Un grand nombre de textes imprimés intitulés « remonstrances » paraissent en France pendant les conflits politiques et religieux de la fin du XVIe siècle. Mais que sont ces remontrances, dès lors que l'on sort de l'enceinte parlementaire ? En quoi se distinguent-elles des doléances, des requêtes, des harangues, des suppliques, des plaintes, etc. ? Sont-elles caractéristiques d'un seul camp confessionnel ? En cherchant à distinguer ce genre hybride, entre écriture et oralité, cette étude montre que les remontrances révèlent une face cachée de cette période de troubles. En effet, loin de la violence souvent mise en valeur, elles soulignent au contraire l'importance des discours de paix et de justice en temps de guerre, mais aussi la permanence des négociations discrètes en vue de la réforme de l'Église et de l'État. Elles font finalement apparaître une autre chronologie de ce que l'historiographie a retenu sous le terme de « guerres de religion ».
Homo mirabilis ! En contemplant des fillettes au visage velu, des nains, des géants, des momies, des squelettes, organes, ou calculs pierreux, qui niera que l'humain n'ait sa place parmi les curiosités ? Les « raretés de l'homme » font le bonheur des collectionneurs, pour le plaisir du spectacle ou de l'enquête savante. Entre stupeur et découvertes perplexes, le trouble produit par ces singularités modèle les discours pour négocier la frontière avec l'animalité, la proximité avec la sauvagerie, la question de l'infra-humanité, les porosités entre masculin et féminin, le rapport au passé des géants et la génération incongrue de corps étrangers.
Souvent oublié des travaux sur les naturalia, l'homme entendu comme objet de collection méritait une étude des représentations qui croise textes et images. Prise dans le « connais-toi » d'une anthropologie en devenir, la culture écrite et visuelle de la curiosité cherche en effet à penser l'humain en ses formes exceptionnelles dans les premiers « musées de l'homme » des XVIe et XVIIe siècles.
Renaissance, 17th century, history, exhibitions, anatomy, curiosities, collections, animality, wildness
La théorie de la littérature a valorisé une généalogie et un modèle conceptuel unique, celui de la Poétique d'Aristote. L'objet de ce bref ouvrage est de suggérer que d'autres modèles théoriques ont compté, notamment à la Renaissance. Centré non plus sur la construction d'une intrigue, d'une histoire, mais sur le personnage, l'art poétique d'Horace place la voix, le discours, la « fiction de personne » au coeur de la création et de l'invention poétiques. Mais Horace est aussi un poète qui offre à la fois la théorie et la pratique d'une langue spécifiquement poétique. Enfin cette oeuvre, entièrement à la première personne, permet de repenser la relation du poétique à l'éthique, de penser la littérature, et singulièrement la poésie, comme expérience.
Le cinquième volume des procès politiques au temps de Louis XI est consacré au cardinal Balue, dont la carrière fulgurante et la chute ont fait l'objet d'une forte médiatisation. Son procès a opposé pendant plus de douze années deux instances judiciaires, le roi et le pape, et dans cet affrontement Louis XI a dû céder. Par un basculement spectaculaire, le roi, familier des poursuites pénales, s'est trouvé accusé de lèse-majesté. Le présent travail, fruit de la collaboration de spécialistes issus de disciplines différentes (littérature et droit), ajoutera à la richesse de cette longue histoire de la justice extraordinaire à l'aube des temps modernes.
Dans Il Libro del Cortegiano de Baldassare Castiglione, le personnage du comte Louis de Canossa s'en prend aux courtisans mous et efféminés qui se crêpent les cheveux, s'épilent les sourcils et se fardent comme les femmes les plus lascives. Tout risque d'avilissement d'une plénitude virile est ainsi à exécrer. La virilité réclame au XVIe siècle une posture éthique, physique et rhétorique à laquelle tous les hommes sont appelés à se conformer. Cette injonction à un idéal de virilitas génère toutefois des masculinités jugées ratées et défaillantes. Les contributions de ce volume abordent les discours sur la mollesse masculine à la Renaissance, leurs enjeux idéologiques et leurs usages métaphoriques dans des domaines variés comme les traités de poétique, la médecine, le droit, la religion, ou la fiction. Toutes ces incarnations d'une masculinité perçue comme déviante et insuffisante interagissent avec l'idéal dominant de virilité pour le confirmer, mais aussi - et c'est l'objet de ce volume - pour l'assouplir et façonner un idéal qui va au-delà de l'opposition entre le dur et le mol.
Le destin du prince Guillaume d'Orange est tout à fait extraordinaire. Né en 1533, fils du souverain de la minuscule principauté de Nassau Dillenburg, il hérite en 1544, de façon impromptue, de la principale position et de la plus importante fortune des Pays-Bas. Élevé dès lors dans les provinces néerlandaises, il s'y assimilera au point de prendre leur défense quand le roi d'Espagne Philippe II voudra, par l'intermédiaire de son gouverneur, le redoutable duc d'Albe, administrer ces riches contrées de manière absolue, cherchant à en tirer le maximum de revenus et à en extirper le protestantisme. Devenu chef incontesté de la révolte, Guillaume d'Orange sera l'objet d'une proscription émise par le roi, promettant de multiples avantages à qui le tuerait. L'Apologie est la réponse originale en français, à un texte qui l'injurie et l'atteint dans son honneur, dans sa dynastie, dans sa famille, dans sa descendance et dans ses biens. C'est un texte politique, mais aussi un texte très personnel et rempli d'émotions, geste rare sous la plume d'un grand seigneur.
Le De causis linguae Latinae (1540) de Jules-César Scaliger constitue un maillon essentiel dans l'histoire de la grammaire latine et plus généralement dans l'histoire des théories linguistiques. Il ne s'agit pourtant pas d'une grammaire latine au sens habituel du terme, avec ses règles et ses paradigmes, mais d'une réflexion philosophique sur les fondements de la langue latine, et même sur les fondements du langage en général. Les treize livres, de taille inégale, comportent une phonétique (livres 1 et 2), l'examen du mot (dictio, livre 3) et de ses classes (livres 4 à 11), avant de traiter des figures de construction (livre 12), de l'étymologie et de l'analogie (livre 13).
La présente édition propose, dans le premier volume : une introduction (en deux parties : « Scaliger, philosophe des savoirs du langage et des langues », par P. Lardet ; « le De causis dans l'histoire des idées linguistiques », par G. Clerico et B. Colombat) ; le texte latin ; des notes critiques ; neuf index ; une bibliographie de plus de 600 titres. Le second volume comporte l'ensemble de la traduction avec une abondante annotation qui replace le De causis dans le contexte de son élaboration et de sa rédaction.
Ce troisième tome de L'Histoire de France de La Popelinière, parue en 1581, est centré sur deux années cruciales, 1561 et 1562, qui voient le déclenchement des guerres de Religion. Il fait le récit des principaux événements de l'avènement de Charles IX jusqu'à l'automne 1562 : les Etats généraux et le colloque de Poissy, l'édit de Janvier, le « meurtre » de Wassy, les déclarations du prince de Condé et ses négociations avec les princes allemands, l'engagement puis les hésitations de la noblesse réformée, et s'attarde sur quelques épisodes de la première guerre civile (particulièrement Angers et Toulouse). Hors de France, il s'intéresse aussi à la résistance armée des vaudois du Piémont contre le duc de Savoie, et décrit la « république des Suisses ». Les notes critiques s'attachent principalement, comme dans les volumes précédents, à retrouver les sources utilisées et à éclairer le travail de recomposition et de neutralisation de l'historien sur ses sources.
Né en 1526 à Limoges, Muret séjourna à Paris (1551-1553) puis s'enfuit à Toulouse via Bourges et gagna l'Italie en 1554. À Venise, il édita des textes classiques commentés grâce à Paul Manuce. Après un séjour à Padoue, il entra au service d'Hippolyte II d'Este (fin 1558-début 1559). À son retour d'un ultime séjour en France avec ce dernier (1561-1563), il s'installa définitivement à Rome. Demeurant au service des Este, il mena une carrière universitaire à La Sapienza où il enseigna la philosophie morale, le droit et la littérature latine presque jusqu'à sa mort (1585). Tout au long de son séjour italien, l'humaniste poursuivit ses activités savantes et entretint une importante correspondance tandis que ne cessait de croître sa réputation d'orateur. Ce volume réunit vingt-cinq contributions qui fournissent un éclairage neuf sur la bibliothèque de Muret, son activité de professeur et de philologue, ses liens avec d'autres humanistes et avec les milieux artistiques.
Nato nel 1526 a Limoges, Muret vive prima a Parigi (1551-1553), poi fugge a Tolosa via Bourges. Fugge di nuovo da Tolosa in Italia nel 1554, dove a Venezia pubblica testi classici commentati da Paolo Manuzio. Dopo un soggiorno a Padova, entra al servizio di Ippolito II d'Este (fine 1558-inizio 1559). Segue il cardinale in Francia (1561-1563) e al suo ritorno in Italia si stabilisce definitivamente a Roma. Rimasto al servizio degli Este, inizia la carriera universitaria alla Sapienza dove insegna filosofia morale, legge e letteratura latina fino alla sua morte (1585). Durante tutto il suo soggiorno italiano, l'umanista porta avanti le sue attività accademiche e tiene un'importante corrispondenza, mentre cresce la sua reputazione di oratore. Questo volume raccoglie 25 contributi che forniscono una nuova luce sulla biblioteca di Muret, sulla sua attività di professore e filologo, sui suoi legami con altri umanisti e con i circoli artistici dell'epoca.
Les synodes provinciaux des Églises réformées de France sont une source essentielle pour l'histoire du protestantisme à l'époque moderne. Après l'édition des synodes d'Anjou-Touraine-Maine publiée en 2012, ce volume réunit les actes des synodes de la province de Bourgogne, de 1601 à 1682. La province synodale de Bourgogne, bien plus vaste que la région de Bourgogne proprement dite, comprend aussi le Lyonnais, le Forez, la Basse-Auvergne, la Bresse et le Pays de Gex. C'est donc une partie considérable de la France protestante qui se révèle ici, marquée par la proximité de Genève et l'importance d'une ville comme Lyon. La lecture de ces documents montre une évolution très nette des préoccupations avec, sous le règne de Louis XIV, un désir de cohésion et d'union des communautés, une nécessité de lutter contre les problèmes financiers récurrents, une volonté de bien préciser le rôle des différents acteurs (pasteurs, anciens, diacres) et des institutions, un souci de préserver des papiers et des justificatifs afin de faire face aux menaces grandissantes du pouvoir royal.
Publiés en un seul volume, les tomes XV et XVI des Registres du Consistoire de Genève couvrent l'année 1559 et le début de 1560. Une maladie grave empêche Calvin d'assister aux séances pendant plus de trois mois en hiver et au printemps, mais le Consistoire continue à imposer sa discipline même en l'absence du réformateur. En 1559, la création du Collège, destiné à l'éducation de la jeunesse genevoise, coïncide avec l'importance croissante que le Consistoire accorde à la pédagogie, comme en témoignent les nombreuses actions contre l'absentéisme au catéchisme, impliquant principalement des jeunes hommes. Si quelques Italiens sont attirés par les idées de Michel Servet contre le dogme de la Trinité, de nombreux Genevois embrassent la foi réformée avec enthousiasme comme le montre l'interdiction de réserver des places pour d'autres personnes dans les temples bondés de la ville. Parmi les actions qui concernent le contrôle du mariage, on peut signaler la validation du mariage d'un évêque français et de sa concubine et le divorce accordé au marquis Galéas Caracciolo, petit-neveu du pape Paul IV, en raison de désertion, parce que son épouse catholique refusait de quitter l'Italie et de le suivre à Genève.
La littérature renaissante accorde une place forte à l'histoire-jugement, soit l'histoire écrite du point de vue de ses acteurs, qui mêle témoignage et commentaire, méditation humaniste sur la fortune et réflexion politique sur les conseils et leurs effets. L'entourage de François Ier espéra que son règne serait ainsi raconté par un Thucydide ou un César français, rôle qui échut à Guillaume Du Bellay, seigneur de Langey (1491-1543).
Si ses Ogdoades inachevées furent le fruit d'une réflexion collective (associant Rabelais, Jean Du Bellay, Sleidan), elles sont pourtant profondément originales, comme le révèle l'analyse du Prologue (ici édité) et des fragments des Ogdoades. Leur influence se donne à lire chez Bodin et, plus encore, chez Martin Du Bellay et Blaise de Monluc, tous héritiers de la méthode de Langey. L'ombre de Guillaume Du Bellay s'étend enfin sur les Essais de Montaigne qui, tout en refusant d'écrire l'histoire, la commente en « diligent lecteur » - selon le mot de Langey.
Du prédicateur Savonarole on a davantage retenu l'implication dans la vie politique que la façon dont il s'adressait aux Florentins. Revendiquant une parole inspirée et façonnée par les Écritures, le dominicain souhaite réformer la manière de prêcher, trop marquée à son goût par les ornements de l'éloquence. L'exploration de ses sermons montre qu'à partir de 1490, il passe du sermon scolastique à la lectio continua, avant d'opter en 1494 pour une construction à la fois circulaire et binaire. Faisant passer le geste politique dans le discours, selon son expression « mon dire est un faire », il élabore la transformation de Florence en une nouvelle Jérusalem, projet pour lequel il est prêt à aller jusqu'au martyre. Mais si le rappel incessant de ses prophéties donne un sens aux événements historiques liés aux guerres d'Italie, l'auto-plaidoyer qui en résulte finit par désacraliser sa parole de prédicateur au point de le conduire à sa perte.
Fondée en 1950 par Eugénie Droz, la collection des Travaux d'Humanisme et Renaissance a réuni, en soixante-cinq ans, plus de 550 titres. Elle s'est imposée comme la collection la plus importante au monde de sources et d'études sur l'Humanisme (Politien, Ficin, Erasme, Budé...), la Réforme francophone (Lefèvre d'Etaples, Calvin, Farel, Bèze...), la Renaissance (littéraire et artistique, Jérôme Bosch ou Rabelais, Ronsard ou le Primatice...), mais aussi la médecine, les sciences, la philosophie, l'histoire du livre et toutes les formes de savoir et d'activité humaine d'un long XVIe siècle, des environs de 1450 jusqu'à la mort du roi Henri IV, seuil de l'âge classique. Les Travaux d'Humanisme et Renaissance sont le navire-amiral des éditions Droz.
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La Société française des Seiziémistes a demandé à l'éminent spécialiste d'histoire du droit qu'est M. Reulos, conseiller honoraire à la Cour de cassation de Paris, de rédiger un vademecum à l'usage des seiziémistes, souvent embarrassés par les formes étranges que revêtent les citations de droit dans les textes anciens. M. Reulos les explique, les définit et donne la clé de l'univers mental des juristes de l'époque.