Le meilleur moyen de se protéger est encore de cacher la vérité.
Dans un futur post-apocalyptique, le monde n'est que ruines et désolation. La civilisation n'est plus et l'humanité vit de pillages et de bidouille, s'organisant en villages de fortune ou en caravanes d'épaves vrombissantes où la brutalité fait société. Dans cet enfer, Solal, jeune et habile réparateur, fait ce qu'il peut pour protéger sa soeur Eva atteinte d'une grave maladie respiratoire. Mais alors que leur réserve de médicaments s'épuise, ils n'ont plus qu'un seul espoir : se rendre au « Mur », une gigantesque enceinte imprenable et gardée par de monstrueux robots. À l'abri y vivrait une communauté de gens puissants, protégée du reste du monde, avec toutes les ressources nécessaires à leur survie... Mais qui sait ce qui se cache véritablement à l'intérieur ?
Entre la radicalité de Mad Max et le nihilisme de The Walking Dead, Le Mur nous plonge dans un maelstrom de poussière, de rouille et de sang. Une prouesse graphique pour un road movie sauvage et post-apocalyptique qui, dans la plus pure tradition du genre, nous interroge sur le devenir de l'humanité et les conséquences de nos actes.
L'effondrement. A la naissance de Jen, ses jambes ne fonctionnent pas. Son père, grand penseur du projet Eden, parvient des années après le lancement de sa cité emmurée à trouver un moyen de sauver sa fille : un orbe à la technologie révolutionnaire qu'il faut placer au niveau du coeur. L'appareil a notamment la faculté d'aspirer de manière autonome les ressources nécessaires à la survie de son porteur.
Mais quand Jen et son frère Janus se le font implanter, l'outil est mal réglé. Si mal, qu'il pousse ses hôtes à se nourrir de la vie des êtres alentours. Une fois l'énergie de ces êtres consommée, ces derniers ne meurent pas tout à fait. L'orbe a fusionné en eux, ils en deviennent les esclaves insatiables et cherchent à leur tour une source d'énergie afin de contenter son appétit. C'est ainsi, en se démultipliant, que l'orbe a contaminé Eden, transformant ce lieu de privilèges en cimetière latent.
Mais les choses sont sur le point de changer. Le gardien des lieux, l'impitoyable drone Cerberus vient de passer en mode automatique. Tout objet mouvant est dorénavant une cible et seul le courage, l'inconscience et le sacrifice sauront annihiler cette machine à la force de frappe destructrice. Solal, Eva, Jen, Janus, le groupe B. A. S. T. A. R. D. S et Chandra, ils auront tous un rôle à jouer dans le baroud d'honneur de cet ancien paradis devenu enfer.
Dernier tome frénétique et étourdissant pour Le Mur qui, entre la radicalité de Mad Max et le nihilisme de The Walking Dead, parvient une nouvelle fois à nous plonger dans un maelstrom de poussière, de rouille et de sang. Une prouesse graphique pour un road movie sauvage et post-apocalyptique qui, dans la plus pure tradition du genre, nous interroge sur le devenir de l'humanité et les conséquences de nos actes.
Les fondements du Mur.
Solal a réussi à pénétrer dans l'enceinte du Mur et va enfin pouvoir trouver les médicaments dont sa soeur a besoin. Mais ce supposé paradis terrestre n'est que chimère. Il n'est qu'une prison à ciel ouvert de plus... Pire ! N'y vivent que des « sans vies », âmes perdues se nourrissant de la chaleur des corps vivants. Comment ces hommes et ces femmes se sont-ils transformés en ces monstres hagards ? Qui est l'architecte de cette ignoble frontière ? Réponse dans ce second tome haletant qui revient en partie sur l'origine du Mur et de son fondateur : Noah.
Entre la radicalité de Mad Max et le nihilisme de The Walking Dead, Le Mur nous plonge dans un maelstrom de poussière, de rouille et de sang. Une prouesse graphique pour un road movie sauvage et post-apocalyptique qui, dans la plus pure tradition du genre, nous interroge sur le devenir de l'humanité et les conséquences de nos actes.
Osez ouvrir votre âme, votre coeur et votre corps à la plus excitante initiation à l'amour. Osez ouvrir le kama sutra de Manara.
Parva superbe blonde, entre par accident en possession d'une ceinture très étrange... puisqu'elle s'avère être l'écrin dans lequel a été emprisonné l'esprit du dieu hindou Shiva. Celui-ci va initier la jeune femme au Kama Sutra, l'emmenant en rêve parcourir l'Inde et ses mystères sensuels et érotiques dans le but de retrouver forme humaine.
Nouvelle édition de cet incontournable de Manara, dans une nouvelle traduction enrichie d'une préface inédite de l'auteur.
Entre Macbeth et Game of Thrones, il y a Sang Royal...
Alvar, jeune et puissant souverain, trahi par son propre cousin et laissé pour mort, reprend ses droits au terme de plusieurs années sans mémoire. Mais son retour lui révèle une trahison plus cruelle encore. Blessé, bafoué, il reconquiert son trône en imposant à tous une épouse controversée : sa propre fille. La lame de la vengeance amènera les deux amants sur le chemin de la jalousie et de la haine.Cette tragédie shakespearienne met en scène l'âme noire de personnages hantés par des cauchemars de feu et de sang et habités par l'obsession de la vengeance. Découvrez l'intégralité de cette flamboyante tragédie pleine de fureur, de trahisons et de passion, signée Alejandro Jodorowsky et Dongzi Liu.
La folie de la vengeance. La fureur de la passion.
Alors que les rois Honim et Alvar s'apprêtent à célébrer l'union de leurs descendants, Aram et Mara, une menace plane... Une armée de vampires dévore les troupeaux des bergers et menace de s'en prendre aux deux royaumes. De son côté, Vaal le boiteux, le propre fils d'Alvar devenu Grand prêtre, fomente un complot pour assassiner le futur roi et prendre sa place sur le trône. Mais Aram possède dans ses veines le sang du loup-garou qui le rend invincible. Vaal décide alors de faire forger la seule arme capable de le détruire : une épée d'argent.
Découvrez la fin du nouveau cycle de cette flamboyante tragédie shakespearienne signée Alejandro Jodorowsky et Dongzi Liu, pleine de fureur, de trahison et de passion.
Alvar est désemparé : il était enfin parvenu à la paix avec le royaume voisin, lorsque les deux vieux rois avaient fiancé leurs enfants. Tous deux se réjouissaient de voir leur futur petit-fils régner sur leurs domaines unifiés... Mais leur ingrate progéniture en a décidé autrement, et n'a pas l'intention de se laisser marier. C'est alors que le fantôme de Sambra apparaît à Alvar, lui rappelant que, si son adultère avec un beau berger lui a valu la mort, il a aussi donné un enfant. Petit-fils d'Alvar, élevé par des loups, sa pureté pourra-t-elle vaincre la haine et la décadence ? Dans la suite de cette flamboyante tragédie shakesperienne, les fantômes des êtres assassinés planent encore sur le Roi Alvar...
Après avoir récupéré son trône, Alvar le roi autrefois usurpé a pris pour épouse Sambra, qu'il croit être sa fille. L'ancienne reine Violena et le prince Rador, pourris de haine, ourdissent un plan pour détruire l'amour puissant qui unit le roi et sa femme. Le couteau criminel de la vengeance amènera les deux amants sur le chemin de la douleur, de l'authenticité, du dénuement puis de la désunion, vouant la génération suivante à une nouvelle vengeance.
Cette tragédie Shakespearienne met en scène l'âme de personnages tourmentés par des cauchemars de feu et de sang et des idéaux de lumière, magnifiquement traduits en image par Dongzi Liu. Sang Royal est une oeuvre flamboyante et hautement symbolique, menée sabre au poing par Alejandro Jodorowsky, passé maître en la matière.
Alvar, jeune et puissant souverain, trahi par son propre cousin et laissé pour mort, reprend ses droits au terme de plusieurs années sans mémoire. Mais son retour lui révèle une trahison plus cruelle encore. Blessé, bafoué, il reconquiert son trône en imposant à tous une épouse contreversée : sa propre fille.
Cette tragédie Shakespearienne met en scène l'âme noire de personnages hantés par des cauchemars de feu et de sang et habités par l'obsession de la vengeance. Un chaos magnifiquement traduit en images par Dongzi Liu, qui jette sur ses pages des couleurs d'incendie comme autant de mauvais sorts. Sang Royal est une oeuvre flamboyante, menée sabre au poing par Alejandro Jodorowsky, passé maître en la matière.
S'inspirant de l'envoi de troupes de zouaves par la France de Napoléon III pour aider le régime impérial de Maximilien, Ersel, alias Erwin Sels, désire mettre en scène leurs uniformes chatoyants dans un univers exotique : ce sera le Mexique du XIXe siècle, traversé par les secousses de la révolution.
Sur ce fond historique tourmenté se trame la destinée d'un homme accusé de meurtre, obligé de s'engager chez les zouaves pour échapper à une condamnation injuste. Quête de vérité et pièges sont ainsi au programme de cette nouvelle et passionnante série, aux couleurs chaudes de l'Amérique latine...