Un album écrit en bilingue, arabe et français. Un livre sur la tolérance et l'amitié. Il s'agit de la reine des fleurs qui s'ennuie en étant seule dans un pôt sur un balcon. Plusieurs insectes et oiseaux lui offrent leur amitié, mais elle les refuse sous prétexte qu'ils vont diminuer sa beauté ou lui faire de l'ombre.
Mais le vent se lève en transportant plusieurs graines qui donneront différentes autres plantes qui pousseront dans son pôt.
Elle finira par se rendre compte qu'en plus du fait qu'elles lui tiennent compagnie, elles ont également embelli le pôt de fleurs.
Ce livre relate plusieurs fêtes traditionnelles ou religieuses célebrées avant et après la naissance de l'enfant. Ainsi sont fêtés le septième mois de la grossesse, le sevrage, le baptème, la cironcision pour les garçons, le premier jour du jeûn, l'Achoura plutôt pour les filles, le percement des oreilles, les premières règles, l'Aïd el-Kébir.
La lecture de ce livre permet aux enfants de découvrir les traditions et les rituels d'une autre culture.
Un jour, Ali, père de trois garçons décide de partir à La Mecque à pied. Chacun de ses trois fils voulait l'accompagner. Il accepta à condition qu'ils fassent le voyage à pied. En chemin, les garçons commencent à sentir la fatigue. Il se voit obligé de les abandonner chacun à son tour en leur promettant de les récupérer à son retour. Mais ce qu'il ignorait, c'est qu'ils étaient sur des terres qui appartiennent à des ogresses.
Alors qu'un petit garçon refuse d'aller à l'école car il s'ennuie en classe, son grand-père lui fait découvrir tout ce qu'il peut y apprendre. Un conte sur l'éloge de l'apprentissage et du savoir.
Malgré sa modernité apparente, la ville de Casablanca regorge de légendes. Cinq d'entre elles sont racontées dans ce livre. Sidi Bou Smara, l'homme qui parvint à faire revenir l'eau dans la cité en trompant Satan. Sidi Belyout, l'homme qui avait le don de parler aux animaux. Sidi Allal El Kairouani, qui donna son nom à la ville. Sidi Abderrahmane, le premier habitant de la petite île, dont le savoir était si immense qu'on lui attribuait de nombreux pouvoirs. Lalla Taja, sa beauté et sa générosité l'ont conduite à une mort tragique. A chacun de ces personnages, une légende et un monument lui sont consacrés dans cette ville attachante.
Soulaïmane vit seul avec Chahiba, sa mère, dans un village où elle est considérée comme une sorcière. « L'enfant de la sorcière porte malheur », disent les villageois à leur progéniture. El Hadj Moussa est son seul ami. Quand le jeune Soulaïmane demandait au vieillard pourquoi les villageois traitent Chahiba de sorcière et interdisent aux enfants de jouer avec lui, El Hadj Moussa faisait la sourde oreille. Mais Soulaïmane restait persuadé que sa mère cachait un secret.
Dans toutes les sociétés, berceuses et comptines sont au coeur des pre- mières rencontres et des premiers jeux avec les mots et la musique. Ce recueil, qui est une première du genre au Maroc, réunit 24 comptines et berceuses, tirées du patrimoine oral marocain, qui nous invitent à une promenade musicale et poétique au pays de l'enfance. Elles sont dans cet Arabe dit 'dialectal' que les enfants utilisaient pour la plupart. Les textes sont accompagnés d'une transcription en caractères latins par souci d'en permettre l'accès au plus grand nombre. La calligraphie, en guise d'illustrations, donne à l'ensemble une beauté et une touche artis- tique traditionnelle toute particulière.
« Jadis, il y a bien longtemps, moi, Sidi Farid, j'étais alors gardien des portes de la cité du calife de Kelaat M'Gouna. » C'est ainsi que le vieux conteur s'adresse à la foule. L'histoire qu'il raconte, il l'a vécue. Celle de Shéhérazade, une petite fille belle comme le jour, mais venant d'une famille très pauvre, elle fut donnée au calife de Kelaat M'Gouna en échange de quelques sous. Dès lors, elle passa ses journées dans les jardins de Tikida à s'occuper des roses qui avaient, depuis fort longtemps, cessé de fleurir et d'embaumer le palais. La roseraie reprit vie mais le destin de Shéhérazade bascula...
A l'approche de Noël, mon père entra à la maison avec un végétal mal défini qu'il dressa dans un seau rempli de terre.
- C'est quoi cette espèce de branche de marronnier-là ? demanda notre voisin.
On lui explique que ce n'est pas une branche d'eucalyptus, que chut !
Il ne faut rien dire aux enfants qui croient que c'est une branche de sapin. Après tout nous n'avons jamais vu de sapin, n'importe quel arbre fait l'affaire. L'important, c'est Noël.