Le jour d'Apophis est arrivé, ce jour sinistre où le dieu des Ténèbres doit se réveiller de son long sommeil de deux mille ans. Pendant que Minjun et Brin-d'Osier errent dans le Royaume des Morts, les élèves de l'Ecole des Chats rassemblent leurs forces pour repousser l'attaque des chats-ombres.
L'ultime bataille approche ! Brin-d'Osier et ses amis auront besoin de tout leur courage et de toute la magie de cristal pour affronter les puissances des ténèbres !
Drôle d'école que cette Ecole des Chats, où il est très recommandé de jouer pendant les cours, et où l'on étudie l'histoire des chats et la magie !
Nouvel élève de la classe de Cristal, Brin-d'Osier ne tarde pas à devenir très ami avec Mandragore, un grand matou fier de ses muscles, et Mot-d'Amour, une ravissante et espiègle chatte. Ensemble, ils vont apprendre à lutter contre les forces des ténèbres pour faire renaître l'Age d'or où les hommes et les animaux vivaient en harmonie.
Drôle d'école que cette Ecole des Chats, où il est très recommandé de jouer pendant les cours, et où l'on étudie l'histoire des chats et la magie !
Nouvel élève de la classe de Cristal, Brin-d'Osier ne tarde pas à devenir très ami avec Mandragore, un grand matou fier de ses muscles, et Mot-d'Amour, une ravissante et espiègle chatte. Ensemble, ils vont apprendre à lutter contre les forces des ténèbres pour faire renaître l'Age d'or où les hommes et les animaux vivaient en harmonie.
La nuit, dans la solitude rassurante de son appartement où sont exposées ses figurines en plastique minutieusement assemblées par ses soins, Jang Yeong-min, courtier agoraphobe à qui la réussite sourit, aime n'avoir qu'à actionner sa souris pour exercer son métier.
Persuadé de pouvoir distinguer le schéma qui se cache derrière toute chose grâce à sa clairvoyance exceptionnelle, il perçoit celui auquel obéit le cours des actions qu'il regarde monter et descendre sur ses deux écrans d'ordinateurs. Yeong-min est ainsi toujours capable de savoir exactement à quel moment vendre ou acheter. Il est méticuleux et ne se trompe jamais.
Aussi, quand on se met à retrouver des cadavres auxquels il manque successivement un, puis deux, puis trois, puis quatre... doigts de la main, Jang Yeong-min se trouve aussitôt un nouveau passe-temps : découvrir le schéma d'un psychopathe qui se cache derrière ces meurtres. Et d'ailleurs, pourquoi ne pas y prendre part.
Car notre héros tiendrait enfin l'occasion inattendue de se venger de son ancien « camarade » de lycée dont le harcèlement fût à l'origine de son traumatisme.
Ce sera le début d'un abominable cauchemar.
La méditation est un sujet à la mode et les titres ne manquent pas. Mais Jung Mok vous dira que la méditation ne sert ni à atteindre l'éveil, ni à accomplir quoi que ce soit mais plutôt à s'asseoir devant une fenêtre ensoleillée.
Elle prodigue ses conseils comme le ferait une vieille amie ; et propose à chacun des lecteurs des techniques qui leur correspondent : méditer en comptant, en marchant pieds nus, en regardant les fleurs ou en se massant le dos.
Le découpage en chapitres thématiques répond à des situations de mal-être bien précises :
La colère, l'angoisse, la dépression, ou encore le pardon, avec leurs exercices associés, et même quelques mesures d'urgence.
Paraboles, courtes histoires, et formules bienveillantes ponctuent le texte : "Chacun de nous est un être précieux".
"Le couteau n'ôte pas la vie, il se fait obéir !" Le couteau, c'est le sabre, celui de Yamada Otozô, commandant en chef de l'armée d'occupation japonaise en Mandchourie en 1945, face à l'armée russe tapie comme un ours dans la neige. La langue, c'est le goût de la cuisine porté à son paroxysme comme une oeuvre d'art par Chen, cuisinier génial et révolutionnaire chinois dont le champ de bataille est un simple billot de bois. Entre l'officier gourmet et le cuisinier rebelle, une lutte à mort s'engage dont la clé est l'art de préparer les plats. Car il y a d'autres manières de faire la guerre qu'avec des fusils et des sabres. Ruses, périls et gourmandise sont au menu de ce roman palpitant dont l'héroïne est la cuisine.
Oghi, paralysé après un accident de voiture ayant causé la mort de sa femme, se retrouve enfermé chez lui sous la tutelle d'une belle-mère étrange. Cette dernière s'obstine à creuser un immense trou dans le jardin entretenu autrefois par sa fille, afin, dit-elle, de terminer ce qu'elle avait commencé.
Un jeune couple d'intellectuels est brutalement interné dans un camp de détenus politiques dans une vallée reculée de Corée du Nord. Année après année, les persécutions viennent à bout de leur dignité jusqu'à les précipiter dans un enfer moral où la volonté désespérée de survivre justifie tous les moyens.
Secrètement amoureux d'elle par le passé, un garde viole la jeune femme, dont le mari refuse de reconnaître l'enfant qu'elle met au monde et qui mourra dans le camp. La jeune femme parvient miraculeusement à s'échapper avec l'aide du garde et s'enfuit en Corée du Sud. Les deux hommes s'échappent à leur tour.
Profondément meurtris, les trois personnages vont se retrouver et se déchirer. Un enfant - dont elle était enceinte lors de sa fuite - laisse entrevoir un avenir porteur d'espoir.
Avec sa coquille sur le dos, l'escargot rampe sur les feuilles et sur les troncs d'arbre mouillés, et pourtant il ne tombe pratiquement jamais. Comment fait-il pour ne pas glisser ? Et pourquoi ne sort-il que par temps de pluie ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cette nouvelle collection spectaculaire à destination des 5-7 ans !
C'est une histoire vraie que nous livre ici l'auteur, une histoire pleine d'émotion et d'humanité où, grâce à des souvenirs étonnamment précis, elle fait revivre son enfance et surtout sa grande soeur Bongsun qui l'a initiée au monde et à la vie. Bongsun a connu la maltraitance, l'abandon et la faim dès son plus jeune âge. A sept ans elle s'est enfuie d'une famille où elle avait été placée, qui la battait et l'affamait, pour se réfugier auprès de la mère de Jjang (surnom d'enfance de l'auteur). La petite Jjang, très attachée à elle, la considère comme sa grande soeur et partage des moments forts et tendres avec elle. Pour autant, Bongsun n'occupe pas une place égale à celle des autres enfants dans la famille, elle reste une subalterne, une petite bonne.
Jin-yi consacre sa vie à l'étude des primates. Un soir, elle participe au sauvetage d'une bonobo échappée d'une villa en flammes et, alors qu'elle la tient sur ses genoux dans la voiture qui les ramène au Centre d'étude des primates, un accident la projette à travers le pare-brise et une étrange fusion s'opère?: tandis que son corps est emmené à l'hôpital, entre la vie et la mort, l'esprit de Jin-yi se réfugie dans le corps de la petite bonobo. Ainsi commence une fascinante coexistence entre ces deux êtres.
La romancière livre un récit captivant qui nous tient en haleine du début à la fin. Mais la vraie originalité de son roman est de déplacer les frontières entre humain et animal en nous faisant pénétrer dans l'univers et la sensibilité des bonobos.
Un dialogue bouleversant sur le désir de vivre et la mort, sur les liens plus justes que nous voulons établir avec les autres êtres vivants ainsi qu'avec nous-mêmes.
Le chat court et bondit avec légèreté. Il grimpe aux arbres et se tient en équilibre au sommet des murs. Mais comment fait-il pour être aussi agile ? Et pourquoi ses yeux brillent-ils dans le noir ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cette nouvelle collection spectaculaire à destination des 5-7 ans !
Un beau jour, la chenille qui rampe sur les tiges des plantes se transforme en un splendide papillon et se met à voler dans les champs. Pourquoi cet animal change-t-il de forme au cours de sa vie ? Et comment se fait-il qu'il passe autant de temps auprès des fleurs ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cette nouvelle collection spectaculaire à destination des 5-7 ans !
Quartier chic et moderne de Séoul, Gangnam est le lieu où se côtoient l'univers de la mode et celui des nouvelles technologies. Le jour, des hommes d'affaires se pressent le long des avenues bordées de gratte-ciels étincelants. La nuit, dans l'ambiance feutrée des clubs privés et des hôtels chics, se révèle une face infiniment plus sombre : un Gangnam souterrain où l'élite économique du pays s'adonne à la drogue, au jeu et aux sévices sexuels, assurée d'une complète impunité.
Dans ce monde où l'argent est roi, vont se croiser un inspecteur véreux accro au jeu et un brillant avocat exerçant, au sein d'un grand cabinet, la fonction de "planificateur" qui consiste, moyennant une colossale somme d'argent, à éviter aux clients des clubs VIP les conséquences de leurs actes. A la fois thriller et roman social, Made in Gangnam est inspiré de faits réels. L'écrivain Ju Won-kyu, qui est aussi pasteur et travaille auprès d'adolescents vulnérables, a infiltré l'un de ces clubs huppés comme chauffeur-livreur et découvert l'horreur des traitements réservés aux jeunes call-girls qui y travaillent.
Son livre révèle, sous le vernis lisse du luxe, un monde d'une inhumanité et d'une violence inimaginables, corrompu par le pouvoir et l'argent".
Voilà le chien qui arrive en bondissant : il remue la queue, jappe, puis retourne jouer avec ses compagnons. Pourquoi dit-on de lui que c'est le meilleur ami de l'homme ? Qu'ont en commun le tout petit chihuahua et l'énorme Saint-Bernard ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cet ouvrage aux pages dépliantes spectaculaires !
Frère Jean se remémore l'année qui a bouleversé sa vie. Il avait vingt-huit ans et vivait dans une abbaye bénédictine en Corée du Sud, décidé à consacrer son existence à Dieu. Mais il va connaître l'amour pour une jeune femme, puis la perte de cet amour, la mort atroce de deux frères, et la révélation d'un dramatique secret de famille. Au coeur de ce roman brille d'un éclat douloureux un épisode de la guerre fratricide qui déchira le nord et le sud du pays. En décembre 1950, le commandant d'un navire américain sauve des milliers de réfugiés de la mort. L'échelle de corde qui leur permet de monter à bord est pour eux comme « une échelle montant au ciel depuis le fond des enfers ». Cette histoire vraie permettra à frère Jean de se réconcilier avec lui-même, les hommes, et le ciel.
Le roman de Gong Ji-young, c'est celui de sa douleur face à des faits qui se sont réellement déroulés en 2005 dans une institution pour enfants handicapés d'une petite ville de province coréenne.
Un professeur nouvellement nommé dans l'école Ja-ae découvre rapidement les sévices et abus sexuels commis sur les enfants par des responsables, avec la complicité de membres de la police et des autorités locales. Ces enfants sont d'autant plus réduits au silence qu'ils sont atteints de surdité.
Ce roman poignant a provoqué un séisme dans la société coréenne et un changement législatif : la loi Dogani, votée en octobre 2011, supprime le délai de prescription pour des agressions commis sur les enfants en dessous de treize ans et les femmes handicapées, et augmente les peines de prison.
Assis contre le tronc d'un arbre, le panda grignote quelques feuilles de bambou, bâille puis se prépare à dormir. Pourquoi passe-t-il autant de temps à manger ? Et comment fait ce gros animal pour grimper aux arbres aussi facilement ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cet ouvrage aux pages dépliantes spectaculaires !
Cette histoire d'amour entre deux passionnés de football débute de manière assez classique, mais rapidement Ina explique à Doek-hun qu'il est hors de question qu'elle cesse ses escapades avec d'autres hommes, car pour elle, l'amour ne se résume pas à une relation exclusive entre deux individus. Puisqu'il y tient absolument, elle veut bien qu'il lui passe la bague au doigt, mais à condition qu'il la laisse vivre sa vie comme elle l'entend.
T out pourrait donc se passer pour le mieux dans le meilleur des mondes maintenant que chacun pense avoir obtenu ce qu'il voulait, si Ina n'avait pas rencontré un autre homme, qu'elle veut absolument épouser, sans pour autant quitter Doek-hun, puisqu'elle est amoureuse des deux. C'est là que commence vraiment le calvaire du jeune homme.
La Fuite, La Ville des spectres, L'Orme trésor, Si près si loin, Pandemonium, La Scène, Champignon rouge. Sept récits tous réunis sous une seule et même idée : la critique du règne de Kim Il-sung. Comme son titre l'indique : sept récits pour dénoncer, avec une écriture non dénuée d'ironie et de satire acerbe, la société du Nord où règnent le totalitarisme, un système de castes et des absurdités sociales engendrées par la dictature e la corruption. Ces histoires émouvantes et douloureuses se déroulent dans les années qui précèdent et suivent la mort de Kil Il-sung, en juillet 1994. Ce sont les histoires de gens ordinaires. On suppose que Bandi continue d'écrire en brandissant haut sa plume, dans l'espoir que prenne fin le règime, attendant impatiemment la réunification des deux Corées.
Après Le portrait de la Traviata, Gojin l'avocat de l'ombre est enfin de retour!
"Je suis désolée. Ne me cherche pas. Dami." Kil Yeong-in ne se remet pas du départ soudain de sa femme, l'an passé. Depuis, sa vie lui semble vide, insensée. Il a songé au suicide sans pouvoir s'y résoudre. Jusqu'au jour il tombe sur une petite annonce internet. Un médecin propose un "suicide mental" pour les gens comme lui, pour ceux qui veulent en finir avec leurs peines mais continuer à vivre. Pourquoi pas, au point où il en est ? C'est ainsi qu'il se rend dans l'étrange cabinet du Dr Yi Tak-o. Parallèlement, Gojin, le fameux " avocat fantôme ", enquête sur un meurtre commis presque sous ses yeux dans un motel. Un meurtre qui semble lié à un certain Dr Yi Tak-o... Après Le Portrait de la Traviata, une nouvelle enquête de l'avocat Gojin, tortueuse et machiavélique à souhait !
Corée du Sud, mai 1980. En pleine période d'instabilité politique, des manifestations d'étudiants et de syndicats réclament la fin de la corruption et la révélation des malversations de l'état. Le gouvernement militaire sud-coréen leur oppose une répression violente. A Gwangju, 6e plus grande ville de Corée du Sud, l'armée avec le soutien de la loi martiale perpètre un véritable massacre : 163 morts, 166 disparus et plus de 3 000 blessés.
17 ans plus tard, révolté quand il se rend compte de la gravité de ces faits et de l'impunité de leurs responsables, Yongmin, jeune dessinateur et étudiant à l'université de Hongik, délaisse ses études pour rejoindre les mouvements étudiants de protestation, réclamant justice. Lors d'une manifestation, il est arrêté par la police et incarcéré. Il rejoint alors une cellule où il va devoir se familiariser avec les gangsters, meurtriers et autres détenus de droit commun !! L'auteur nous offre une plongée dans l'histoire contemporaine de la Corée du Sud.
Mais c'est surtout une saine piqûre de rappel : la liberté d'expression est un droit chèrement acquis et qui n'est jamais irrévocable !
Un ex-tueur en série décide de reprendre du service. Seul problème : il a soixante-douze ans et vient d'apprendre qu'il est atteint de la maladie d'Alzheimer.
Sous ses dehors de vieillard inoffensif s'adonnant à ses heures perdues à la poésie et la philosophie, se cache un redoutable meurtrier qui a assassiné sans remords des dizaines de personnes. Aujourd'hui il repart en chasse alors que rôde autour de sa maison un homme qui menace de s'en prendre à sa fille adoptive bienaimée.
S'engage alors une course contre la montre : tuer avant d'oublier qui il est, avant que la maladie n'ait raison de lui, qu'il ne devienne prisonnier d'un temps sans passé ni futur.
Un étrange roman d' humour noir dont n'est autre que la mémoire qui se dérobe et brouille les pistes. Et un suspense au dénouement stupéfiant, car derrière une histoire peut s'en cacher une autre dont le lecteur découvre qu'il n'a jamais eu les clés, précisément parce que le narrateur les avait oubliées.
Ce matin-là, Musun - la narratrice - a été réveillée par le réfrigérateur. Parce qu'il n'y avait pas d'autres bruits dans la maison. À 11 heures ? Étrange. Elle s'est levée et atrouvé ce petit mot dans la cuisine, avec quelques billets : « Ma chérie, nous te laissons dormir. Occupe-toi bien de Mémé. On revient dans un mois. Ton Papa qui t'aime. » Toute la famille était rentrée à Séoul en l'abandonnant avec Mémé ! L'horreur ! Dans ce trou perdu où les smartphones ignoraient internet ! Avec cette grand-mère qui sarclait son champ dès cinq heures du matin... Un cauchemar...
La cohabitation avec Mémé débute mal. Jusqu'au troisième jour, quand Musun retrouve un dessin qu'elle a fait 15 ans plus tôt, quand elle avait cinq ans : une carte au trésor ! Et quand elle montre le dessin à Mémé, la vieille marmonne... « Ah... ça... Tu te souviens pas ?... C'était l'été... le jour où les quatre jeunes femmes ont disparu... » C'est alors que l'enquête commence vraiment, avec dès le lendemain le renfort de l'héritier des Yu, quatorze ans, dont la fabuleuse beauté a immédiatement inspiré à Musun son surnom : Apollon.