The most wide-ranging and up-to-date volume available on the enigmatic and controversial graffiti artist, this deeply researched and highly personal tribute explores how Banksy continues to defy accepted wisdom about artistic success, growing only more famous and powerful even as he sticks to his anti-establishment platform and to his mission to give a voice to the voiceless.
Accompanied by stunning full-page, full-color reproductions and photographs of works in situ-including many that have been lost to time -photographer and street art expert Alessandra Mattanza's impassioned and informed text follows Banksy's career trajectory from creator of message-laden stencils on London's city walls to a sought-after champion of human and environmental rights. She investigates many of the key images that populate Banksy's work-animals, children, historic figures, balloons, cartoon characters, police officers, and others. She shows how Banksy's oeuvre has expanded beyond graffiti and stenciling and how his art has helped support his activism in a variety of causes-from calls for peace in the Middle East to the preservation of the natural environment. Best of all she helps readers make sense of the rather unusual path Banksy has chosen-an artist who uses his global platform to raise awareness about the underserved, rather than to his own celebrity. Readers will come away with a new understanding of how Banksy helped transform an illegal act of criminal damage into a high art form, and how, by ridiculing institutionalized art, he has achieved enormous fame within those very institutions.
Ce catalogue, publié à l'occasion d'une exposition d'Invader au MIMA de Bruxelles, revientent sur sa pratique du Rubikcubisme. Le terme, inventé par l'artiste en 2005, fait référence à son travail d'atelier autour du Rubik's cube, célèbre casse-tête coloré, avec lequel il crée des tableaux et sculptures.
À l'invitation de Marie-Laure Bernadac, neuf artistes, de part et d'autre de l'Atlantique, portent leur regard sur l'oeuvre immense de Louise Bourgeois.
Figure transatlantique, Louise Bourgeois (1911-2010), née à Paris, passe l'essentiel de sa vie à New York, où elle s'installe dès 1938 avant d'être naturalisée américaine. Immense sculptrice et plasticienne, à la pratique polymorphe, elle sera bien plus tôt reconnue et célébrée aux Etats-Unis qu'en France.
Marie-Laure Bernadac, grande spécialiste de cette oeuvre, invite neuf artistes de part et d'autre de l'Atlantique à exprimer leur regard sur cette personnalité artistique majeure du XXe siècle. Leurs contributions manifestent à quel point Louise Bourgeois continue de fasciner les plus jeunes générations d'artistes.
Nouvelle édition brochée de ce best-seller paru en 1984. À travers les photos de Martha Cooper et Henry Chalfant, Subway Art documente la naissance du graffiti et plus particulièrement l'une de ses premières formes d'expression : le bombage des rames du métro new-yorkais.
Ce beau livre illustré présente le meilleur du street art international à travers des oeuvres dans 30 villes autour du monde (dont Melbourne, Londres, Berlin, Chicago, Los Angeles, Toronto et São Paulo, entre autres).
Des grandes peintures murales aux murs en évolution permanente, ce livre montre la spécificité vibrante des différentes cultures de rue dans le monde.
Chaque photo est accompagnée de commentaires d'experts et des cartes des endroits-clé à visiter dans chaque ville - préparez-vous à être émerveillé !
« Un art qui surgirait comme ça tout d'un coup. Un art qui agirait comme un coup de batte de base-ball en pleine face. Ou mieux, un art qui agirait comme un coup sur la nuque qu'on ne voit pas venir et qui vous étend.
Une espèce d'intensité qui ne s'expose pas au jugement et à l'appréciation. » Bruce Nauman.
L'artiste américain Bruce Nauman (né le 6 décembre 1941 à Fort-Wayne, en Indiana) est l'une des figures majeures de l'art contemporain ; il est considéré comme l'un des pionniers de l'installation.
Le corps et ses mouvements, l'instabilité de l'identité, le rôle du langage, la perception de l'espace, la violence dans les relations inter-humaines, la participation du spectateur sont des notions qui reviennent constamment dans l'oeuvre de Nauman, qui les explore de manière rigoureuse et extrêmement spectaculaire en variant les médiums (sculpture, vidéo, performance, holographie, dessin, néons...
Il existe peu de publications en français traitant de cette oeuvre inclassable.
Le MAC de Lyon conserve 16 oeuvres de Bruce Nauman.
Une exposition consacrée à S. Hicks, figure légendaire de l'art textile. Sa vie et son oeuvre sont retracées, à travers 150 oeuvres étalées sur six décennies de création.
Collage by Women présente 50 femmes artistes internationales travaillant dans le domaine du collage de nos jours, dans une sélection d'oeuvres rigoureuse.
Élaboré par l'artiste collagiste espagnole Rebeka Elizegi, cet ouvrage crée un espace pour des voix de tous milieux, toutes origines et toutes expressions artistiques, et présente la grande variété de perspectives formant le panorama actuel du collage, mettant en lumière une effervescence parallèle d'initiatives artistiques venant de femmes dans le monde entier. Allant de noms émergents à des noms plus reconnus et célèbres, les artistes figurant dans ce livre repoussent les limites de l'art. Collage by Women vise à nous intéresser aux expériences et au processus créatif d'artistes méritant de faire l'objet de notre attention, à travers une sélection impressionnante de techniques manuelles et numériques, de sujets et de choix esthétiques, accompagnée de textes offrant une approche en profondeur de l'inspiration, des influences et de la trajectoire de l'oeuvre de chaque artiste.
Né de la croyance que la voix des femmes est de la plus grande importance dans les tous les domaines culturels et sociaux, cet ouvrage contribuera sans aucun doute à une compréhension plus saine, plus globale et plus inclusive de notre réalité.
Parmi les nombreuses artistes figurant dans ce livre, vous trouverez Eugenia Loli, Sarah Eisenlohr, Olivia Descampe, Linden Eller et Paola Bazz.
Très impressionné par l'architecture de Le Corbusier, Anselm Kiefer a demeuré trois semaines au couvent de la Tourette en 1966 et a ainsi partagé la vie des frères. Il dira qu'il a perçu en ce lieu la « spiritualité du béton » - matériau dont on sait l'importance qu'il aura après dans son oeuvre.
Depuis, Anselm Kiefer a tracé dans l'art contemporain une voie originale et puissante. Ses expositions à travers le monde dans les plus grandes institutions culturelles font de lui une figure majeure de la scène artistique contemporaine : Grand Palais (Monumenta 2007), Centre Pompidou et Bibliothèque Nationale en 2016, musée Rodin en 2017.
L'initiative a été prise d'inviter Anselm Kiefer à revenir 52 ans après à La Tourette. Pour l'artiste ce retour est comme un rendez-vous avec un lieu de spiritualité qui fut déterminant pour lui. Pour l'exposition, s'est dessiné un choix d'oeuvres d'une grande diversité : sculptures monumentales, vitrines, peintures, livres...
Le livre présentera également un portfolio de photographies personnelles et inédites d'Anselm Kiefer prises à La Tourette, livrant son regard sur l'architecture de Le Corbusier .
Un texte écrit par Anselm Kiefer en 1966, à la suite de son passage à la Tourette, sera publié pour la première fois, livrant un ensemble de réflexions personnelles de l'artiste sur l'architecture, Le Corbusier, et sur son séjour au Couvent de La Tourette.
est plus que le titre d'une monographie. C'est une boussole pour les lecteurs qui s'aventureront dans l'univers de l'artiste franco-chinoise Li Chevalier, univers enfoui dans la noirceur de l'encre, et dont l'ombre des protagonistes ne se laisse entrevoir qu'à travers une alternance de doutes récurrents, d'espoirs passagers, de quêtes sans fin...Obscurité et clarté, obscurité des âmes perdues et lumière du confort esthétique s'entrelacent en osmose, s'allient et se transfigurent, radieuses ou lugubres, au gré de l'âme du peintre.
Cet ouvrage qui rassemble une sélection d'oeuvres de Li Chevalier, retrace son parcours , caractérisé par l'élaboration d'un univers esthétique transculturel et multidisciplinaire, entre Orient et Occident, encre et mixed media, peinture et musique... Il s'en dégage pour le lecteur, le spectateur, une émotion esthétique qui transcende les frontières, nous interroge, nous questionne, face aux infinis espaces et à la richesse des confrontations que ces oeuvres dévoilent.
Au cours des dix dernières années, les oeuvres de Li Chevalier ont été présentées au sein de nombreuses institutions en Asie et en Europe, parmi lesquelles on peut citer le Museo Contemporaneo Rome [MACRO] 2017, la Base Sous Marine de Bordeaux 2014, l'Opéra National de Chine 2013, le Musée des Beaux-Arts de Shanghai 2011, le Musée National des Beaux-arts de Chine 2010; en 2007, la Royal Academy of Arts de Londres a accueilli des oeuvres de Li Chevalier dans son exposition annuelle.
VERSION ANGLAISE Flux, Fabienne Verdier Photographies / Images : Philippe Chancel Fiche technique 173 x 265 mm 120 pages environ Relié toilé sous coffret Photos couleurs Prix : environ 25 € TTC ISBN : 978-2-915173-80-2 De septembre 2009 à juin 2010, Fabienne Verdier s'est consacrée à relever un défi artistique dont elle mesurait l'ampleur.
Dans son atelier, l'artiste plasticienne s'est attelée au jour le jour à l'exécution de quatre fresques monumentales destinées aux murs du Palazzo Torlonia à Rome.
Sans doute l'oeuvre que Fabienne Verdier accomplit sous nos yeux présente-t-elle un caractère exceptionnel. Ce fut une aventure à l'issue abstraite mais au travail concret, fait de retenues et de fulgurances, d'attentes et de passages, d'instants de doute et de pure grâce.
Les flux rouges qui prennent naissance dans la veine immense des pinceaux de Fabienne Verdier se déploient, se sculptent et enfin se cristallisent. Ils prennent vie avec rigueur sur ses fonds bleus comme des parts d'océans aux prises avec les forts courants qu'elle infléchit sur la toile.
Le photographe Philippe Chancel a posé durant près de dix mois sa caméra pour suivre la genèse de ces fresques et le travail de l'artiste, son atelier, ses gestes, son univers. Sont nés un film et un livre - dont les images sont issues du film - pour témoigner de cette singulière création artistique.
Ce livre s'adresse aux enseignants chargés de cours consacrés à l'écriture de recherche. Articulant théorie(s) et pratique(s), combinant aussi les pôles compréhension et production, il propose des pistes de réflexion et d'applications très concrètes organisées autour de questions épistémologiques et linguistiques liées à ce genre de discours. Le propos s'inscrit dans le champ des littéracies universitaires qui prônent la contextualisation et la continuité des apprentissages. L'objectif est de permettre aux utilisateurs de cet ouvrage d'y puiser des concepts mais aussi des idées et des exemples d'exercices à adapter en fonction des spécificités de leurs publics (de la première année de l'enseignement supérieur à la formation doctorale). Deux approches sont privilégiées ici. La première développe une dimension réflexive liée au genre et à de grands thèmes concernant l'écriture de recherche. La seconde approche se centre quant à elle sur des caractéristiques discursives, linguistiques et textuelles. Si chacune des parties peut se suffire à elle-même, l'une peut être articulée à l'autre, de manière à construire des cadres didactiques appropriés à des contextes précis d'apprentissage.
Peintre de l'infigurable.
Né à Meknès, Mohammed Kacimi (1942-2003) commence sa vie active comme éducateur pour enfants. C'est dans l'atelier de la plasticienne Jacqueline Brodskis qu'il commence à explorer le monde éde la peinture.
Doté d'une puissance créative et d'une rigueur phénoménale dans le travail, il accède rapidement à une notoriété internationale.
Mais Kacimi ne s'est jamais détourné de l'essentiel : la création authentique et l'engagement sincère pour un monde meilleur.
Les silhouettes humaines qui hantent ses toiles sont épurées à l'extrême, réduites à l'essentiel : une présence spectrale dans un monde qui leur demeure hostile et étrange.
Kacimi a toujours posé sur les hommes un regard à la fois tendre et lucide. Sa peinture est mélancolique, sa poésie romantique, mais ses prises de position politiques restent fidèles à une éthique de l'engagement.
Cet ouvrage témoigne de l'intervention spectaculaire de Daniel Buren sur le bâtiment de la Fondation Louis Vuitton et reprend le cheminement de son travail sur la transparence depuis les années 1970. Un important corpus d'oeuvres réunies pour la première fois autour de ce thème.
L'ouvrage commence par l'oeuvre temporaire qu'il a conçue en dialogue étroit avec l'architecture de Frank Gehry. Elle se déploie sur l'ensemble des verrières, élément emblématique de l'édifice. Les douze voiles, constituées de 3 600 verres, sont recouvertes en quinconce de filtres colorés qui sont à leur tour, ponctués à distances égales les uns des autres par des bandes alternativement blanches et vides, axées perpendiculairement au sol. À travers un jeu de couleurs, de projections, de reflets, de transparences et de contrastes, à la fois intérieur et extérieur, Daniel Buren propose un nouveau regard sur le bâtiment.
Dans une deuxième partie, l'ouvrage retrace la genèse et l'évolution du travail de l'artiste sur la lumière, la couleur et la transparence à travers un parcours chronologique parmi ses oeuvres depuis les années 1970 jusqu'à aujourd'hui. Un long entretien entre l'artiste et Suzanne Pagé, directeur artistique de la Fondation Louis Vuitton, nous éclaire sur les multiples facettes de cette rencontre avec l'architecture de Frank Gehry en lien avec son travail en général et ses inspirations.
Ce livre inédit se concentre sur un aspect fondateur et essentiel de l'oeuvre de Christo et Jeanne-Claude : le travail avec des barils de pétrole. Sculptures, installations, dessins, maquettes, photographies et travaux préparatoires retracent plusieurs décennies de leur travail, des premières oeuvres (projets de constructions de barils dans différents environnements urbains, comme l'imposant Wall of Oil Barrels en 1962) jusqu'au Mastaba monumental dans le désert d'Abu Dhabi.
À Nîmes, le Carré d'Art accueille une exposition (07/04/2017-17/09/2017) dans le cadre de la programmation anniversaire du Centre Pompidou. A Different Way to Move propose une histoire des foyers communs où s'entremêlent les arts visuels, la danse et la musique dans les années 1960 et 1970 à New York. Ce livre met sur un pied d'égalité les démarches de Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd, Sol LeWitt, Robert Morris et Richard Serra avec ceux des pionnières de la Postmodern Dance comme Trisha Brown, Lucinda Childs, Simone Forti et Yvonne Rainer.
Djamel Tatah naît en 1959, dans une famille d'origine algérienne, à Saint-Chamond (Loire). Après avoir longtemps travaillé à Marseille, il s'installe à Paris. Répétition des figures, grands formats, représentation abstraite de l'homme contemporain, solitude, les ingrédients de l'artiste sont là. Pour les influences on cite Rothko, Warhol ainsi que l'Egypte et la Renaissance. Prix Gras/Savoye/Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1992, prix du salon de Montrouge, l'artiste a présenté d'importantes expositions personnelles (Centre d'art contemporain Le Parvis à Tarbes en 2007, musée des Beaux-Arts de Nantes en 2008, Galerie des Ponchettes aux MAMAC à Nice en 2009, Centre d'art contemporain du Creux de l'enfer à Thiers en 2010) et collectives telles que "Peintures françaises" à la Villa Médicis en 1997, "Tableaux d'une histoire" à la Villa Arson en 1998, "L'Art au futur antérieur" au Musée de Grenoble en 2004, "La Force de l'art" au Grand Palais en 2006, "Airs de Paris" au centre Georges Pompidou en 2007, "I Mutanti" à la Villa Médicis à Rome en 2010, "Nevermore" au Mac/Val de Vitry-sur-Seine en 2011. Ses oeuvres ont été maintes fois plébiscitées par des publics étrangers : l'Allemagne, la Chine, l'Espagne, les Etats-Unis et la Russie ont pu l'accueillir à plusieurs reprises.
The first and much anticipated monograph on the groundbreaking work of one of today's most celebrated multimedia artists.
French artist Lili Reynaud-Dewar creates environments and situations in which she uses her own body to examine the dual experience of vulnerability and empowerment that results from acts of exposing oneself to the world. Evolving through a range of media such as performance, video, installation, sound, and literature, her work considers the fluid border between public and private space, challenging conventions related to the body, sexuality, power relations, and institutional spaces. This is the first book to document her remarkable career.