revue Volume ! aborde des sujets aussi éclectiques que l'Italo disco, la carrière d'Olivia Ruiz, les transformations récentes des fanzines punk Do-It-Yourself en Russie, la dimension politique de la musique d'Ornette Coleman, les nouveaux modes de médiatisation des succès pop, la circulation de la Japanoise et le rock progressif. Au total, vingt-cinq auteurs ont contribué à ce numéro composé de cinq articles, deux entretiens, quatorze compte-rendus et notes de lectures couvrant des événements et ouvrages scientifiques récents, aux thématiques variées. Le numéro est illustré par une sélection de flyers de concerts.
Volume ! La revue des musiques populaires est une revue semestrielle à comité de lecture, fondée en 2002 par Samuel Etienne, Gérôme Guibert et Marie-Pierre Bonniol. La revue offre un espace autonome aux chercheurs souhaitant développer des recherches spécifiques consacrées à l'étude pluridisciplinaire des musiques populaires, en croisant les apports méthodologiques et théoriques français (musicologie, ethnomusicologie, sociologie de la culture, histoire culturelle etc.) avec ceux des « cultural » et « popular music studies ». La revue a été publiée sous le titre Copyright Volume ! de 2001 à 2008.
Volume ! est publié par les éditions Mélanie Seteun, une structure associative montée en 1998 par Samuel Etienne et Gérôme Guibert, alors deux doctorants désireux de publier des « réflexions sérieuses sur les musiques populaires », généralement peu investies par la recherche universitaire, ou du moins avec l'attention habituellement accordée à d'autres produits de la culture considérés comme plus légitimes.
Equipe de rédaction : Catherine Guesde, Gérôme Guibert, Emmanuel Parent, Dario Rudy, Matthieu Saladin, Jedediah Sklower.
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Au sommaire du 4e numéro de la revue de Blank Forms : un essai de Marcia Douglas sur le rastafarisme, entretiens avec le guitariste japonais Kazuo Imai et le compositeur américain Robert Ashley, un manifeste d'Onyx Ashanti, un essai du mathématicien et musicien Spencer Gerhardt sur Catherine Christer Hennix, Amy Cimini sur Maryanne Amacher, un long entretien avec Walter De Maria...
La revue de Blank Forms constitue une plate-forme de réflexion critique et de dialogue ouvert entre chercheurs, artistes et autres personnalités du monde de la musique expérimentale et des arts, publiant deux fois par an des textes d'archive, inédits ou nouvellement traduits.
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Sounds produced in the dialogue between man and machine.
From home studios to streaming platforms, artificial intelligence is defining the sound of the future. This collection of essays explores the key developments in the field of AI and music, examining the process that enables nonhuman creativity to become a resonance chamber for new synergies. -
Le son du grisli n.6 : rétrospective
Collectif
- Lenka Lente
- Le Son Du Grisli
- 15 Avril 2022
- 9791094601457
Une anthologie des « bruits qui changent de l'ordinaire » (la rétrospective du Son du grisli, 2004-2021) : 38 interviews et 16 portraits de musiciens, 842 chroniques de disques et comptes-rendus de concerts, sur quelque 600 pages.
C'est sous la couverture de ce qui aurait dû être (et qui, finalement, est) le sixième numéro papier du Son du grisli que paraît ce florilège, cette anthologie : portraits et interviews de musiciens, chroniques de disques, comptes-rendus de concerts... reviennent sur dix-huit années grisliennes. Une anthologie serpentiforme, peut-être pas toujours facile à suivre, mais, nous l'espérons, prodigue de surprises, voire de découvertes. -
Volume ! n.19/2 : terrains communs ; ethnomusicologie et popular music studies
Volume !
- Melanie Seteun
- Volume !
- 16 Mai 2023
- 9782913169708
Quand l'ethnomusicologie s'intéresse aux musiques produites en studio, dans le Sud comme dans le Nord, quand le folkore asturien est traversé par une posture queer, quand la bureaucratie produit des musiques du monde, quand le raggadub et le punk marseillais sont observés au plus près des radios, des restaurants et des ruelles où ils ont émergés, quand les musiques mandingues sont analysées comme des courants médiatiques mainstream transformant les scènes locales africaines, ce sont autant de « terrains communs » qui émergent et renouvellent nos questionnements sur la musique.