Elle peut être visible et observable par l'entourage, plongeant celui qui en est victime dans l'embarras ; elle peut aussi passer inaperçue, tout en faisant souffrir intérieurement. Elle peut s'étendre à presque toutes les situations du quotidien, ou ne concerner qu'un ou deux aspects très spécifiques de notre vie. Elle signe parfois une personnalité empreinte de réserve, voire d'inhibition. Si chacun a ressenti au moins une fois dans sa vie ce qu'est la timidité, ses manifestations sont extrêmement variées. Son image d'une difficulté bénigne, voire charmante, doit être combattue et dénoncée, tant l'anxiété sociale est un problème fréquent et source de souffrance. Dans cet ouvrage, Christophe André définit la timidité, en explicite les mécanismes complexes et présente les différentes manières de la traiter.
« Psychosomatique » : un mot pour relier esprit et corps. Et pour dire l'effet que l'un peut avoir sur l'autre. Si les médecins sont nombreux qui, faute d'autre explication, déclarent au patient que leurs symptômes sont psychosomatiques, cela tient à ce que leur formation ne comporte pas d'enseignement du système psychique. Aux psychiatre, psychothérapeute ou psychanalyste revient ce rôle, alors que le modèle de Freud n'a jamais eu pour objectif scientifique de donner une explication aux somatisations. Ce sont donc les psychanalystes psychosomaticiens qui, depuis le début du XXe siècle, tentent d'y apporter des réponses. Parmi eux, le docteur Pierre Marty, auteur du précédent « Que sais-je ? » sur le même sujet, a contribué, à partir des années 1950 et jusqu'à sa mort en 1993, à des avancées restées majeures. Mais quels développements attendre encore de la psychosomatique à l'heure des TCC et autres thérapies courtes ? Le moment était venu de refaire le point. C'est ce que propose Jean-Benjamin Stora dans ce volume inédit, où il promeut une thérapie psychosomatique intégrative privilégiant la relation d'attachement.
Le vocabulaire psychologique et psychiatrique s'est progressivement enrichi, et le sens de beaucoup de ses mots s'est modifié en raison du progrès de nos connaissances, au point qu'ils peuvent ne plus correspondre à leur usage populaire. Par exemple, «?maniaque?», en psychiatrie, ne signifie pas être très soucieux de l'ordre mais désigne une personne atteinte d'un trouble périodique de l'humeur. Dans ce lexique, chaque terme fait l'objet d'une définition moderne et claire. L'auteur réussit le pari de proposer au lecteur le maximum d'informations en un minimum de place, faisant de cet ouvrage un outil indispensable.
Si la Gestalt-thérapie s'inscrit dans une filiation psychanalytique - Fritz et Laura Perls, ses fondateurs, ont d'abord été psychanalystes -, elle repose sur une théorie comme sur une méthode propres. « Gestalt » signifie en allemand forme ou figure, au sens de « prendre forme ». L'organisme est indissociable de l'environnement, et c'est ce mouvement permanent de transformations réciproques, d'ajustement, qui façonnent l'individu. La pathologie résulte des interruptions, inhibitions et autres accidents qui viennent compromettre cet ajustement perpétuel. Le gestalt-thérapeute recherche avec le patient la mise en mouvement des formes figées pour fluidifier l'échange entre l'organisme et l'environnement. Au-delà, la proposition gestaltiste est une invitation à repenser le rapport de l'homme au monde.
Depuis le XIXe siècle, la psychologie est une discipline scientifique. Mais aujourd'hui, elle ne se cantonne plus au laboratoire et à l'étude de la perception : elle se soumet aussi à l'épreuve du terrain. C'est même un corpus de méthodes concrètes qui unifie la science psychologique, quoique les thématiques et les problématiques y soient nombreuses et variées. L'observation, l'entretien, le questionnaire et l'enquête comptent parmi ces méthodes, auxquelles il faut ajouter les méthodes corrélationnelles (qui étudient les liens entre les comportements) et la méthode expérimentale, sans oublier les techniques liées à l'utilisation récente de l'imagerie cérébrale. Les étudiants et les amateurs de psychologie trouveront dans ces pages un aperçu complet des méthodes dont disposent les chercheurs en psychologie et les psychologues d'aujourd'hui.
Discipline paramédicale développée à l'origine pour les personnes présentant des troubles moteurs liés à des troubles comportementaux, la psychomotricité est une approche globale qui associe les fonctions corporelles à l'état psychique du sujet. Son champ d'action se déploie de la néonatalogie à la gériatrie. En s'appuyant sur des sciences biomédicales et humaines, la psychomotricité s'intéresse aux liens qui s'établissent dès la naissance - et pour la vie - entre le tonus musculaire, les perceptions, les émotions, les affects et les représentations. Elle aborde ainsi sous un nouveau jour la problématique de la dualité entre corps et esprit. Cet ouvrage se propose de faire découvrir une profession encore peu connue, de ses origines et ses concepts théoriques aux formations pour devenir psychomotricien diplômé d'État, en passant par l'étude de plusieurs cas cliniques.
«?S'aimer soi-même est le début d'une passion qui dure toute la vie?», écrivait Oscar Wilde. Parce qu'il touche au rapport - pas toujours aisé - à soi-même, à l'«?amour-propre?», le narcissisme est une notion centrale pour comprendre les troubles ordinaires comme les pathologies plus sévères, mais aussi l'organisation même de la vie amoureuse et de la sexualité. Ce concept-clé de la théorie psychanalytique se retrouve au coeur de la construction de la personnalité, du caractère et de l'identité. Il a fini par quitter le seul domaine de la psychanalyse pour être appliqué au champ social?: les changements de la société d'aujourd'hui nous rendraient-ils tous narcissiques?? Paul Denis nous invite à explorer un espace qui va de la blessure narcissique à la rage ou à la dépression qu'elle déclenche, en passant par la pernicieuse perversion narcissique, et nous tend subrepticement un miroir.
Le mot « résilience » rencontre aujourd'hui un succès considérable. Pourtant, si elle constitue pour certains un véritable tournant dans la façon de considérer la psychopathologie, la résilience n'est pour d'autres qu'un habillage neuf désignant divers processus connus depuis longtemps : ceux qui permettent de résister à un traumatisme ou de se reconstruire après lui. Serge Tisseron analyse les raisons de l'attrait que la résilience suscite. Il expose son histoire, d'abord américaine, et pointe les divergences autour de ses définitions et de ses usages. Tantôt processus et tantôt trait de personnalité, sorte d'immunologie psychique ou méthode de prévention, la résilience connaît en effet de multiples déclinaisons et recouvre des conceptions variées, voire opposées.
« Si la jouissance se divise en dix parties, la femme en a neuf et l'homme une seule. » Ainsi s'exprime Tirésias, que les aventures mythologiques ont successivement conduit à être homme et femme. La négation, le refoulement dont la sexualité féminine a été l'objet à travers les âges et les cultures sont inséparables des représentations dangereuses et démesurées qui l'accompagnent. « Femme, tu es la porte du diable », écrit Tertullien. Ce qu'il est convenu d'appeler la « libération sexuelle » a principalement concerné les femmes. À ce bouleversement des représentations sociales de la sexualité correspond-il une transformation psychique équivalente ?
Dyslexiques, dysphasiques, dyspraxiques, dyscalculiques... Nombreux sont les enfants qui souffrent de ces troubles cognitifs que l'on regroupe de façon générique sous le préfixe « dys », et qui compromettent l'acquisition des savoirs fondamentaux. Avec parfois de graves conséquences sur leur future vie professionnelle et sociale. Comment les dépister ? Quels sont les traitements et les méthodes pour les surmonter efficacement ? Comment accompagner au mieux les enfants et leur famille ? Marie Wahl et Gabriel Wahl passent en revue un large éventail de dys, y compris les plus méconnus (dyschronie, dysmnésie, etc.). Proposant des pistes et des exemples concrets, ils prouvent, à l'appui d'une solide expérience de terrain, que les troubles dys ne sont pas une fatalité.
De toutes les psychothérapies, la thérapie familiale occupe une place à part. En effet, elle s'adresse non pas à des individus isolés, mais à des groupes unis par des liens conjugaux, filiaux et fraternels. À une époque où les difficultés individuelles et relationnelles sont surmédicalisées et abordées comme des pathologies, cette approche thérapeutique repose sur un postulat : nos problèmes s'inscrivent et s'expriment avant tout dans un contexte affectif, celui de notre entourage le plus proche. À charge pour le thérapeute de mobiliser les ressources et les compétences des membres de la famille pour qu'elle trouve en son sein les moyens de traverser la crise. Sébastien Dupont expose les principaux modèles, les méthodes et les objectifs de la thérapie familiale, qui connaît un développement sans précédent depuis la fragilisation des couples et des familles.
D'où vient notre esprit ? Est-il divisé, mesurable, inné ou acquis ? Quels sont ses rapports avec le cerveau ? Et avec Dieu ? Depuis deux millénaires, les penseurs se posent ces questions. C'est l'histoire de la psychologie, intimement mêlée à celles de la philosophie et de la biologie. De Platon, Aristote, saint Augustin et Montaigne... à Gall, Darwin, Fechner, Wundt, Ribot, James, Freud, Piaget et bien d'autres, Olivier Houdé nous raconte cette histoire, telle une petite encyclopédie de notre âme.
Qu'est-ce que l'intelligence?? Jadis, le psychologue Alfred Binet en a proposé une mesure à l'origine du QI, souvent décrié. Par la suite, Jean Piaget en a exploré les stades chez l'enfant, où il voyait s'opérer la genèse de la logique. Or, Daniel Kahneman a remis en cause cette vision trop rationnelle en démontrant que nos décisions sont le plus souvent dominées par des automatismes intuitifs, très (trop??) rapides, fondés sur des biais cognitifs. D'où nos illogismes et, parfois, notre adhésion déraisonnable aux infox (fake news). Pour lever ce paradoxe, Olivier Houdé propose ici une théorie de l'intelligence, tant humaine qu'artificielle, qui fait la part belle à l'inhibition créatrice et aux émotions telles que le doute, le regret et la curiosité. Une inhibition subtile qui est la clé de l'intelligence, celle qu'on éduque ou celle que l'on code...
« Ce serait quand même plus facile si, de temps en temps, elles disaient : "Oh non ! Oh non..." » Elles disaient « Non », elles disent « Oui »... Tout le problème est que la liberté sexuelle conquise par les unes ne crée pas symétriquement des hommes d'autant plus libres. Ce que la sexualité masculine a perdu en triomphe (avec ou sans gloire), elle l'a gagné en incertitude et en questions... Elle est par là même (re)devenue intéressante ! À l'heure de la parité, la domination masculine a perdu de sa tranquillité, le machisme est en berne. À partir de paroles d'hommes recueillies sur le divan, mais aussi au fil des lectures, Jacques André explore sans détour la vie sexuelle des hommes, sa part la plus intime. Il en interroge les sources, les conflits, les transgressions, les passions, les désirs d'aujourd'hui, qui sont souvent aussi ceux d'hier. Sans fausse pudeur, il sonde ce sexuel qui constitue en chacun de nous la pointe vive de ce qui nous fait jouir... ou défaillir.
Isoler, discréditer, déconsidérer le travail rendu, intimider, insulter... Les moyens sont nombreux, les conséquences dramatiques. En France, la reconnaissance du harcèlement moral et sa condamnation juridique sont venues changer le regard que portent les salariés sur certaines situations vécues et interpeller les entreprises quant à leurs méthodes de management.Que sait-on aujourd'hui sur le harcèlement au travail ? Quels en sont les effets sur les individus, leurs proches et la société ? Comment le punir ou le prévenir ? En décortiquant les mécanismes du harcèlement, ses origines et conséquences ainsi que les réponses qui y sont actuellement apportées en France comme à l'étranger, cet ouvrage fait le point sur un fléau de nos sociétés narcissiques.
Tout enfant grandit au milieu des secrets, simplement parce qu'il est confronté à des mots, à des mimiques et à des attitudes d'adultes dont il ne comprend pas le sens. Bientôt, il questionne. Parfois on lui répond, ou on lui sourit en lui disant qu'il le saura quand il sera plus grand. D'autres fois, ses questions suscitent chez ses parents des réactions de colère, de tristesse ou de gêne incompréhensibles. Ces réactions, qui sont les « suintements » d'un secret de famille, incitent l'enfant à penser qu'on lui cache quelque chose de grave, et l'invitent à le deviner tout en lui interdisant tacitement d'y parvenir. De cette injonction contradictoire naissent des troubles dans sa construction psychique : le traumatisme vécu et tu par la première génération « ricoche » sur la deuxième, voire sur la troisième. Pour en guérir, il faut commencer par accepter que ces secrets s'opposent moins à l'idée d'une Vérité qu'il faudrait découvrir qu'à la communication entre les membres de la famille. Et la première chose à dire à un enfant pour commencer à l'en libérer est : « Tu n'y es pour rien. »
En 1907, Maria Montessori, l'une des premières femmes médecins d'Italie, ouvre une école d'un nouveau genre au service d'une vision inédite de l'enfant, envisagé comme une personne libre et épanouie, qui apprend spontanément. Sa méthode ? Une pédagogie qui respecte ce qu'est l'enfant, les étapes de son développement, ses exigences, ses besoins. Ce projet d'une éducation nouvelle, qui s'inscrit dans la promotion de la paix universelle et du progrès, repose sur trois piliers : une posture particulière de l'éducateur, un environnement préparé et un matériel pédagogique spécifique. Mais bien plus qu'une méthode, la pédagogie Montessori est un état d'esprit, qui ne se limite pas à une tranche d'âge ni à l'école, et dont les principes sont maintenant confirmés par des recherches en neurosciences et en psychologie du développement.
Près d'un enfant sur cinq manifeste à l'égard des mathématiques un sentiment qui va d'une légère anxiété à la phobie. Désamorcer ces craintes passe par une meilleure compréhension de la façon dont chacun apprend à manier les nombres et acquiert des raisonnements mathématiques. Les savoirs et les savoir-faire mathématiques chez l'enfant comme chez l'adulte font ainsi l'objet, depuis une vingtaine d'années, d'une attention particulière en psychologie cognitive et en neuropsychologie. Ces recherches nous font découvrir les mécanismes que nous mettons tous en oeuvre lorsque nous affrontons des situations mathématiques. En s'appuyant sur les résultats les plus récents et grâce au récit des expériences menées auprès des enfants, Michel Fayol nous invite à repenser la manière d'aborder la pédagogie du nombre.
Les éthologues étudient scientifiquement le comportement des animaux. Et de tous les animaux, dans leur diversité : des insectes aux primates en passant par les oiseaux... Dans cette synthèse, Michel Kreutzer retrace l'histoire des idées et des théories qui ont guidé les observateurs et les expérimentateurs dans leurs recherches. Sans omettre les débats et les polémiques, il nous entretient d'objectivisme, de sociologie animale ou encore d'écologie comportementale, et même des récents liens que les éthologues ont noués avec des disciplines voisines, telles que la psychologie comparée. Ce qu'il montre, c'est que l'éthologie, en s'attachant à comprendre le comportement et la cognition des animaux, n'interroge finalement rien de moins que la place de l'homme dans la nature et dans le règne animal, auquel, incontestablement, il appartient.
Les enfants et les adolescents hyperactifs ne sont pas seulement de joyeux trublions ou de doux rêveurs. Ils subissent aussi les tourments et les épreuves que ce trouble ne manque jamais de provoquer dans leur vie familiale et scolaire. Car comme son nom ne l'indique pas, l'hyperactivité désigne non seulement un excès ou un désordre de l'activité, mais aussi l'association de trois types de troubles : l'hyperactivité elle-même ou l'agitation, l'inattention et l'impulsivité. Cet ouvrage présente l'hyperactivité, en décrit les symptômes de l'enfance jusqu'à l'âge adulte, en interroge les causes. Il souligne aussi - des thérapies cognitives comportementales au traitement pharmacologique - l'importance d'une stratégie thérapeutique plurielle.
Les Français semblent peiner plus que leurs voisins à parler plusieurs langues. Et chacun de chercher les raisons de cet état de fait. Mais que se passe-t-il dans le cerveau de ceux qui parlent au moins deux langues?? Y a-t-il une différence entre les bilingues précoces et les bilingues tardifs?? Y a-t-il toujours une langue dominante?? Peut-on définir un âge où l'acquisition d'une deuxième langue est facilitée?? Quels effets l'apprentissage de plusieurs langues a-t-il sur notre cerveau?? En proposant une synthèse des recherches consacrées aux mécanismes cognitifs, linguistiques et neurocognitifs à l'oeuvre chez toute personne qui s'exprime, avec plus ou moins de facilité, dans plusieurs langues, Michèle Kail nous invite à mieux comprendre les -ressorts de l'apprentissage des langues. Elle met également en lumière comment la pratique régulière d'au moins deux langues peut accroître la flexibilité cognitive.
Transition entre l'enfance et l'âge adulte, l'adolescence met en jeu des processus complexes qui relèvent autant de la physiologie que de la psychologie et qui ont été observés par les psychanalystes mais aussi par les anthropologues ou encore les historiens. L'accès à la sexualité génitale qu'implique la puberté doit être psychiquement élaboré par l'individu, sous le regard de la société qui cherche toujours à encadrer ce passage. Cette période de transformation est déterminante pour l'individu dans ses rapports à lui-même comme aux autres. C'est une période riche et délicate, qui peut entraîner des troubles particuliers devant être pris en charge selon des modalités propres. En confrontant les points de vue, Michèle Emmanuelli appréhende dans toutes ses dimensions l'étape décisive qui marque l'engagement dans la vie adulte.
Les thérapies cognitives et comportementales (TCC) se proposent de soigner, de manière adéquate et durable, les patients qui souffrent de dépression, de troubles anxieux ou encore d'addictions... Traitant les idées négatives et les attitudes inappropriées, elles favorisent l'apprentissage de conduites plus adaptées à l'environnement personnel et professionnel. Relativement brèves, scientifiquement évaluées et supposant une étroite collaboration entre le patient et le médecin, elles relèvent d'un statut particulier du domaine de la psychologie. Dans cet ouvrage, Jérôme Palazzolo montre concrètement comment les TCC améliorent jour après jour la qualité de vie des malades.
Le deuil est l'une des expériences les plus douloureuses que chacun peut affronter au cours de son existence. C'est également l'un des thèmes les plus tabous de nos sociétés occidentales, malgré l'engouement actuel que l'on observe, notamment aux États-Unis, pour tout ce qui a trait à la mort. Chez l'individu, la perte introduit un facteur de déséquilibre qui peut donner lieu à des souffrances physiques. C'est pourquoi la prévention de ces complications auprès des personnes à risque ou des sujets fragiles (comme les enfants) relève d'un devoir de solidarité sociale. Cet ouvrage insiste sur les nouvelles approches psychologiques et sociales du deuil, qui s'ajoutent au recours traditionnel aux professionnels.