Gérer son projet vise à adapter la gestion de projet aux besoins des chercheurs, des étudiants et des professionnels qui travaillent dans le domaine des sciences humaines. Il offre une vision d'ensemble des méthodes, des outils, des techniques et des principes utilisés en gestion de projet en 7 étapes simples et pratiques.
Le 18 mars 2007, de nombreux États membres de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) mettent en oeuvre la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles.
Même s'il y a lieu de se réjouir, il n'est pas certain que la mise en oeuvre de la Convention soit une volonté bien arrêtée. Ses détracteurs profitent de chaque occasion pour organiser la riposte de manière à limiter l'application et réduire l'efficacité de la Convention. Le nombre d'adhérents, la rapidité avec laquelle les gouvernements se rallient aux modalités de la Convention, la répartition géographique des pays signataires, la comparaison avec d'autres traités internationaux, etc. sont autant de critiques que les opposants ne manquent jamais de soulever pour miner la légitimité de la Convention.
Quinze chercheurs se sont penchés sur différentes questions entourant la Convention. Divisé en trois thèmes distincts : Idéation, Idée Monde et Idée Nation, cet ouvrage nous permet de voir les forces, les faiblesses et les failles d'une Convention pourtant animée des meilleures intentions.
L'arrivée au pouvoir de Brian Mulroney en 1984, plus conciliant que son prédécesseur Pierre Trudeau à l'égard des partenaires de la fédération, constitue une étape marquante dans l'évolution du fédéralisme canadien et des relations intergouvernementales.
Créé à l'époque du cardinal Richelieu pour désigner son plus proche collaborateur, le père Joseph, le terme " éminence grise " qualifiait à l'origine la couleur de la robe du moine choisie à dessein pour se démarquer de celle, rouge, du Cardinal.
Avec le temps, le gris de l'éminence en est venu à désigner, pour ses successeurs, une personne oeuvrant dans les " zones grises " du pouvoir. Mais connaît-on réellement ces personnages influents qui travaillent dans l'ombre ? Cet ouvrage unique dresse le portrait contemporain des rôles et fonctions de l'éminence grise dans le contexte politique des différents pays étudiés et présente le cercle restreint du pouvoir autour du décideur.
Les auteurs ont alimenté leur modèle de huit entretiens. Successivement, Jacques Attali, Jean-Roche Boivin, David Frum, Luc Lavoie, Jean-François Lisée, John Parisella, Ignacio Ramonet et Jean-Claude Rivest témoignent d'un univers qui, à ce jour, a été l'objet d'une grande discrétion et viennent nourrir la réflexion sur les liens qui unissent les décideurs politiques à leurs collaborateurs immédiats.
Les lecteurs découvrent un modèle qui leur permettra de comprendre les épiphénomènes propres à révéler, sur la place publique, l'existence de personnes répondant à une certaine définition d'éminence grise. Mieux encore, ils auront en main les instruments pour mettre en doute les affirmations, un peu rapides et simplistes, de plusieurs qui croient avoir tout dit et tout démontré en attribuant ce titre à ceux qui, bien malgré eux, se retrouvent au coeur de l'actualité.
Comme bien d´autres, le Québec échappe difficilement à l´influence qu´exercent les États-Unis d´Amérique. Que ce soit sur le plan politique, militaire, économique ou culturel, les Américains sont, en quelque sorte, les grands maîtres du jeu. Mais comment leur ascendance s´exerce-t-elle précisément ? Quelles en sont les manifestations ? Notre cinéma, notre télévision et nos médias d´information sont-ils sous influence ?
En réunissant des chercheurs et des professionnels du milieu, l´École des médias a voulu mettre en doute l´idée d´une homogénéisation culturelle américaine de la planète et démontrer comment les États-Unis influencent notre culture mais, aussi, comment les cultures canadienne et québécoise, et leurs représentants, peuvent tirer leur épingle du jeu.
Les médias sociaux peuvent rapprocher les gouvernés des gouvernants, mettre en valeur les bons coups d'une entreprise, comme les moins bons. Les médias sociaux peuvent susciter l'enthousiasme comme, au contraire, le retour des vieux préjugés.
Ils peuvent conduire à des gestes de solidarité comme à l'exclusion et aux pires débordements. Quelles transformations les médias sociaux génèrent-ils vraiment?
Quels en sont les impacts sur les individus, les systèmes politiques, les relations amoureuses, les organisations, etc.? Autant de sujets explorés lors de la rencontre annuelle des membres du Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM), les 6 et 7 novembre 2014 à Bordeaux, en France.
Le questionnement porté par les membres du réseau ORBICOM, de l'analyse des phénomènes sociaux, de leur portée virale et politique à l'investigation détaillée réalisée sur le profilage des individus, représente une somme de connaissances et de point de vue extrêmement utile au grand public comme aux étudiants.
L'approche multipolaire de ces enjeux sociétaux et civilisationnels a conduit le programme Idéfi CréaTIC à construire sur ces thématiques des ateliers laboratoires pour poursuivre avec le grand public, les spécialistes et les étudiants une réflexion internationale sur l'humanisme numérique.
La grande majorité de la population est maintenant concernée dans les villes et le processus d'urbanisation connaît une croissance annuelle. Les villes sont également les endroits où se produit le plus haut pourcentage du PIB mondial incluant ses impacts, telles les possibilités de bien-être ou, au contraire, de destruction si, par exemple, aucun projet n'est mis en oeuvre pour lutter contre les changements climatiques et réduire le niveau élevé d'émissions polluantes produites par le développement urbain et industriel.
Les villes sont de plus en plus importantes dans la configuration de la vie humaine, non seulement du point de vue de l'espace, de l'économie et de la consommation, mais aussi comme système de communication. L'impact croissant de la technologie dans les villes permet non seulement de transformer les citoyens en « supers consommateurs », prêts à interagir avec tout ce qui se passe autour d'eux, mais aussi à transformer chaque individu en « données », exploitées à diverses fins par le commerce, l'industrie, le gouvernement et diverses personnes.
Sous le thème Communication, ville et espace public, le Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM) et la Chaire UNESCO en communication et culture de la paix de l'Université de Lima ont réuni, à Lima, au Pérou, les 8, 9 et 10 mai 2018, près de 130 conférenciers venus de tous les coins de la planète et quelques 950 participants pour aborder ces questions.
Créé conjointement en 1994 par l'UNESCO et l'Université du Québec à Montréal (UQAM), ORBICOM regroupe 38 chaires universitaires UNESCO et 250 experts en communication provenant des secteurs universitaire, privé et public. Cette collaboration internationale fait d'ORBICOM un réseau unique, oeuvrant dans les langues anglaise, espagnole et française et constitue une approche multidisciplinaire et interculturelle de la communication.
Actes du colloque international annuel des Chaires UNESCO-Orbicom mondiales, ce livre est un outil d'approfondissement pour les étudiants, les chercheurs et plus généralement pour les personnes s'intéressant aux développements mondiaux en matière
