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Il y a soixante ans, les Beatles sortent Love me do, leur premier single. Depuis, leur musique, leurs chansons, leur génie comme leur révolution accompagnent la planète. Des stars mieux que Jésus Christ Comme tels, les Beatles ne s'appartiennent plus vraiment. Au-delà des mélodies et des mots, ils sont une culture autorisant excès et libertés. Alors pourquoi pas, en dédicace, un petit opus surréaliste et inédit qui, avec pudeur et passion, s'autorise à convoquer John, Georges, Paul et Ringo du côté des casseroles.
Considéré comme le plus rock des critiques gastronomiques, Emmanuel Rubin, journaliste au Figaro et à Europe 1, cofondateur du Fooding, invite les pop chefs de la scène culinaire à mettre en saveurs les standards les plus food des Beatles : Mean Mr Mustard, Octopus's Garden, Wild Honey Pie, Penny Lane, Glass Onion, Savoy Truffle, Strawberry Fields Forever, The Ballad of John and Yoko, Lucy in the Sky with Diamonds ou encore Yesterday qui a bien failli s'appeler Scrambled Eggs. -
Une grave blessure par balles reçue pendant un reportage va plonger l'auteur, reporter photographe, dans une introspection questionnant le sens de l'Histoire, l'utilité de son métier, l'évolution du monde de la presse et de la photographie en vivant la mutation de l'argentique au tout numérique.
Il s'agit d'un voyage initiatique en flashback avec une vision personnelle et originale où l'événement reste le décor de fond d'une aventure intime, soutenue et obsessionnelle.
Patrick Robert délivre un triple témoignage sous la forme d'un road-trip dans le vif de l'actualité : le point de vue du photographe sur les conflits principaux des quarante dernières années à cheval sur deux siècles ; le récit d'une passion professionnelle qui consiste à documenter l'Histoire ; l'observation de la perte de prestige du photojournalisme ainsi que les mutations profondes de la presse et de l'usage des images dans notre société.
Un récit haletant où la mort patiente dans un réel latent pour advenir à tout moment. -
Cette oeuvre collective tient lieu d´un témoignage solennel de notre amour inconditionnel pour notre ville natale, Zahlé. Une ville, au coeur même du Liban, surnommée « la ville du vin et de la poésie ». Une ville romantique, célèbre pour son arak, son mezzé et son excellente gastronomie. Une ville vallée, connue pour ses escaliers et pour sa rivière enchantée. Une ville fière de ses valeurs humanistes de chrétienté et d´amour du prochain. Une ville digne des principes qui guident ses enfants, alliant courage et humilité, douceur de vivre et convivialité.
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Divin Vinci ; Léonard de Vinci, l'ange incarné
Daniel Salvatore Schiffer
- Erick Bonnier
- 11 Avril 2019
- 9782367601694
La date du 2 mai 2019 marque le 500ème anniversaire de la mort de léonard de vinci, visionnaire de génie, l'un des plus grands artistes de tous les temps et modèle par excellence de cet âge d'or, pour les arts comme pour les lettres, que représenta, pour l'humanité tout entière et pour notre civilisation en particulier, la Renaissance.
Un anniversaire, certes, en majesté ! Comment donc, face à cet homme d'exception, ne pas rendre l'hommage qui lui est dû ? Mais un hommage qui, au vu des nombreuses biographies, et autres études, qui lui sont consacrées, se veut original et inédit, tout en ne sacrifiant rien de sa réalité historique ni de sa rigueur scientifique.
C'est ce à quoi s'adonne, dans ce livre, daniel Salvatore Schiffer, professeur de philosophie de l'art, mais aussi, comme en témoigne son abondante bibliographie, l'un des meilleurs spécialistes du dandysme.
Car si, comme l'a dit oscar Wilde, le dandy le plus flamboyant de son temps, en un de ses aphorismes-clés, le dandysme consiste à faire de sa vie une oeuvre d'art, et de sa personne une oeuvre d'art vivante, alors Léonard de Vinci en est, tant par l'extraordinaire beauté de son allure que par le bon goût de son esthétique ou le fascinant parcours de son existence, le plus emblématique des précurseurs, avant même un lord Brummell, arbitre des élégances, ou un lord Byron, icône du romantisme.
Du grand et moderne léonard, qui inspira jusqu'au « pop art » d'Andy Warhol, c'est cette vie construite, entre l'Italie et la France, comme une véritable oeuvre d'art, depuis sa naissance à vinci, splendide village de Toscane, jusqu'à sa mort à Amboise, sur les bords de la loire, en passant par Milan et la cour des ducs Sforza, que cet ouvrage, unique en son genre, retrace. Avec, en guise de viatique pour nous guider en ce fabuleux voyage, l'analyse de ses principaux tableaux, depuis sa célèbre mais énigmatique « Joconde » jusqu'à son mystérieux « Salvator Mundi », en passant par sa céleste « Cène », sa sublime « vierge, l'Enfant Jésus et Sainte Anne » ou son élégiaque quoique sensuel « Saint Jean-Baptiste ».
Enfin, pour parfaire ce portrait, l'apport des écrits de léonard de vinci lui-même, mais aussi des principaux textes, rédigés, à son sujet, par des penseurs majeurs, de giorgio vasari à Sigmund Freud, en passant par Walter Pater, Paul Valéry, Emmanuel Lévinas ou Elisabeth Roudinesco.
La vie de Léonard de Vinci illustrée à travers son oeuvre artistique : tel est l'objet de ce livre, aussi érudit qu'attrayant !
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Le cinéma saoudien ; le parcours, la trace et les prévisions
Hedi Khelil
- Erick Bonnier
- Encre D'orient
- 30 Janvier 2020
- 9782367601847
À l'étranger, l'audience du cinéma saoudien se limite principalement à deux films : Wadjda de Haïfa Al-Mansour en 2012 et Barka rencontre Barka de Mahmoud Al-Sabbagh en 2016. D'aucuns croient même que ce cinéma n'a jamais existé. À la lumière des derniers développements intervenus en Arabie saoudite en faveur du cinéma et des secteurs de l'audiovisuel et des loisirs, d'une manière générale, ce livre retrace l'historique du cinéma saoudien, jette la lumière sur ses pionniers ainsi que sur les principaux films, tous genres confondus, qui ont jalonné son parcours, de 1977 à 2017.
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Un Rolling Stone dans le rif ; sur les pas de Brian Jones au Maroc
Gaston Carré
- Erick Bonnier
- Encre D'orient
- 15 Février 2018
- 9782367601250
Le 3 juillet 1969 disparaissait Brian Jones, le fondateur des Rolling Stones. La légende du rock a largement consigné le parcours de sa plus flamboyante idole, des premiers pas aux côtés de Mick Jagger à sa fin tragique dans une piscine du Sussex. On connaît moins l'un des derniers épisodes de la vie de Jones, quand il se rendit au Maroc pour enregistrer les flûtes sacrées des 'Master musicians of Jajouka', une dynastie de musiciens qui seraient des descendants de la secte des Haschichins.
J'ai retrouvé les traces du Rolling Stone à Jajouka, un énigmatique village au sud de Tanger, à l'intersection de la modernité et de la mythologie, de la musique et de la littérature, où le souvenir de Brian Jones convoque William Burroughs et Paul Bowles, Andy Warhol et John Lennon, le dieu Pan et la déesse Astarté, et où une dynastie de montagnards est poussée dans le cercle vicieux de 'poètes terroristes'».
Gaston Carré invite à un périple dans le sillage d'une icône. Ce faisant, il propose un carnet de voyage en nostalgie, une exploration psychologique et culturelle des sixties ainsi qu'un hommage à Tanger, la ville de tous les sortilèges.
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Gratia Mundi, Raphaël la grâce de l'art
Daniel Salvatore Schiffer
- Erick Bonnier
- 19 Mars 2020
- 9782367601991
2020 signe le 500ème anniversaire de la mort du peintre Raphaël, l'un des trois grands génies de la Renaissance, aux côtés de Michel-Ange et de Léonard de Vinci.
Ainsi ce livre commence-t-il logiquement, et de manière chronologique, là où mon précédent ouvrage, Divin vinci - Léonard de Vinci, l'Ange incarné, se termine. D'autant que Léonard fut aussi l'un des principaux maîtres (avec le Pérugin) de Raphaël lorsque celui-ci vécut à Florence, après avoir quitté sa ville natale d'Urbino, foyer intellectuel et artistique des Marches, région, aux confins de l'éblouissante Toscane et de l'élégante, mais secrète, Ombrie, de l'Italie centrale.
Né un vendredi Saint, le 6 avril 1483, et mort également un vendredi Saint, le 6 avril 1520, à l'âge de 37 ans seulement, Raphaël, génie précoce, à la vie romanesque et à la mort mystérieuse, mais à l'oeuvre immense surtout, fut considéré, de son vivant, comme un mythe, à l'instar de Léonard. Il est le seul artiste à avoir les honneurs, à Rome, où il s'est éteint après une folle nuit d'amour auprès de sa « Fornarina », du panthéon, lieu sacré, dédié, dans l'Antiquité, au culte des dieux.
C'est donc l'art tout autant que la vie, sinon la pensée, de Raphaël, peintre et architecte adulé par les papes, tout autant que par les princes de son temps, que cet essai s'emploie à élucider : une constante et quadruple interpénétration entre l'idéal esthétique, l'explication philosophique, le parcours artistique et le récit biographique.
Mais, non moins étonnant, Raphaël est aussi celui qui, nanti de son incommensurable talent, inspira quelques-uns des plus grands peintres de l'art classique, dont Ingres, ou de l'art moderne et contemporain, au premier rang desquels figure Modigliani.
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« Je suis de la génération des années cinquante, j'ai cru à cette idée du photographe «engagé« que m'avait inspirée le travail de Lewis Hine comme W. Eugene Smith. J'ai cru que nos photos pouvaient faire une différence, qu'elles pouvaient corriger les torts et les injustices, qu'il suffisait d'exposer la vérité pour rectifier le mal. » Durant quarante années, Thomas Haley a arpenté le monde avec ses boîtiers argentiques puis numériques en bandoulière. Ce fut les Philippines en 1983, la catastrophe de Bhopal en 1984, la guerre civile au Soudan en 1986, la Corée et Panama en 1988, la Chine en 1989, la chute du bloc de l'Est dans la décennie 1990, le Rwanda en 1994 et la guerre de Bosnie, les guerres du Golfe et la campagne de Lionel Jospin, les États-Unis, Jérusalem, l'intifada, les printemps arabes.
Autant de billets d'avion que d'images déclenchées sous l'oeil sensible de cet artiste photographe. Tom a vécu les grandes années de l'agence Sipa avec son créateur mythique Goksin Sipahioglu, une époque où la photographie de presse était attendue sur toutes les tables des rédactions mondiales. Et puis... aujourd'hui où la planète a pour slogan Snapo ergo sum («je snapshote, donc je suis»), il décide de nous livrer ce travail avec beaucoup de recul qui mêle son histoire de famille à la grande Histoire. »
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Le but, c'est le chemin
Pierre Santini, André Birukoff, Jean-pierre Cadiot
- Erick Bonnier
- Encre D'orient
- 1 Novembre 2015
- 9782367600499
Depuis plus d'un demi-siècle, Pierre Santini, acteur franco-italien, se donne sur les planches de France avec passion, accomplit avec bonheur son me?tier de come?dien, d'homme de the?âtre, sans se mêler du star-system. Cyrano et Figaro sont les deux rôles qu'il a le plus aime?s. Mais il y a aussi des personnages comme Henri VIII ou Gaston Dominici. Et des centaines d'autres.
He?ritier d'une culture conjuguant l'Italie de son père, artiste-peintre, et de sa mère franc?aise, il est forme? à la fin des anne?es 50 à l'e?cole Charles dullin par Wilson, vilar, darras. Il est plonge? dans le grand bain en 1959 dans Crapaud-buffle d'Armand Gatti, mis en scène par Planchon. Puis il devient un acteur-cle? au TNP, à Paris et à villeurbanne. Il est au coeur de l'aventure du the?âtre populaire de?centralise?, un « transhumant », travaillant avec d'autres grands metteurs en scène : Gabriel Garran, à Aubervilliers, Re?thore?, au TEP.
Parallèlement, il s'affirme comme une vedette du petit e?cran dans des se?ries très populaires des anne?es 60, 70 et 80: Seule à Paris, l'Homme de Picardie, Franc?ois Gaillard, les Cinq dernières minutes. Il s'affiche aussi au cine?ma.
Pierre Santini ne s'arrête jamais. Il dirige deux the?âtres, celui des Boucles de la Marne et de Mouffetard, cre?e ses propres compagnies. Il chante Paolo Conte. C'est un come?dien engage?, toujours à gauche, qui repre?sente les acteurs, en mai 68 et pour de?fendre la profession de?chire?e, malmene?e, les beaux textes, le the?âtre accessible à tous. Il a lance? les premiers « Molière ». Il refuse un the?âtre soumis au diktat de l'argent. Il pre?side aussi « Cultures du coeur ».
Sa vie est e?maille?e de fabuleuses rencontres.
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Magistrale chanteuse au potentiel lyrique, Kate Bush a démarré sa carrière à l'âge de 15 ans et offert des disques qui ont vite complètement dépassé les arcanes pop de l'industrie anglaise à la fin des seventies. Son univers féérique et sensuel s'est accompagné d'une présence magnétique et d'un sens narratif exacerbé. Il aura été celui d'un personnage jusque-là inconnu. Aussi doux qu'une petite elfe, en apparence. Avec des compétences artistiques très au-dessus de la moyenne, c'est ce qui a engendré la perennité d'un style oscillant entre la musique contemporaine, le rock progressif et les berceuses gore. En évoluant constamment, Kate a aussi prouvé qu'il était possible de soumettre le marché du divertissement de masse aux oeuvres d'un extrême raffinement et d'une constante sophistication. "Wuthering Heights", "Wow", "Babooshka", "Army Dreamers" sont quelques-unes d'entre elles, avant que "Running Up That Hill" ne soulève une frénésie intergénérationnelle planétaire.
Ce livre retrace la carrière d'une artiste hors-norme, devenue incontournable dans le monde du rock au féminin. Sa carrière, ses conflits et ses peurs sont auscultés. Comme ses joies et ses réussites artistiques. Mais, attention. Il s'agit d'une compositrice. D'une musicienne. Kate n'a jamais désiré devenir autre chose et surtout pas l'icône sexy des années new wave. Ses choix ultérieurs ont prouvé qu'il faudrait la prendre au sérieux. C'est ce qui est arrivé. L'elfe romantique est devenue pionnière : une maitresse de l'avant-garde ouvrant la voie à toutes les jeunes femmes désireuses de prendre des risques. -
Cet ouvrage est un recueil unique - à la fois visuel et littéraire - rendant hommage aux métiers qui rythment notre quotidien sans souvent bénéficier de la reconnaissance méritée.
Ce travail poétique dévoile des textes profondément humains, portés par des illustrations originales créées par l'auteure elle-même.
Ce livre met en lumière ceux et celles qui oeuvrent dans l'ombre pour notre bien-être collectif.
C'est une dédicace vibrante aux travailleurs de tous les jours, aux mains invisibles qui construisent et soutiennent notre société, un appel à reconnaître leur importance. -
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Aux royaumes des insoumis
Pascal Manoukian
- Erick Bonnier
- Encre D'orient
- 11 Octobre 2018
- 9782367601496
Ce livre est un témoignage unique. Il raconte en mots et en images comment, de 1979 à 1989, les Afghans ont résisté à l'invasion de leur pays par l'Armée Rouge. Un évènement majeur du XXe siècle, à l'origine de tous les grands bouleversements qui ont modelé le monde d'aujourd'hui. La défaite russe précipitera en effet la fin du communisme, marquera le début de l'hégémonie américaine et la montée de l'islamisme radical.
Pascal Manoukian équipé de son boîtier argentique a arpenté ce pays durant une décennie.
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« Dans les années 1975 et jusqu'au début du XXIe siècle, j'ai fréquenté et croqué le monde de la nuit qui s'est rapidement fiancé à celui de la mode, de la musique et de la création en général. Installé au milieu de cet incroyable barnum, un carnet à dessins à la main, j'ai été un acteur bien modeste de trente années de Fashion Week et j'ai observé attentivement cette faune qui fréquentait le diable, mais ne s'habillait pas qu'en Prada. dans ces univers, la création, l'argent, la poudre aux yeux et dans les narines, les futilités, les jalousies, les échecs et les succès des uns et des autres, se sont succédés à un rythme infernal et ont occupé ma vie. des talents majeurs se sont imposés, Yves St Laurent, Karl lagerfeld, mais la roue de la fortune a tourné si vite pour certains, qu'aujourd'hui, le carnet de bal des oubliés est impressionnant. J'ai vu défiler des milliers et des milliers de vêtements, quelques petites culottes aussi, observé des centaines et des centaines de personnages attachés à ces métiers et à ces réjouissances et dans ce flot de souvenirs, j'ai choisi de vous raconter quelques histoires qui flânaient dans ma mémoire ».
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FévrierÂ1977 - L'incendie punk fait rage, le rock fait sa révolution. Joe naît le jour où The Clash enregistre son premier album à Londres. De mère connue, Angie, jeune héritière devenue la lumineuse muse des stars du rock. De père connu, sans que sa mère soit en mesure de préciser son identité - ses amants célèbres sont trop nombreux, il faudrait multiplier les tests ADN. Son père pourrait aussi bien être un membre de Led Zeppelin, des Rolling Stones ou de The Who, peu importe. L'enfant aurait pu être prénommé Jimmy, Mick ou Keith, mais sa mère choisit Joe. À cause de Joe Strummer, figure héroïque du groupe The Clash, avec qui elle entretient un lien platonique, une fusion spirituelle. Décembre2022 - Vingt ans après la mort de Strummer, Joe se souvient et revient sur les traces de son passé fait de photos et de souvenirs. Un passé dont le centre de gravité est l'épopée des Clash. Hey Joe est une fresque électrique, un roman sec et déjanté, la quête d'un homme amoureux de sa mère et portant le poids, l'absence, d'un père aux multiples figures. C'est le 20e anniversaire de la mort de Joe Strummer, le leader des Clash.