La nuit, dans la solitude rassurante de son appartement où sont exposées ses figurines en plastique minutieusement assemblées par ses soins, Jang Yeong-min, courtier agoraphobe à qui la réussite sourit, aime n'avoir qu'à actionner sa souris pour exercer son métier.
Persuadé de pouvoir distinguer le schéma qui se cache derrière toute chose grâce à sa clairvoyance exceptionnelle, il perçoit celui auquel obéit le cours des actions qu'il regarde monter et descendre sur ses deux écrans d'ordinateurs. Yeong-min est ainsi toujours capable de savoir exactement à quel moment vendre ou acheter. Il est méticuleux et ne se trompe jamais.
Aussi, quand on se met à retrouver des cadavres auxquels il manque successivement un, puis deux, puis trois, puis quatre... doigts de la main, Jang Yeong-min se trouve aussitôt un nouveau passe-temps : découvrir le schéma d'un psychopathe qui se cache derrière ces meurtres. Et d'ailleurs, pourquoi ne pas y prendre part.
Car notre héros tiendrait enfin l'occasion inattendue de se venger de son ancien « camarade » de lycée dont le harcèlement fût à l'origine de son traumatisme.
Ce sera le début d'un abominable cauchemar.
Oghi, paralysé après un accident de voiture ayant causé la mort de sa femme, se retrouve enfermé chez lui sous la tutelle d'une belle-mère étrange. Cette dernière s'obstine à creuser un immense trou dans le jardin entretenu autrefois par sa fille, afin, dit-elle, de terminer ce qu'elle avait commencé.
Quartier chic et moderne de Séoul, Gangnam est le lieu où se côtoient l'univers de la mode et celui des nouvelles technologies. Le jour, des hommes d'affaires se pressent le long des avenues bordées de gratte-ciels étincelants. La nuit, dans l'ambiance feutrée des clubs privés et des hôtels chics, se révèle une face infiniment plus sombre : un Gangnam souterrain où l'élite économique du pays s'adonne à la drogue, au jeu et aux sévices sexuels, assurée d'une complète impunité.
Dans ce monde où l'argent est roi, vont se croiser un inspecteur véreux accro au jeu et un brillant avocat exerçant, au sein d'un grand cabinet, la fonction de "planificateur" qui consiste, moyennant une colossale somme d'argent, à éviter aux clients des clubs VIP les conséquences de leurs actes. A la fois thriller et roman social, Made in Gangnam est inspiré de faits réels. L'écrivain Ju Won-kyu, qui est aussi pasteur et travaille auprès d'adolescents vulnérables, a infiltré l'un de ces clubs huppés comme chauffeur-livreur et découvert l'horreur des traitements réservés aux jeunes call-girls qui y travaillent.
Son livre révèle, sous le vernis lisse du luxe, un monde d'une inhumanité et d'une violence inimaginables, corrompu par le pouvoir et l'argent".
Après Le portrait de la Traviata, Gojin l'avocat de l'ombre est enfin de retour!
"Je suis désolée. Ne me cherche pas. Dami." Kil Yeong-in ne se remet pas du départ soudain de sa femme, l'an passé. Depuis, sa vie lui semble vide, insensée. Il a songé au suicide sans pouvoir s'y résoudre. Jusqu'au jour il tombe sur une petite annonce internet. Un médecin propose un "suicide mental" pour les gens comme lui, pour ceux qui veulent en finir avec leurs peines mais continuer à vivre. Pourquoi pas, au point où il en est ? C'est ainsi qu'il se rend dans l'étrange cabinet du Dr Yi Tak-o. Parallèlement, Gojin, le fameux " avocat fantôme ", enquête sur un meurtre commis presque sous ses yeux dans un motel. Un meurtre qui semble lié à un certain Dr Yi Tak-o... Après Le Portrait de la Traviata, une nouvelle enquête de l'avocat Gojin, tortueuse et machiavélique à souhait !
Ce matin-là, Musun - la narratrice - a été réveillée par le réfrigérateur. Parce qu'il n'y avait pas d'autres bruits dans la maison. À 11 heures ? Étrange. Elle s'est levée et atrouvé ce petit mot dans la cuisine, avec quelques billets : « Ma chérie, nous te laissons dormir. Occupe-toi bien de Mémé. On revient dans un mois. Ton Papa qui t'aime. » Toute la famille était rentrée à Séoul en l'abandonnant avec Mémé ! L'horreur ! Dans ce trou perdu où les smartphones ignoraient internet ! Avec cette grand-mère qui sarclait son champ dès cinq heures du matin... Un cauchemar...
La cohabitation avec Mémé débute mal. Jusqu'au troisième jour, quand Musun retrouve un dessin qu'elle a fait 15 ans plus tôt, quand elle avait cinq ans : une carte au trésor ! Et quand elle montre le dessin à Mémé, la vieille marmonne... « Ah... ça... Tu te souviens pas ?... C'était l'été... le jour où les quatre jeunes femmes ont disparu... » C'est alors que l'enquête commence vraiment, avec dès le lendemain le renfort de l'héritier des Yu, quatorze ans, dont la fabuleuse beauté a immédiatement inspiré à Musun son surnom : Apollon.
En 1778, le soleil de la prospérité brille sur le royaume coréen de Joseon, mais plus la lumière est vive et éclatante, plus l'obscurité est profonde. Une série de meurtres plonge la capitale dans l'angoisse. Au chevet de chaque victime, a été déposé un livre du romancier le plus populaire de l'époque. L'impétueux dosa Yi de la Haute Cour de Justice est chargé de l'enquête.
Il n'a que vingt ans et c'est avant tout un guerrier. Commence pour lui la période la plus fascinante et la plus déroutante de son existence, celle où il va se frotter aux complots, aux trahisons, aux guets-apens, frôler la mort et nouer une amitié qui va changer sa vie. C'est une plongée dans un monde où les mots tissent le piège des intrigues politiques et peuvent devenir des instruments de mort.
Un accident inexpliqué, une singulière disparition, et maintenant un suicide... ça fait désordre dans un établissement aussi respectable que le musée Jeongno, célèbre pour sa collection de peinture contemporaine coréenne. En tout cas, c'est l'avis du jeune artiste Kim Jun-ki et de son amie Nuri qui, au péril de leur vie, vont tenter de percer les secrets du musée, en marge de l'enquête o cielle de la police. Un polar sur les dessous et les trafi cs du monde de l'art, où le sang qui jaillit évoque un tableau de Jackson Pollock, et dont la clé de l'énigme pourrait bien se cacher dans le mystérieux tableau de l'artiste vénitien Giorgione, La Tempête .