Quelles sont les grandes figures de la mythologie populaire chinoise ? Comment s'ordonne son panthéon ? Au carrefour du taoïsme, du bouddhisme et du confucianisme, cette religion foisonnante de divinités s'anime d'histoires dont Jacques Pimpaneau explore et élucide les variations, de Zhong Kui le pourfendeur de démons à ces multiples dieux locaux, déesse des Latrines ou dieu du Sol, auxquels on rend un culte dans la vie quotidienne.
Voici un nouveau visage de la Chine à découvrir, celui de ses croyances : car si les dieux n'y sont pas éternels, ils restent bien vivants dans les cérémonies et les pratiques populaires de la Chine d'aujourd'hui.
Ce petit livre répond de façon claire, brève et précise à un grand nombre d'interrogations que nous nous posons. Le bouddhisme est-il une religion? Qui était le Bouddha ? Quel est le contenu de son enseignement? Il propose, en même temps que de faire comprendre le rayonnement de son message, d'accompagner la lecture par des extraits de textes, des illustrations, des citations. Un guide pratique et un glossaire indiquent enfin à ceux qui le désirent comment aller sur les traces du Bouddha.
Première parution de la version poche en février 1999.
Rhapsodie d'histoires rédigées en sanskrit au vie siècle, dont la féerie animalière s'émaille de sagesse pratique, le Pañcatantra est le plus ancien recueil de contes de l'Inde qui soit parvenu jusqu'à nous. A la demande d'un roi puissant désireux d'inculquer à ses trois fils quelques rudiments de discernement et de conduite, un saint brahmane releva le défi qu'on lui proposait : conduire en six mois les princes jusqu'aux rivages de l'entendement et du savoir. C'est ainsi qu'il entreprit de leur raconter des histoires. Les contes, qui forment cinq volets et se déroulent comme des guirlandes au dénouement toujours différé, parlent de stratégie politique, d'ambitions, de désirs, de guerre et de paix, de destin, d'alliances et d'amitié. Lions, éléphants, taureaux, corbeaux, hiboux, pigeons, rats, serpents, tortues et gazelles y mêlent leurs aventures à celles des rois, princes, ministres, moines, marchands, tisserands, barbiers, balayeurs et brigands. Et quelquefois les dieux. Apologues ? Fables ? Nouvelles ? Dans quel genre classer ces récits où l'astuce, l'humour, la duplicité, la cruauté rivalisent avec le dévouement, la fidélité, l'abnégation et le détachement ? Peut-être dans une tonalité typiquement indienne : la sérénité impitoyable. Le Pañcatantra a connu plus de deux cents versions différentes, traduites en une soixantaine de langues d'Europe et d'Asie.
Dieu existe-t-il en Chine ? Quels sont les grands traits de la religion des Chinois ? Peut-on parler de sagesse plutôt que de religion ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles l'auteur se propose de répondre avec simplicité dans ce livre à l'adresse de deux jeunes filles. On y parle aussi du paradis et de l'enfer, des rites comme des superstitions, du panthéon des dieux et du Tao. Laissons conclure un vieux taoïste dont les paroles auraient tout aussi bien pu être dites par un bouddhiste : Le seul enseignement que vous recevrez de moi n'enrichira pas vos connaissances, dont d'ailleurs tout dépend de l'usage que vous en ferez. Vous n'avez pas besoin d'un maître pour cela ; je vous aiderai seulement à tout regarder d'un autre oeil.
Le Yi Jing ou "Classique des Changements", en résumant soixante-quatre situations-types de la vie quotidienne sous forme de figures abstraites appelées hexagrammes, a pour ambition d'offrir un outil permettant de se repérer dans une réalité en perpétuel changement.
Cyrille Javary montre ici tous les rouages internes de ce livre fondateur de la civilisation chinoise, injustement relégué sous nos latitudes au rayon divinatoire des librairies et des bibliothèques. Rares sont ceux qui réalisent qu'ils ont entre les mains à la fois le socle de toute la pensée chinoise et l'une des plus fascinantes machines à connexions que l'esprit humain ait pu produire.
Le Yi Jing ou « Classique des changements », en résumant soixante-quatre situations-types de la vie quotidienne sous forme de figures abstraites appelées hexagrammes, a pour ambition d'offrir un outil permettant de se repérer dans une réalité en perpétuel changement. Cyrille Javary montre ici tous les rouages internes de ce livre fondateur de la civilisation chinoise, injustement relégué sous nos latitudes au rayon divinatoire des librairies et bibliothèques. Rares sont ceux qui réalisent qu'ils ont entre les mains à la fois le socle de toute la pensée chinoise et l'une des plus fascinantes machines à connexions que l'esprit humain ait pu produire.
Mythique Shangri-La, devenu paradis perdu pour les uns, terre de superstitions moyenâgeuses et de servitudes féodales transformée en paradis socialiste pour les autres, le Tibet nourrit en Occident un débat passionné, tandis que, sur place, la cohabitation entre Chinois et Tibétains, débouchent régulièrement sur des affrontements sanglants. Dans ces conditions, écrire sur le Tibet comporte une part de risques. Plutôt que de prendre parti, l'auteur a voulu prendre de la hauteur ; sans ignorer et encore moins nier les réalités, mais sans succomber pour autant aux emportements de la passion. Il s'est rendu plusieurs fois au Tibet et dans les « marches tibétaines », ainsi que dans les pays voisins appartenant à l'aire culturelle tibétaine.
Avec sa verve familière, lin yutang nous parle de confucius, et c'est comme s'il nous faisait pénétrer l'âme de la chine, car ce platon chinois né au vie siècle avant notre ère y exerce depuis 2500 ans une immense influence, qui perdure aujourd'hui encore.
Ce n'est pas la vérité qui grandit l'homme, c'est l'homme qui grandit la vérité, dit confucius. morale, religion, éthique, politique, sa philosophie embrasse tous les champs du possible, mais l'essence de sa pensée, pour lin yutang, c'est que " l'homme est la mesure de l'homme ". cultiver en nous ce qu'il y a de plus humain, non seulement nous oblige à découvrir notre véritable moi, mais nous conduit naturellement à la bonté et à la sagesse.
De confucius, lin yutang nous propose sa vision toute personnelle, comme un guide qui peut nous apprendre, dans tous les moments de la vie, à choisir le juste chemin.
Voici un célèbre recueil d'aphorismes et maximes de la littérature chinoise. Plus particulièrement pratiqués au XVIIe siècle, entre la dynastie des Ming et des Qing, ces « propos détachés » se nourrissent de trois courants spirituels (confucianisme, taoïsme et bouddhisme). Zhang Chao y adopte une attitude de retrait et de mépris de la réussite sociale. Esthète autant que moraliste, il exprime des réflexions sur l'art de se comporter en ce monde.
Ses propos brefs et lacunaires illustrent à merveille la tradition chinoise du vide suggestif. L'Ombre d'un rêve mérite sans aucun doute de sortir de l'oubli, lui qui nous enseigne comment vivre sereinement en ce monde.
Dans ce guide clair, rigoureux et détaillé, vous découvrirez ce que la destinée vous réserve selon la tradition extrême-orientale. Vous apprendrez lequel des douze signes animaux du zodiaque chinois est votre signe lunaire et vous verrez également comment il influence votre vie dans vos relations avec autrui.
Winnie the Pooh, c'est le célèbre Winnie l'Ourson, cet adorable petit ours qui vagabonde ici et là en posant des questions idiotes et traverse toutes sortes d'aventures sans jamais perdre ce bonheur naïf qui est le sien. C'est donc avec Winnie et ses amis de toujours que le lecteur trouvera son chemin à travers les principes du taoïsme.