Londres, 1748. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, est contrainte de confier son bébé Clara à l'orphelinat de l'Hôpital de Foundling. Six ans plus tard, elle est prête à accueillir son enfant qu'elle n'a jamais oubliée. Mais quand elle se présente à l'orphelinat, on l'informe que sa fille a été récupérée par une femme se faisant passer pour Bess.
À moins d'un kilomètre de l'institution, une jeune veuve vit recluse depuis dix ans dans une sublime demeure. Quand un ami la persuade d'engager une nourrice pour sa fille, elle est d'abord réticente à l'idée d'héberger une étrangère. Mais alors que son passé menace de faire voler en éclats le monde qu'elle s'est minutieusement construit, elle se laisse apprivoiser par cette nourrice si prévenante à l'égard de sa fille...
Rien n'est plus dangereux qu'une mère en colère.
En tant qu'ex-flic, John Rebus est un habitué des tribunaux. Mais pour la première fois, sa place est sur le banc des accusés. Aurait-il commis l'incartade de trop ? C'est ce qu'a laissé entendre Francis Haggard, un policier accusé de violences conjugales qui s'est choisi une défense un peu particulière... il justifie ses actes par la brutalité de son métier, et, pour prouver ses dires, il est prêt à faire tomber avec lui la moitié des forces de l'ordre d'Édimbourg. Une affaire aux répercussions évidentes, que les hautes instances de la police écossaise souhaitent étouffer au plus vite. Et c'est de l'inspectrice Siobhan Clarke, chargée de diriger l'enquête, que tout semble dépendre. Sa loyauté ira-t-elle à ses collègues, ou aux civils ?
Véritable acmé de la série, Un cimetière dans le coeur plonge dans les rouages du système policier pour en révéler les plus noirs secrets. Un roman diablement contemporain.
« Ce roman sombre à l'intrigue dense située dans une ville d'Edimbourg post-crise sanitaire, vingt et unième de la saga John Rebus, met en lumière la corruption policière, entre pots-de-vin, omerta et fraternité mal placée. » Télé 2 semaines « En vieux routier du polar, Ian Rankin interprète avec intelligence une partition très noire dans laquelle un Rebus fatigué mais résilient incarne avec finesse la plupart des maux de la capitale écossaise. » Les Echos « John Rebus restet oujours le maître du jeu et d'une intrigue comme d'habitude aussi complexe que sophistiquée.
Ce 24e épisode de ses aventures (à ranger avec les meilleurs) a tout pour plaire aux fans de la star incontestée du polar écossais et de son célébrissime héros, au moins jusqu'à l'épilogue, déroutant à souhait. » Le Figaro Magazine Traduit de l'anglais (Écosse) par Fabienne Gondrand
Cinq heures du matin. John Rebus, pourtant à la retraite, est tiré du lit par la sonnerie stridente du téléphone. À l'autre bout, sa fille, paniquée, lui apprend que son compagnon Keith a disparu. De son côté, la police écossaise découvre le corps d'un riche étudiant saoudien, Salman bin Mahmoud, assassiné sur un vulgaire parking d'Édimbourg. Et les pistes, aussi ténues que variées, ne semblent mener nulle part.
Tandis que Siobhan Clarke et l'inspecteur Malcom Fox tentent de démêler cette enquête, John Rebus roule vers le petit village côtier plein de secrets où réside sa fille. Mais, pour la toute première fois, la vérité est peut-être ce qu'il désire le moins découvrir...
Un polar palpitant qui, sur toile de fond de Brexit, aborde la violence de la xénophobie et explore la puissance et la fragilité des liens familiaux. Un livre qui se dévore, pimenté à souhait par l'humour de cet enquêteur atypique.
Lancashire, Pendle, 1612.
À 17 ans, Fleetwood Shuttleworth est enceinte pour la quatrième fois. Mais après trois fausses couches, la maîtresse du domaine de Gawthorpe Hall n'a toujours pas donné d'héritier à son mari. Lorsqu'elle croise le chemin d'Alice Gray, une jeune sage-femme qui connaît parfaitement les plantes médicinales, Fleetwood voit en elle son dernier espoir.
Mais quand s'ouvre un immense procès pour sorcellerie à Pendle, tous les regards se tournent vers Alice, accusée comme tant d'autres femmes érudites, solitaires ou gênantes.
Alors que le ventre de Fleetwood continue de s'arrondir, la jeune fille n'a plus qu'une obsession pour sauver sa vie et celle de son bébé : innocenter Alice. Le temps presse et trois vies sont en jeu.
Être une femme est le plus grand risque qui soit.
Qui n'a jamais surpris le nom de Miss Marple au détour d'un repas de famille, d'une salle de classe, d'un rayonnage de bibliothèque ou des pages d'un programme télévisé ? Indépendante, futée, malicieuse, cette femme de fiction, mais surtout de légende, a su séduire des générations de lecteurs.
Aujourd'hui, près d'un siècle après sa première apparition, douze autrices talentueuses s'emparent de cette enquêtrice résolument moderne pour nous offrir autant d'aventures inédites.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Fabienne Gondrand
Londres, 1953. Depuis la fin de la guerre et l'écrasante victoire allemande, le Royaume-Uni est un Protectorat administré par l'Allemagne nazie. Les femmes y sont dorénavant réparties en classes qui régulent strictement leurs droits. Heureusement pour elle, Rose Ransom fait partie de l'élite. Et, privilège s'il en est, on la charge de réécrire la littérature. Jane Austen, Charlotte Brontë ou les frères Grimm n'ont pas de secrets pour elle et, bientôt, leurs héroïnes deviendront pour les lectrices de parfaits modèles aryens.
Seulement, alors que l'arrivée à Londres du Leader est imminente, des phrases censurées réapparaissent sur les murs de la ville. Et c'est Rose que l'on envoie enquêter en plein coeur des Widowlands, ces banlieues délabrées où l'on confine les femmes insoumises ou rebuts de la société. Pourtant, Rose s'interroge : à quel point ces femmes sont-elles différentes d'elle ?
Roman diablement intelligent, enquête sous haute tension, Widowland est aussi une mise-en-garde contre les dérives des sociétés modernes et un formidable plaidoyer pour la littérature.
Californie du Sud, 1973. Après avoir joué au soldat au Vietnam, Eddie Wakabayashi est de retour à Orange County, où il n'a plus pour lui que son swing légendaire et sa langue bien pendue. Alors qu'il cherche à travailler dans la police, il se heurte au racisme ordinaire à cause de ses origines japonaises - le seul job qu'il obtient, c'est flic dans un immense parc à thème.
Dans ce décor de carton-pâte, il fait ses rondes entre les diverses attactions, chargé de décourager les potentiels vols à l'arraché et de traquer les hippies sous drogue. Mais le moment qu'il préfère de sa journée, c'est quand il s'éclipse pour jouer au golf, ou le soir au bar, quand il peut flirter avec Cendrillon et la Belle au bois dormant en sirotant des pina coladas.
Malheureusement pour Eddie, toutes les bonnes choses ont une fin, et son existence bascule lorsqu'il tombe sur un cadavre au pied des montagnes russes. Car personne n'est censé mourir dans L'Endroit le plus merveilleux au monde. Et si c'est le cas, personne n'est censé en parler, sous peine de risquer le même sort...
Un roman noir à l'humour décapant, qui dresse le portrait d'une Amérique aux prises avec ses paradoxes et engluée dans son racisme.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Fabienne Gondrand
Convoqués par une étrange missive, Hercule Poirot et l'inspecteur Catchpool se rendent de toute urgence à Kingfisher Hill, imposante demeure familiale devenue scène de crime. La lettre leur demande instamment de résoudre le meurtre du fils aîné des Devonport, Laurence, à condition de le faire à l'insu de tous les résidents. Une double requête d'autant plus étonnante que la coupable est déjà toute trouvée : Helen, la fiancée de Laurence, a immédiatement plaidé coupable. Mais son témoignage manque de crédibilité et Frank, l'expéditeur de la lettre et le fils cadet des Devonport, est convaincu de son innocence. Hercule Poirot saura-t-il démêler le vrai du faux avant que ne sonne pour Helen l'heure fatidique de son exécution ?
Traduit de l'anglais par Fabienne Gondrand « Une nouvelle enquête met en scène le célèbre détective belge Hercule Poirot. Un hommage à la reine incontestée du crime, Agatha Christie ! » France Dimanche « Un parfait cosy crime british à dévorer près de la cheminée. » Télé 7 jours « Sa manière de revisiter ce mythe de la littérature policière est à la fois gourmand et stylisé, chevillé autour d'intrigues intelligentes, qui renouent avec la saveur de celles de la grande dame du crime avec un soupçon de perversité psychologique en plus. » France Inter
Ne rien faire... Et s'il s'agissait là du seul véritable acte révolutionnaire contemporain, celui qui nous soustrait enfin à la tyrannie du temps libre passé sur écran. Dans un monde accro à des technologies conçues pour monnayer notre attention, où nous sommes sans cesse évalués à l'aune d'une productivité numérique dévorante, quel sens donner au temps libre ? Car ces moments accordés à nos vies digitales sont-il autre chose qu'un temps libre de consommer ? Ou de devenir nous-même un produit pour ceux qui monétisent notre temps de cerveau disponible ? Ce sont les questions que pose Jenny Odell dans cet essai lumineux qui interroge notre rapport à l'attention, notre place dans le monde et notre lien à la nature. Loin des recettes de détox numérique, ce texte invite le lecteur à un cheminement philosophique, poétique et érudit, entre essai et manifeste de résistance.
Les thèses de Jenny Odell, à l'origine d'un phénomène viral outre-atlantique, sont rassemblées dans ce livre devenu un best-seller américain et considéré par Barack Obama comme une lecture indispensable.
« Habituellement, je ressentais la présence d'un cadavre comme une absence, mais dans ce cas précis, j'avais l'impression qu'un trou noir s'ouvrait devant moi. » Tournant le dos à sa vie d'avant, indifférent à son avenir, l'inspecteur Aidan Waits s'est résigné à intégrer la patrouille de nuit - cycle sans fin d'appels insignifiants et de solitudes insolubles. Jusqu'à ce que lui et son coéquipier, l'inspecteur principal Peter Sutcliffe, soient dépêchés au Palace, un immense hôtel désaffecté au coeur d'une ville en ébullition. Sur les lieux, dans la chambre 413, ils découvrent un homme. Il est mort. Et il sourit. On a retiré toutes les étiquettes de ses vêtements. On a limé et remplacé ses dents. Même ses empreintes digitales ne sont pas les siennes. Seule une pièce cousue à l'intérieur de son pantalon donne un indice sur son ultime acte désespéré...
Tandis qu'Aidan s'immerge dans le passé de l'inconnu, il se rend compte qu'un fantôme surgi du sien hante le moindre de ses faits et gestes. Mystérieux incendies, appels anonymes et menaces pures et simples : Aidan va devoir affronter ses démons avant de découvrir la véritable identité de l'homme de la chambre 413.
Retranché au fin fond des Adirondacks, Jeremy Logan espère travailler sur son projet de livre. Malheureusement, son isolement est interrompu par la découverte sinistre du corps d'un randonneur. Aucune bête sauvage n'aurait été capable d'un pareil carnage. Et les légendes du coin viennent compliquer son enquête...
Un matin ensoleillé de mai, trois petites filles sont sur le chemin de l'école. Une heure plus tard, l'une d'entre elles est morte.
Quinze ans passent. Kitty vit aujourd'hui recluse dans une maison de repos et en elle-même. Elle n'a en effet aucun souvenir de l'accident qui lui a fait perdre l'usage de la parole.
Alison, quant à elle, enseigne l'art et semble bien aller. Pourtant, les apparences sont trompeuses. Instable et fauchée, elle décide de postuler à un emploi d'enseignante dans une prison pour hommes. C'est l'occasion idéale de se remettre à flot et de réparer les pots cassés.
Mais quelqu'un, dans l'ombre, les observe. Quelqu'un qui cherche à se venger de l'accident survenu ce fameux matin de mai et qui n'arrêtera devant rien pour faire éclater la vérité.
Passant insolite, illusion visuelle, pointe d'humour, moment de grâce, instant dérobé... La rue a inspiré des clichés parmi les plus émouvants, percutants ou silencieux. Les plus grands s'y sont fait un nom, de Henri Cartier-Bresson à Martin Parr. Photographes anonymes ou célèbres présentent aujourd'hui leurs créations singulières au sein de collectifs dynamiques à travers le monde.
Dans cet ouvrage, David Gibson vous explique comment pratiquer la street photography, ce « sport optimiste » : quelle attitude adopter dans l'espace public, où trouver l'inspiration, comment cadrer une scène ou réaliser une série, etc. Il s'appuie sur les portraits de 20 artistes reconnus dont il présente le parcours, les influences et les travaux. 20 projets à réaliser vous-même, accompagnés de conseils et faisant parfois écho à des photographies mythiques, ponctuent cet ouvrage riche d'enseignements et d'idées.
Les 20 photographes invités : Blake Andrews. Narelle Autio. Melissa Breyer. Elliott Erwitt. David Gaberle. Bruce Gilden. Michelle Groskopf. Troy Holden. Nils Jorgensen. Jesse Marlow. Johanna Neurath. Shin Noguchi. Trent Parke. Gueorgui Pinkhassov. Maria Plotnikova. Marc Riboud. Merel Schoneveld. Jack Simon. Matt Stuart. Craig Whitehead
Quand ses parents envoient sa soeur à l'asile, Charlotte Smith décide de tout risquer pour la ramener à la maison. La jeune femme privilégiée de San Francisco abandonne sa véritable identité pour se faire interner à son tour. Elle devient la patiente numéro 99.Mais plus elle passe de temps à Goldengrove, mieux elle comprend que beaucoup de femmes qui y sont enfermées n'ont rien à y faire. Leur seule erreur a été de déranger. Dans une société patriarcale où certains sont prêts à tout pour enterrer leurs plus sombres secrets, la recherche de Charlotte pour sa soeur va la mener plus loin qu'elle ne l'aurait imaginé et menacer bien plus que l'équilibre familial.
« Quand vous rentrerez, je veux que vous racontiez ce que vous avez vu. S'il vous plaît, soyez notre voix. » Jeanne, survivante de viol, République démocratique du Congo Autour du monde, le corps des femmes est un champ de bataille.
Le viol, une arme de guerre stratégique utilisée à des fins de destruction des populations.
C'est le constat sans appel établi par cette enquête, d'une ampleur inégalée, sur la violence sexuelle dans les conflits. Reporter de guerre depuis plus de trente ans, Christina Lamb a recueilli les témoignages des femmes au coeur des conflits, des esclaves yézidies aux victimes des camps de viol en Bosnie-Herzégovine en passant par les rescapées du génocide rwandais ou les « femmes de réconfort » japonaises.
Si la qualification du viol en tant que crime de guerre date de 1919, une seule condamnation a été prononcée depuis. Les victimes, elles, se comptent par millions.
La violence sexuelle n'est ni inévitable ni acceptable. Cet ouvrage, qui rend enfin audibles des survivantes presque systématiquement réduites à la honte et au silence, est un cri d'alarme lancé à l'humanité.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Fabienne Gondrand Christina Lamb est correspondante en chef pour l'hebdomadaire britannique The Sunday Times et grand reporter depuis plus de trente ans. Parmi de nombreuses récompenses, elle a notamment été lauréate du prix Bayeux des correspondants de guerre. Elle est l'autrice de plusieurs livres dont Moi, Malala (Calmann-Lévy, 2013), et Nujeen, l'incroyable périple (HarperCollins, 2016).
Dans un monde où règne l'anarchie, la loyauté envers son camp est devenue primordiale à la survie, laissant peu de place aux sentiments. Difficile dans ces conditions pour Hayden et Grace de gérer leur relation naissante. Car en préférant rester à Blackwing auprès de Hayden plutôt que retourner chez elle, Grace a tiré un trait sur les siens. Si le choix a été difficile, elle sait qu'elle doit désormais l'assumer.
Quant à Hayden, il se trouve tiraillé entre ses responsabilités et ses attaches personnelles. En tant que jeune chef du clan Blackwing, il lui incombe de répondre aux demandes de la communauté. Saura-t-il protéger les siens de leurs violents rivaux ? Peuvent-ils encore s'en remettre à lui pour prendre les bonnes décisions ?
« Au cours de la matinée, je ne trouve plus mon stylo. Je le cherche partout sur mon bureau. Quand je demande à ma collègue si elle le voit, elle rit d'un air entendu en disant que j'ai le syndrome du neurone unique. J'entends souvent cette expression aux réunions du groupe pour les parents de nouveau-nés. Elle renvoie à la théorie, dénuée de tout fondement scientifique, selon laquelle le cerveau de la femme se remplit de ouate après l'arrivée de l'enfant. Seules les femmes ont l'air d'user de cette expression. Les hommes du groupe, non. Je n'ai jamais entendu parler du syndrome du neurone unique des papas. Les hommes ne disent pas cela. Parce qu'ils n'en souffrent pas : ils appellent ça être «défoncés de fatigue», reflet plus fidèle de la réalité. Bien joué, les papas.
Pour les mamans, j'ajouterais volontiers quelques mots, pour dire qu'elles sont «défoncées de fatigue alors qu'elles gèrent les effets psychologiques et physiques d'une transformation interne et externe totale de leur corps». »
Tueur professionnel traversant les États-Unis au rythme des missions qui lui sont attribuées, Edison North ne laisse que décombres et corps calcinés sur son passage. Lorsqu'il s'arrête acheter un burger au restaurant du coin, il n'a pas prévu de carnage. La seule raison qui le pousse à commettre un nouveau massacre, c'est la solitude. Ce sentiment qui l'habite et qu'il reconnaît dans le regard d'une petite fille, derrière lui dans la queue. Banale au milieu de la foule, il sait qu'elle mérite mieux. Il la kidnappe alors et disparaît sans laisser de traces.
Loin de devenir pour lui un jouet ou une prisonnière, Christian sera sa protégée. Les années d'apprentissage qui s'ensuivent, les épreuves qu'ils vont rencontrer vont même les rapprocher. Mais dans un commerce comme le leur, quand les sentiments entrent en jeu, les rôles peuvent vite s'inverser et les prédateurs devenir des proies.
Décidée à se libérer de son douloureux passé et de vivre enfin sa vie, Della entreprend un road-trip en solitaire. De passage en Floride, elle croise sur sa route le beau Woods. S'ensuit une nuit passionnée, une nuit qu'ils avaient prévue sans lendemain.
Mais un coup du destin les réunit de nouveau quelques mois plus tard. Sauf que Woods doit se marier avec une riche héritière et que Della est encore trop fragile pour s'engager dans une relation. Pourtant, face à l'ampleur de leurs sentiments, il leur est difficile de garder leurs distances.
L'nigmologue Jeremy Logan est mondialement connu pour sa capacit rsoudre l'insoluble, expliquer l'inexplicable. Appel par l'institut de recherche Lux, situ dans un vieux manoir de Rhode Island, il doit enquter sur la mort de Willard Strachey. Quelques jours avant son dcs, cet minent informaticien s'est comport de manire incohrente, avant d'agresser son assistante et de se suicider de faon spectaculaire.Logan tente de retracer les derniers jours du savant, mais son enqute prend une tournure imprvue lorsqu'il dcouvre une pice aveugle dissimule dans une aile abandonne du btiment, que Strachey avait t charg de rnover. A peine y pntre-t-il, qu'il est en proie d'tranges phnomnes.
Théodore Mead Fegley, petit génie de dix-huit ans, est à deux doigts de révolutionner le monde des mathématiques.
Étudiant à l'université de Chicago, il est en passe de prouver la fameuse hypothèse de Riemann, celle-là même qui laisse les chercheurs et universitaires du monde entier incrédules depuis plus d'un siècle. Mais voici qu'à l'aube de sa consécration, le jeune Mead prend la fuite et se réfugie chez ses parents dans l'Illinois rural. Là, il est confronté aux remontrances de sa mère, à l'incompréhension de son père, à l'animosité de son oncle et aux comportements hébétés de sa tante.
Il tente tant bien que mal de renouer avec les siens et d'apprendre de son père et de son oncle le commerce des meubles et des pompes funèbres qui fait vivre sa famille de génération en génération. Rattrapé par les fantômes de son passé et traqué par Herman Weinstein, un camarade de promotion obsédé par la réussite, Mead entre dans la vie adulte au gré d'un parcours initiatique façonné par l'amour, la mort, le courage et la marque du génie. Traduit de l'anglais (États-Unis) par Fabienne Gondrand
A 16 ans, elle a fui la Syrie ravagée par la guerre en fauteuil roulant.
Le témoignage exceptionnel et poignant d'une jeune fille qui a choisi la voie de l'espoir.
En 2015, Fergal Keane, journaliste à la BBC, repère dans la foule des migrants une adolescente en fauteuil roulant. Emu et admiratif devant tant de cran, il recueille son témoignage. Aussitôt, les medias et les réseaux sociaux s'enflamment...
Avec la collaboration de Christian Lamb, Nujeen raconte comment elle a trouvé le courage de s'engager dans ce dangereux périple de 6 000 kilomètres, depuis la Syrie jusqu'à l'Allemagne en passant par la Grèce et la Hongrie...
Un récit porté par l'incroyable détermination de Nujeen et le principe auquel elle n'a pas dérogé : ne jamais être une victime.
Après avoir perdu l'amour de sa vie, River Kipling, alias Captain, a sombré dans le crime organisé. Mais le moment est venu pour lui de tirer un trait sur cette sordide existence. La seule chose qui le retient encore à Rosemary Beach est le nouveau restaurant qu'il s'est engagé à lancer. Même si, alors que l'ouverture est imminente, son aventure avec la cheffe de salle, la sulfureuse Elle, lui complique plus l'existence qu'autre chose.
Jusqu'à ce qu'il remarque Rose Henderson, la nouvelle serveuse. Tout ce qu'il sait de cette jolie rouquine à lunettes est qu'elle est une jeune mère célibataire, sérieuse et appliquée à la tâche. Pourtant, dans son rire, dans sa façon de regarder Captain, il y a quelque chose d'étrange, de trop familier... Qui est-elle vraiment ? Le passé de Captain risquerait bien de le rattraper...
Durant l'époque victorienne, Ruby, nourrice fraîchement diplômée, est engagée pour s'occuper des enfants de Charles et Lilian England, un couple issu d'une puissante dynastie d'industriels.Si elle espérait beaucoup de ce nouveau départ, elle déchante rapidement une fois installée dans leur maison du West Yorkshire, isolée de tout. Monsieur est aussi chaleureux et accueillant que Madame est distante, voire mystérieuse.À l'écart des autres domestiques et pressentant une menace diffuse, Ruby comprend peu à peu que si toutes les familles ont des secrets à protéger, certains peuvent s'avérer plus dangereux que d'autres...