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YVES COLEMAN
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Les sept lois spirituelles du Yoga : un guide pratique de transformation intérieure
Deepak Chopra, David Simon
- J'ai Lu
- Bien Etre
- 11 Octobre 2023
- 9782290394199
Le yoga est une technique ancestrale que les Occidentaux ont trop souvent tendance à considérer comme un simple sport de détente. Non seulement le yoga améliore la souplesse et évacue le stress, mais il a en outre la capacité d'unifier le corps, l'âme et l'esprit. Son pouvoir de transformation intérieure est extraordinaire. Le Dr Deepak Chopra et le Dr David Simon, deux pionniers de la santé holistique, vous font pénétrer dans la tradition et la philosophie du yoga. Pas à pas, ils vous expliquent comment réaliser les postures (asanas), comment méditer et comment respirer, pour pratiquer chez soi et en toute sécurité.
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Le grand livre de la prophétie des Andes ; les leçons de vie de la prophétie des Andes
James Redfield
- J'Ai Lu
- Aventure Secrete
- 7 Novembre 2018
- 9782290169773
La prophétie des Andes, issue d'un manuscrit fabuleux rédigé six cents ans avant J.-C., révèle que notre société va vivre un grand bouleversement. Interpellé, le héros de cette histoires'envole pour le Pérou à la recherche d'un mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse,une dangereuse initiation : une quête en neuf étapes qui le mène du sommet des Andes au coeur de la forêt amazonienne. Compris dans ce même volume, le livre d'exercices qui suit ce formidable roman initiatique nous apprend à clarifier notre passé et nos idées, à améliorer nos relations avec les autres et à travailler avec les énergies positives.
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Treize leçons sur la vie des maîtres : le véritable enseignement de Jésus et des sages d'Extrême-Orient
Baird T. Spalding
- J'ai Lu
- Aventure Secrete
- 21 Février 2005
- 9782290346570
Après le récit des exploits miraculeux des Maîtres d'Extrême-Orient dans La vie des Maîtres, Baird T. Spalding nous livre ici un enseignement spirituel fondamental. Qui est Dieu ? Comment éveiller la conscience ? Quel est le cheminement de l'âme après la mort ? Comment se libérer des pensées négatives ? Éclairant d'un jour nouveau la Bible et les miracles de Jésus, l'auteur montre que la sagesse de ses Maîtres rejoint celle des grands textes sacrés. À côté des révélations parfois étonnantes sur le Christ, les temples de guérison ou les pouvoirs de la pensée, Treize leçons sur la vie des Maîtres offre une base de travail pratique pour réorganiser sa vie en fonction de principes spirituels éternels et de lois universelles.
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« Le titre du livre évoque la venue du printemps. Pourtant, les créatures du Temps des fruits traversent un paysage rude, violent, découvert par l'homme depuis peu. Héritiers de mythes et de souvenirs épars, ils ne conservent, du paradis terrestre primitif, que des lambeaux de rêves, des traces d'un monde épique disparu. En leur qualité de pèlerins, ils explorent le désordre de la réalité, tout en aspirant à l'éloquence des gestes dramatiques, à des sentiments d'une densité archéologique. Quasiment aphasiques, privés du prestige du verbe et de la voix, des bruits polysémiques, il ne leur reste que l'héritage d'émotions funestes, passionnées, sauvages et de gestes subtils, distraits, parfois raréfiés. » Ainsi s'exprime l'auteure à propos de ce recueil de nouvelles, écrites à vingt-huit ans. Peut-on parler de « personnages » à propos de ces êtres sans nom, qui évoluent à travers le recueil ? Nelida Piñon se dirige à pas sûrs vers une forme de narrativité à la limite de la parabole.
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Au-delà du marché vers une nouvelle pensée économique
Kaushik Basu
- Editions De L'Atelier
- 23 Février 2017
- 9782708244948
Ce livre s'inscrit dans le prolongement des travaux et réflexions qui démontrent qu'un autre économie est possible, et publié aux Editions de l'Atelier comme ceux de Gaël Giraud ( Illusion financière -17 000 ex vendus) et Steve Keene (L'imposture économique - 13 000 ex vendus) L'ex-économiste en chef de la banque mondiale, Kaushik Basu, s'attaque là au « mythe de la main invisible », un concept mal interprété et devenu le socle de l'idéologie sur lequel repose le dangereux système économique actuel.
Kaushik Basu, qui était encore il y a peu l'économiste en chef de la banque mondiale, s'intéresse à un concept bien connu des économistes : le concept de la « main invisible » énoncé par Adam Smith selon lequel l'ordre qui régit le monde n'a nul besoin d'un coordinateur central, car le marché agit comme une main invisible. Cette hypothèse a pour corollaire l'idée que l'intérêt personnel d'un individu n'entre pas en conflit avec l'intérêt de toute la société, mais, au contraire, la quête par l'individu de son intérêt personnel contribue à ce qu'une économie croisse de plus en plus.
L'auteur montre que l'hypothèse formulée par Adam Smith s'est progressivement transformée en une doctrine dure et inflexible, qu'il appelle le « mythe de Smith », et qu'elle s'est sclérosée dans une idéologie qui nous empêche de comprendre la façon dont fonctionnent les économies, les raisons pour lesquelles elles stagnent, et le rôle des marchés et des politiques d'interventions.
Tandis que la plupart des économistes pensent que l'ordre actuel, fondé sur la quête de l'intérêt individuel et de marchés libres sans entraves, est le seul système viable, ce livre soutient qu'en réalité, tous les systèmes économiques reposent sur des normes et des croyances sociales. Les économistes ont tellement intégré les normes et croyances sur lesquelles repose le capitalisme que celles-ci sont devenues, au fil du temps, invisibles.
Or le système actuel rend possibles l'exploitation, les conquêtes et les expropriations.
L'apparence de ces pratiques a changé : elles trouvent le moyen de se parer d'un voile d'innocence. Pourtant, l'auteur affirme que des nations entières, des groupes et des masses de gens sont continuellement trompés et ruinés, et montre d'une part que ces phénomènes sont rarement le résultat de guerres et de confrontations directes, mais plutôt de manoeuvres financières complexes, et d'autre part que s'ils ne débouchent pas sur une ébullition sociale, c'est notamment parce que la presse écrite et les autres médias conduisent un tir de barrage idéologique continu autour de deux mythes: les marchés des nations industrialisées seraient à la fois libres et justes.
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La République des rêves est une saga somptueuse, dominée par la haute figure de Madruga, immigrant espagnol devenu magnat de l'industrie. Fuyant la misère de son village de Galice, il s'est embarqué, à treize ans, pour « les Amériques ».
Le village espagnol de Sobreira au début du siècle, le Brésil des années 1930, avec la dictature populiste de Getulio Vargas, le Brasilia de Kubitschek, le Brésil des années 1980 servent de toile de fond à la tumultueuse histoire d'une famille déchirée, partagée entre la nostalgie du pays natal et l'amour de cette nouvelle patrie, à la fois accueillante et hostile.
Dans une atmosphère d'inceste, trois générations s'affrontent sous le regard de la jeune Breta, dépositaire de l'épopée familiale et de rêves ancestraux : rêves d'anciennes esclaves et mémoires de l'Afrique, rêves d'immigrants qui se ruent vers la fortune, rêves de puissance des classes dominantes, rêves des pauvres qui se réfugient dans la magie...
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« Les personnages de La Salle d'armes, comme bien d'autres créatures romanesques, sont littéralement submergés sous le poids des engagements que je me suis fixés : je dois écrire, entendre des histoires pour que l'existence des êtres humains, généralement conflictuelle et sordide, devienne viable. [...] L'épicentre du langage de ces nouvelles est toujours le lieu d'une crise. Sous une telle étiquette, leurs personnages singuliers et énigmatiques, liés à l'action, disent qui ils sont, qui nous sommes finalement. [...] Sous l'impact de tels effets, ces récits transmettent l'idée que l'interdit, l'illicite, est la matrice essentielle de leur raison d'être. Et chaque fois qu'ils expriment la tragédie du désir et de l'audace qui ronge l'esprit, le verbe et l'énigme impriment aux héros le courage de vivre, même dans des conditions contraignantes. » N.P.
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Paru au Royaume-Uni en 2004, cet essai se propose d'explorer les forces sociales et économiques à l'oeuvre dans les démocraties modernes. Partant du malaise profond et de la violente crise de confiance que les peuples de ces pays traversent vis-à-vis des institutions étatiques, Crouch avance que les États y cèdent progressivement tout leur pouvoir décisionnel et leur marge d'action aux multinationales. L'importance démesurée des flux de capitaux induits par le capitalisme moderne rend en effet les gouvernements extrêmement dépendants des conglomérats. Rejetés et décrédibilisés dans leur fonction même - garantir des services publics et sociaux à la population et à répondre à ses besoins -, ils délèguent ces tâches à des entreprises privées et perdent peu à peu toute légitimité.
Concis et subtilement argumenté, cet essai offre une réponse cinglante aux chantres du néolibéralisme pour qui les sociétés dites avancées ont atteint le degré de démocratie le plus élevé possible ; et propose des pistes concrètes afin de redonner aux citoyens - principaux acteurs de la vie économique et sociale - une réelle marge d'action, dans le cadre d'un système véritablement « démocratique ».
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Lorsqu'en 2008, la banque d'investissement Lehman Brothers fait faillite, on aurait pu s'attendre à ce que l'ère néolibérale touche à sa fin. Mais c'eût été méconnaître la véritable nature du néolibéralisme, qui ne se résume pas à la suprématie du marché sur l'État. Retraçant les batailles idéologiques et politiques qui opposèrent keynésiens - partisans du levier étatique - et « néolibéraux » - thuriféraires du marché -, Colin Crouch démontre que cette bipolarisation du débat ne permet plus de comprendre les enjeux contemporains du système néolibéral.
L'Étrange Survie du néolibéralisme s'efforce en effet de révéler comment ce combat s'est soldé par l'avènement de très grandes entreprises, un nouveau pouvoir qui fait désormais pièce à l'État comme aux marchés. Loin de s'apparenter à un aride examen des théories néolibérales, ce texte très accessible cherche à penser le rôle de la « société civile », la seule force, selon l'auteur, en mesure de faire face à la triade formée par le marché, l'État et les conglomérats.
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L'industrie du mensonge ; relations publiques, lobbying et démocratie
John Stauber, Sheldon Rampton
- Agone
- Elements
- 15 Février 2012
- 9782748901573
A ceux qui utilisent les techniques de lobbying pour redresser les injustices sociales, protéger l'environnement, promouvoir les droits des minorités, défendre les travailleurs ou oeuvrer pour le bonheur de leur communauté, nous avons voulu montrer que c'est une illusion de croire que ces techniques sont " neutres ".
Même si toutes les organisations écologistes du monde mettaient leurs ressources en commun, elles ne disposeraient jamais d'un budget de relations publiques équivalent à celui d'un seul fabricant de pesticides décidé à défendre ses intérêts. Un tel mouvement verra-t-il le jour ? L'existence même du lobbying prouve que c'est possible : le fait que les entreprises industrielles et les gouvernements dépensent chaque année des milliards de dollars pour manipuler l'opinion illustre, de façon perverse mais flagrante, l'existence persistante - même souterraine - des valeurs morales et intellectuelles que nous pouvons défendre.
En examinant le pouvoir et les méthodes des lobbyistes, ce livre dévoile l'ampleur des manipulations dont le peuple est l'objet pour transformer " l'opinion publique " et conforter les intérêts des grands groupes industriels. Des espions aux journalistes opportunistes, en passant par des scientifiques peu regardants et de faux manifestants, l'industrie du mensonge utilise tous les canaux possibles pour que seule l'information qui arrange ses clients - groupes pharmaceutiques, gouvernements, industriels pollueurs, producteurs d'énergie nucléaire, de tabac ou de nouvelles technologies (OGM...) - puisse être diffusée.