Imaginez un terrain de tennis. D'un côté, un couple modèle, heureux en mariage depuis cinquante ans. De l'autre, leurs quatre enfants, soit la panoplie du bonheur. L'enjeu de la partie ? Le grain de sable qui a enrayé une mécanique jusqu'alors parfaitement huilée, dévoilant des failles et des rivalités insoupçonnables, transformant les membres d'une famille idéale en de redoutables adversaires. Que le meilleur gagne !
Et si nos proches étaient... nos pires ennemis ? Avec un savant dosage d'humour, de suspense et de poil à gratter, Liane Moriarty appuie là où ça fait mal. Pour notre plus grand plaisir !Livre après livre, l'Australienne enrichit sa palette et affine ses intrigues. Elle excelle à jouer avec ses personnages. On se régale de la finesse de ses analyses psychologiques. Alix Girod de l'Ain, Elle.Ce roman léger, drôle et parfois cruel, est un sans faute ! Pauline Leduc, L'Express.Traduit de l'anglais (Australie) par Sabine Porte.
« Jamais deux sans trois ! » C'est le credo des triplées Lynn, Cat et Gemma. Il y a Lynn, la soeur raisonnable, qui bataille pour trouver un équilibre entre sa vie de mère, de couple et sa carrière professionnelle. Cat, dont tout le monde envie le mariage apparemment parfait. Et Gemma, qui change de job et de fiancé comme de chemise.
Elles sont soeurs, triplées, soudées. Ensemble, elles ont toujours réussi à surmonter les épreuves de la vie. Jusqu'à cette fête d'anniversaire qui lève le voile sur de dérangeantes vérités. Et menace de les plonger dans le chaos.
Après le succès du Secret du mari, traduit dans cinquante-cinq pays, et de Petits et grands mensonges (adapté en série par HBO sous le titre Big Little Lies), ce roman, mené comme un thriller, est un soap doux amer dont personne ne sort indemne.
Percy Darling coule une retraite paisible dans la campagne de Nouvelle-Angleterre. Veuf depuis longtemps, il n'est vraiment proche que de son petit-fils Robert et vit en reclus. Aussi faut-il vraiment que sa fille récemment divorcée ait besoin de son aide pour qu'il accepte de laisser une école primaire s'installer dans sa grange. Percy n'est pas ravi de voir sa routine changer, mais se laisse aussi aller à une certaine curiosité. Et s'ouvrir à nouveau sur le monde extérieur lui réserve des surprises : Sarah, mère adoptive d'un petit garçon de l'école, Ira, instituteur enthousiaste, ou Celestino, jardinier guatémaltèque au profil étonnant, entrent dans sa vie de manière inattendue, faisant prendre à son existence un cours nouveau.
Trois couples épanouis. De charmants enfants. Une amitié solide. Et un barbecue entre voisins par un beau dimanche ensoleillé : tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Alors, pourquoi, deux mois plus tard, les invités ne cessent-ils de se répéter : « si seulement nous n'y étions pas allés » ?
Après le succès du Secret du mari, traduit dans 55 pays, et de Petits secrets, grands mensonges, adapté par HBO, Liane Moriarty continue de dévoiler la noirceur qui rôde sous les vies ordinaires et nous plonge au coeur des redoutables petits mensonges et des inavouables secrets de l'âme humaine... Fin, décapant, et jubilatoire.
Jim Carrey est une star de cinéma adulée. Il a beaucoup de succès, on envie sa réussite et ses privilèges. Mais il est très seul. Il commence à vieillir, il prend du poids. Il passe des nuits à chercher de l'affection auprès de ses chiens de garde entraînés par le Mossad et à regarder des documentaires improbables sur Netflix. Il a tout tenté pour sortir de sa déprime : les régimes, les gourous, et même les bons conseils de son cher ami, acteur et collectionneur de crânes de dinosaures Nicolas Cage.
Rien ne va, jusqu'au moment où il croise la route de Georgie. C'est l'amour de sa vie, il le sait, il le sent. Charlie Kaufman, scénariste de Dans la peau de John Malkovich, lui propose alors un rôle dans un film d'un nouveau genre, un film qui repousse toutes les limites existantes et qui lui permettra sûrement de remporter un Oscar.
On dirait que l'horizon s'éclaircit enfin...
Mais l'univers a d'autres plans pour Jim Carrey...
Mémoires flous est bien un roman, qui interroge la notion d'identité. Jim Carrey et Dana Vachon ont écrit un livre hilarant, démesuré, cataclysmique par moments, qui dresse un portrait en creux plus vrai que nature de Carrey l'acteur, et de Hollywood. Satire mordante de la société du spectacle, et « semi-autobiographie », Mémoiresflous est un roman inclassable, comme Jim Carrey !
Greenie adore son métier de pâtissière à New York, elle a un jeune fils de quatre ans et semble avoir tout pour être heureuse. Mais ce n'est pas vraiment le cas, car son mari Alan, un psychothérapeute qui fut son grand amour, glisse lentement dans l'insatisfaction. Aussi, lorsqu'un fantasque gouverneur du Sud-Ouest lui offre un poste en or, Greenie saute-t-elle sur l'occasion, mettant Alan au défi de la suivre, elle et leur fils, à l'autre bout du pays pour commencer une nouvelle vie. Simple crise de la quarantaine avec son besoin de nouveaux horizons ? Sous le soleil radieux du Nouveau-Mexique, Greenie semble prête à toutes les remises en question.
Quand George Darrow, jeune diplomate trentenaire, retrouve par hasard Anna Leath, amour de jeunesse qu'il n'avait pu épouser, elle est devenue veuve et mène une vie retirée. L'attirance qui les avait rapprochés renaît immédiatement.
Mais Anna Leath, américaine cultivée et du meilleur monde, ne parvient pas à se départir d'une réserve dont on ne sait si elle est pudeur, froideur ou indécision. Darrow, qu'un concours de circonstances amène à se croire éconduit, croise le chemin d'une jeune femme jadis rencontrée à Londres et dont l'existence n'a rien de simple, mais dont le sourire, l'énergie et le courage le distraient agréablement de son chagrin présent.
Une brève idylle se noue ; elle aura des conséquences incalculables...
1959. Au deuxième étage du grand magasin F. G. Goode's de Sydney, des jeunes femmes vêtues de petites robes noires s'agitent avant le rush de Noël. Parmi elles, Fay, à la recherche du grand amour ; l'exubérante Magda, une Slovène qui règne sur les prestigieux Modèles Haute Couture ; Lisa, affectée au rayon Robes de cocktail, où elle compte bien rester en attendant ses résultats d'entrée à l'université... Dans le secret d'une cabine d'essayage ou le temps d'un achat, les langues se délient, les vies et les rêves des vendeuses se dévoilent. Devenu un classique dans les pays anglo-saxons, Les Petites Robes noires, remarquable instantané de l'Australie des années 1950 et critique subtile de la place de la femme dans la société, est un chef-d'oeuvre de finesse et d'esprit.
Au coeur des Rocheuses sauvages, Allison lutte pour sa survie. Unique rescapée d'un crash, blessée, elle fuit la carcasse fumante de l'avion, abandonnant derrière elle le corps inerte de son fiancé. Persuadée d'être traquée, elle fuit en réalité toute présence humaine.À dix États de là, sa mère, Maggie, refuse de croire à son décès. Alors que ses proches l'incitent à faire son deuil, elle décide de mener sa propre enquête. Les deux femmes ont coupé les ponts depuis deux ans et, au fil de ses recherches, c'est une étrangère que Maggie découvre. Allison s'est construit une vie de rêve, mais à quel prix? Maggie saura-t-elle comprendre la vérité à temps pour sauver sa fille?Il y a tant de façons de mourir est un thriller addictif autant qu'une ode somptueuse à la puissance du lien mère-fille.
L'île Moustique retient son souffle à l'approche d'une redoutable tempête tropicale. La plupart des résidents ont déserté ce coin de paradis. Et seuls quelques amateurs de sensations fortes sont restés. Dont l'héritière américaine Amanda Fortini qui, après une baignade matinale... disparaît mystérieusement.
Alertée par Solomon, l'unique policier de l'île, Lady Vee, propriétaire de Moustique, arrive aussitôt. Seulement pour découvrir le corps sans vie d'Amanda. Solomon et Lady Vee s'engagent alors dans une course contre la montre pour que ce paradis ne devienne pas un enfer...
Dame de compagnie de la princesse Margaret, Lady Glenconner, qui est aussi un des personnages de la série The Crown, a acheté avec son mari l'île Moustique en 1958 pour y accueillir des célébrités. C'est ce qui lui a inspiré ce suspense palpitant et glamour !Débordant de détails, ce roman donne l'impression d'entrer dans le monde pailleté des célébrités... et dans leur part d'ombre. Daily Mail.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Sabine Porte.
Portrait d'un marginal qui se dit l'auteur d'une oeuvre totale, Le Secret de Joe Gould se déploie en une extraordinaire quête de vérité et prend la dimension d'une légende moderne. Joe Gould, le « dernier des bohèmes », « petit homme joyeux, au physique émacié », hante les cafétérias, les diners, les bars, les trous à rats de Greenwich Village. Il fait la manche, couche dehors, vêtu de guenilles qu'il porte « avec une espèce de désinvolture triste ».
Son passé, qu'il raconte volontiers en échange d'un verre, est troublant : il aurait fait Harvard, aurait été journaliste... Surtout, il se vante d'un secret, prétend être l'auteur du plus long manuscrit jamais écrit, onze fois plus long que la Bible et en perpétuel chantier : Une histoire orale du monde ? celle des vingt mille personnes qui se sont confiées à lui. Joseph Mitchell, journaliste au New Yorker, est obsédé par l'idée de le lire et de le faire publier.
C'est sa propre « quête » du manuscrit qu'il raconte. Mais ce manuscrit, qui se dérobe sans cesse, a-t-il jamais existé ? L'entreprise de Joe Gould, accumulation d'un hypothétique trésor fondé sur la vie elle-même, confine à la folie, comme l'obsession de Mitchell à la valider. Plus on s'enfonce dans Le Secret de Joe Gould, plus ce livre fascine par sa vertigineuse mise en abîme : qui est dupe de l'autre ? qui est le fou littéraire ? La profondeur des interrogations qu'il fait naître, sur les rapports entre la vérité et la fiction, la mémoire et l'oubli, l'usage de la vie, fait de ce texte en lui-même un trésor : un livre-culte, célébré par de grands écrivains (Rushdie, Martin Amis, Julian Barnes.), que l'on brûle de faire découvrir.
Angelica Garnett (1918-2012), nièce de Virginia Woolf, a grandi au coeur du Bloomsbury Group, qui réunissait d'influents écrivains, artistes et intellectuels anglais. Dans sa maison de campagne du Sussex ou dans celle de Gordon Square à Londres, on pouvait ainsi croiser, entre autres, Leonard et Virginia Woolf, Roger Fry, E. M. Forster, David Garnett - qui, lorsque Angelica était née, avait annoncé qu'il l'épouserait.
La vie de la jeune fille bascule lorsque, à dix-sept ans, celle-ci apprend qu'elle est le fruit d'une liaison entre sa mère et le peintre Duncan Grant. Et, plus tard, un second choc : elle découvre que David Garnett, devenu son époux, a été dans le passé l'amant de Duncan...
Avec cette autobiographie publiée en 1985, Angelica Garnett nous offre un portrait vibrant et sans concessions de sa mère, et démythifie un milieu fascinant, aujourd'hui entré dans la légende.
Rachel, la mère de Thomas, a partagé sa vie avec deux hommes. Tous deux s'appelaient Rowland Vanderlinden. Le premier, parti pour un long voyage, n'est jamais revenu. Le second, elle l'a aimé passionnément, sans poser aucune question. Quelle est l'identité de cet imposteur ? Et qu'est-il arrivé au premier Rowland Vanderlinden ? Thomas est déterminé à percer les secrets de ce double mystère.
Il est arrivé comme par enchantement, dressant sous le ciel étoilé ses chapiteaux noir et blanc : Le Cirque des rêves.
Approchez, Mesdames et Messieurs, petits et grands, entrez ! Ici se déroule plus que tours et acrobaties. Sous vos yeux ébahis, la véritable magie est à l'oeuvre : deux jeunes illusionnistes, Celia et Marco, s'affrontent dans un combat magique pour lequel ils sont entraînés depuis l'enfance. Voués à se mesurer dans le plus prodigieux des défis, ils sont adversaires. Mais entre eux, une magie plus grande opère, celle de l'amour.
Une passion ensorcelante qui pourrait leur être fatale...
Londres, dans les années 1950. Mildred Lathbury, jeune femme célibataire au quotidien partagé entre la vie de la paroisse et les tâches domestiques, voit son existence bouleversée lorsque débarque dans son immeuble une fougueuse anthropologue au bras d'un très bel homme...
Je laissai Dora poursuivre, mais sans réellement lui prêter l'oreille car je connaissais l'opinion que nourrissait Dora à l'égard de miss Protheroe et de tout précepte religieux. Nous nous étions souvent querellées autrefois à ce sujet. Je me demandais comment elle pouvait gâcher autant d'énergie à lutter pour une vétille telle que le port du chapeau à l'office ; puis je me dis qu'après tout, la vie se réduisait, pour la plupart d'entre nous, à des détails de cet ordre : les petits désagréments plus que les grandes tragédies, les dérisoires petites envies plus que les grands renoncements et les tragiques passions amoureuses de l'histoire ou des romans.
Droguées et kidnappées, dix jeunes femmes se réveillent prisonnières dans une ancienne ferme isolée en plein désert australien. Le crâne rasé, vêtues d'habits étranges, enchaînées, elles sont surveillées par trois geôliers, vicieux et imprévisibles, embauchés par une mystérieuse agence. Un jour, la nourriture vient à manquer. Pour elles comme pour eux. Et les proies se changent en prédatrices.Dans la lignée de Margaret Atwood, Charlotte Wood livre une métaphore viscérale de la misogynie de nos sociétés, qui accusent les femmes des maux dont elles sont les victimes. Amandine Schmitt, L'Obs.La Nature des choses est aussi étouffant qu'un huis clos. Intriguant également et, par instants, d'une étrangeté fantastique. Macha Séry, Le Monde des livres.Traduit de l'anglais (Australie) par Sabine Porte.STELLA PRIZE 2016.
Quand Nikolaï, veuf depuis peu, annonce à ses filles qu'il compte se remarier avec une jeune Ukrainienne de cinquante ans sa cadette, qui veut surtout obtenir la nationalité anglaise, elles oublient vite leur rivalité pour voler à son secours. L'intruse a, en sus, des ogives nucléaires en guise de poitrine et un penchant effréné pour le luxe à l'occidentale ! Tandis que le vieil homme poursuit son grand oeuvre, l'«histoire du tracteur», une bataille épique commence...
Quelque part dans le Nord de l'Australie, une jeune Aborigène est un jour arrachée à sa mère pour, comme tant d'autres, être placée à l'orphelinat d'une mission religieuse qui se chargera de lui "blanchir" l'âme. Folle de douleur, la mère se suicide ; dès lors plane sur la mission une sorte de malédiction, symbolisée par l'inquiétante présence de corbeaux sur un arbre...
Aussi visionnaire qu'engagé, Les Plaines de l'espoir est un roman total où rêve et action, fiction et témoignage s'unissent pour révéler ce qu'il en fut, aux antipodes, de dizaines de milliers d'enfants aborigènes enlevés à leurs familles dans l'espoir d'en faire des Blancs. Torrentueux et âpre, traversant les paysages hallucinogènes du bush ou la violence des mégapoles de l'Australie moderne, hanté à parts égales par l'actualité et par le mythe, Les Plaines de l'espoir dresse une stèle en mémoire d'un peuple pour que lui soit restitué le droit à l'avenir.
Missouri, 1929. Un soir d'été, les habitants de West Table se rendent joyeux au bal du village. Mais la salle prend feu avant d'exploser, laissant de nombreux morts et beaucoup de questions.
Inspiré d'un drame qui toucha la famille de Daniel Woodrell, ce roman saisissant mène l'enquête et brosse le portrait intime et terrible d'une petite communauté, ses relations viciées, ses hypocrisies et ses secrets.
Dans la ferme de Rosamund Young, les animaux vivent en liberté et sont nourris de façon naturelle. Une pratique qui favorise le développement intellectuel, notamment chez les vaches.
Certaines refusent de dormir avec les pieds boueux et font toujours leur toilette avant le coucher, d'autres préfèrent la présence des hommes à celle des femmes. Quand l'une salue les humains d'un hochement de tête, d'autres partagent une passion commune pour les pommes!
Moutons, vaches, cochons, poules : tous sont des êtres sensibles et différents, capables d'amitié, de jouer, de se soigner et de se transmettre des connaissances.
Un ouvrage drôle et touchant, mais surtout, un véritable plaidoyer contre la souffrance animale et pour le respect de l'environnement.
Dès le premier jour de ses vacances, Delia Grinstead part marcher le long de la plage, loin. Sans en avoir formulé le désir, elle est en train d'abandonner sa famille. Pour son mari, Sam, elle fait depuis presque vingt-cinq ans partie des meubles. De ses trois enfants, le petit dernier, le cher Carroll, a déjà 17 ans et n'a plus autant besoin de sa maman. Ses soeurs, omniprésentes, la considèrent incompétente, évanescente, inutile.
Elle s'installe dans une ville à deux heures de Baltimore, trouve un travail, et prétend mener enfin une vie qu'elle aurait choisie, loin des attaches et des tracas. Mais au fond, qu'attend-elle de cette fugue ? De cette vie ou de l'ancienne, laquelle finira-t-elle par choisir ?
Face au chaos, à l'énigme du monde, au présent est une interrogation en forme d'éclatement, où s'entrecroisent des fragments de récits autobiographiques, de chroniques et de lectures, des réflexions philosophiques et théologiques, des descriptions de la nature ou encore des statistiques.
Cette tentative de décryptage se déploie au travers de thèmes récurrents repris tout au long des sept chapitres comme autant de champs d'exploration.
La grâce rivalise avec l'horreur, le mysticisme se mêle aux nombres, l'individu affronte la multitude, les vivants marchent sur la tête des morts. en un subtil télescopage du passé et du présent, annie dillard crée une chambre d'écho où les questions se répercutent et s'amplifient peu à peu : quelle est la place de l'individu au sein de la multitude ? que sommes-nous au regard de l'éternité ? dieu est-il à l'origine du mal ? comment vivre ? a ces questions irrésolues répond la compassion de l'auteur qui de la détresse et du mystère du monde fait jaillir des fragments d'épiphanie.
Il y a Jude, grande restauratrice à la retraite, Wendy, figure intellectuelle reconnue, et Adele, l'actrice qui ne décroche plus aucun rôle. Depuis la mort de Sylvie, la quatrième comparse, elles tentent coûte que coûte de soigner leur amitié, réalisant avec peine que leur pierre angulaire n'est plus là et que sans elle, l'équilibre du groupe est menacé.
Le temps d'un week-end, les trois femmes se retrouvent pour vider la maison de Sylvie. Les frustrations et les souvenirs douloureux de chacune refont surface. Des caractères qui s'opposent, un chien vieillissant, des invités surprises, du vin qui coule à flot et le chagrin d'avoir perdu leur amie menace d'éteindre leur lien pour de bon.
Le week-end explore cette deuxième partie de la vie, le moment du bilan et la conscience du déclin à venir. Souvent drôle, et d'une finesse incroyable, Charlotte Wood célèbre la tendresse et l'amitié comme personne.
Berthold Sidebottom, acteur divorcé et au chômage né le même jour que George Clooney, habite à Londres avec sa mère, Lily, et son perroquet. Quand Lily meurt subitement, Bertie doit se battre pour garder l'appartement, considéré trop grand pour une personne seule.
Il décide alors d'adopter Inna, une vieille dame d'origine ukrainienne rencontrée à l'hôpital...
Avec le talent qu'on lui connaît, Marina Lewycka nous entraîne, au fil de situations cocasses ou absurdes, dans la vie de gens finalement pas si ordinaires.