Depuis un siècle, Le Livre du thé qui offre une introduction des plus subtiles à la vie et à la pensée asiatiques s'adresse à toutes les générations. Et ce grand classique, qui a permis naguère de jeter un pont entre l'Orient et l'Occident, n'a rien perdu de sa force et peut encore éclairer notre modernité.
Le trait de génie d'Okakura fut de choisir le thé comme symbole de la vie et de la culture en Asie : le thé comme art de vivre, art de penser, art d'être au monde. Il nous parle d'harmonie, de respect, de pureté, de sérénité. Et de sagesse. Que nous contemplions l'évolution de la voie du thé à travers l'histoire, ou que nous nous projetions dans ce nouveau siècle, il convient encore et toujours de nous tourner vers Le Livre du thé.
La méditation est un sujet à la mode et les titres ne manquent pas. Mais Jung Mok vous dira que la méditation ne sert ni à atteindre l'éveil, ni à accomplir quoi que ce soit mais plutôt à s'asseoir devant une fenêtre ensoleillée.
Elle prodigue ses conseils comme le ferait une vieille amie ; et propose à chacun des lecteurs des techniques qui leur correspondent : méditer en comptant, en marchant pieds nus, en regardant les fleurs ou en se massant le dos.
Le découpage en chapitres thématiques répond à des situations de mal-être bien précises : la colère, l'angoisse, la dépression, ou encore le pardon, avec leurs exercices associés, et même quelques mesures d'urgence.
Paraboles, courtes histoires, et formules bienveillantes ponctuent le texte : "Chacun de nous est un être précieux".
"Ranger, c'est faire briller son coeur". Mais par où commencer ? En toute simplicité. On découvrira que le ménage est une des pratiques les plus fondamentales du zen et que le rangement peut se révéler un véritable exercice de pleine conscience. Pas question de performance ou de recette miracle. Le moine Masuno invite plutôt le lecteur à une réflexion durable sur le bonheur : découvrir le plaisir de "se faire soi-même bon accueil" , goûter les petites joies du quotidien, être attentif au passage des saisons, ou encore apprendre à se débarrasser des choses inutiles pour une qualité de présence au monde et à soi renouvelée.
Une belle initiation au zen pour prendre soin de son intérieur, et avant tout, prendre soin de soi.
Un esprit sain dans un corps zen !
Le moine zen Seigaku nous initie aux préceptes de l'alimentation zen, tels qu'ils sont perpétués depuis plus de sept cents ans au temple Eihei au Japon. Ce sont des règles simples et très concrètes, qui ont le pouvoir de purifier notre système interne et de nous réconcilier avec le monde qui nous entoure.
Manger dans le respect de l'autre et des aliments. Cuisiner avec un esprit joyeux et bienveillant. Prendre soin de ses ustensiles comme de soi-même. Faire le service, ranger, nettoyer en prêtant attention à chacun de ses gestes. De l'usage du bol à la cuisson du riz, on découvrira que manger sainement et en pleine conscience a une influence bénéfique sur toute notre existence.
Seigaku, de son vrai nom Seitaro Higuchi, est un jeune moine zen formé au temple Eihei dans la préfecture de Fukui.
Il voulait devenir acteur, a décroché un master en relations internationales, travaillé comme barman et cuisinier, avant d'obtenir une bourse d'études pour se former au bouddhisme zen.
Après la catastrophe de Fukushima, il décide de quitter le Japon pour Berlin où il vit aujourd'hui avec sa femme et son fils. Il anime des ateliers de cuisine zen et de méditation
L'ivresse comme porte ouverte sur un ailleurs, dans la grande tradition chinoise.
L'ailleurs de la création où le vin déborde la raison, le temps suspendu des fêtes et des réjouissances, mais aussi les règles et les protocoles qui tentent d'en réguler l'usage. Jacques Pimpaneau entrelace réflexions, histoires, anecdotes, légendes et poèmes pour nous livrer les vertus du vin et de cet art de vivre à la chinoise que, durant des siècles, les plus grands artistes ont pratiqué avec outrance ou raffinement.
Objet de fascination, le mah-jong occupe une place à part dans l'univers des jeux. Ecrit par des passionnés, cet ouvrage offre un panorama complet de toutes les facettes du mah-jong. Vous en apprendrez ainsi plus sur sa riche histoire et découvrirez de quelle manière le mah-jong a voyagé entre Orient et Occident.
Vous explorerez ensuite les différentes variantes de ce jeu et la manière dont celui-ci est fabriqué. Puis vous serez invités à un voyage littéraire, entre Agatha Christie et Fred Vargas...
Vous trouverez avec ce livre un jeu de mah-jong accompagné de règles complètes.
Entrer dans l'univers des mousses, c'est accéder à ces valeurs fondamentales de l'esthétique japonaise : sobriété, naturel, goût pour la patine et les marques du temps que l'on nomme sabi, simplicité élégante et teintée d'archaïsme, doublée d'un attrait pour la quiétude et le retrait du monde que l'on nomme wabi.
Merveille que cette rêverie sur la végétation moussue qui envahit les pierres, les routes, les racines.
(Télérama) Voyage minuscule au coeur de l'âme japonaise. empreint de sensibilité et d'élégance. (Marjorie Allessandrini, Biblios)
Petite histoire des habitudes alimentaires en Chine : légendes, recettes de banquet, usages, règles et protocole de l'art de la table. Avec un choix de recettes traditionnelles simples à réaliser.
Ce livre est le fruit d'une longue expérience humaine de plus de 2000 ans, évoquée par un groupe de douze jeunes moines japonais, consacrant leur énergie à pratiquer le zen dans la société actuelle.
Ils nous offrent des manières d'embellir notre vie, en apprenant à reconnaître au-delà de l'apparence la véritable beauté. De vivre harmonieusement des actes simples comme : Rencontrer, Saluer, Se reposer, Cuisiner, Respirer, Prendre le thé, S'asseoir et faire silence...
Ils nous proposent de placer l'être humain au centre, dans la quiétude, la douceur, l'ouverture de nous-mêmes à autrui et au monde.
Franchissant les hauts murs de la Cité Interdite, le lecteur pénètre dans le secret des offices où des cuisiniers venus des quatre coins de l'Empire élaborent les plats préférés de l'empereur Qianlong. Accompagnant eunuques et dames de cour, il parvient jusqu'à la table impériale, où une étiquette minutieuse régente chaque détail. Il pourra aussi, s'il le désire, expérimenter les recettes soigneusement choisies et conservées qui faisaient les délices de l'empereur et de sa cour.