Il était une fois un p'tit bonhomme des bois. Il était un peu tête en l'air et espiègle avec ça. Ce jour-là, le p'tit bonhomme des bois marche dans la forêt. Il suit le chemin et ses pensées.Mais caché derrière un arbre, un blaireau le regarde. Le blaireau dit avec un petit sourire : «Oh, un p'tit bonhomme des bois, ce doit être bon un p'tit bonhomme des bois, je n'ai jamais mangé de p'tit bonhomme des bois, je mangerai bien du p'tit bonhomme des bois.» Mmm ! Qu'il a l'air appétissant ce p'tit bonhomme des bois ! L'un après l'autre, blaireau, renard, loup et ours se mettent à rêver de croquer ce petit lutin et, tant que faire se peut, les autres animaux alléchés qui le suivent aussi sur la pointe des pieds. Jusqu'au moment où le p'tit bonhomme des bois a comme un mauvais pressentiment.
Une randonnée cocasse et un joli brin de conte pour se faire plaisir avec délice !
Dandine, la vache, est heureuse dans son pré, car l'herbe y est douce et sucrée.
En compagnie de son ami Martin, l'oiseau qui pêche les couleurs, elle va découvrir d'autres pays...
Un texte et des illustrations qui se répondent pour une découverte des couleurs.
Dans cette fable poétique, Eric Battut nous raconte en rouge et noir l'épopée d'un apprenti matelot et de son capitaine.
De conquêtes en colonisations d'île déserte, c'est la vie en société qui s'apprend, avec philosophie...
Dans un désert de sable, un arbre isolé poussait.
Cela faisait des heures, des jours, des mois qu'ainsi, tout seul, il grandissait.
Et plus il se hissait, plus il se sentait seul.
Le ton est donné pour ce récit à la fois sobre et plein de force.
Une histoire d'amour et de don.
Une histoire qui parle au coeur.
Mademoiselle Parapluie habite une ville où tous les jours sont gris.
Elle vend des fleurs, place du brouillard.
Mais dans sa robe de chiffon, elle a le cafard, elle broie du noir.
Ses joues sont pâles, ses fleurs se fanent et les passants n'en veulent plus.
Par un jour de tempête, le monde se renverse...
Et Mademoiselle Parapluie est emportée par le vent à l'autre bout du monde, où l'attend un charmeur d'oiseaux... Quelques mots doux et une valse à trois temps, la damoiselle reprend couleur et sourire. Rêve d'ailleurs, rêve de toujours...
Une jolie histoire écrite du bout d'une plume délicate, qui raconte les envies de départ et les amours de hasard. Edmée Cannard, dans ce deuxième ouvrage (Monsieur P'tit sou, prix France Télévisions), montre un nouveau visage. On retrouve sa poésie et sa finesse d'écriture, mais son univers se déploie dans de nouvelles couleurs, de nouvelles formes, d'un raffinement et d'un ton rare, pour notre plus grand plaisir.
Un très bel ouvrage.
Se cacher dans la forêt...
Sortir du bois...
Suivre le sentier...
Traverser les chemins... [...] Arpenter les faubourgs...
Habiter le coeur de la cité...
Ouvrir le livre... Plonger dans l'univers poétique d'Éric Battut... Suivre à la trace chaque petit animal qui nous entraîne un peu plus loin vers la ville, marcassin, bousier, hérisson, coq, cerf, lapin, papillon, mouette, souris, chat, hirondelle... Passer du coeur de la nature au coeur de la cité, en un voyage délicat et simple, profond et apaisant...
Dans la droite ligne d'Au fil des mois (grand prix de la Biennale de Bratislava, 2001), Éric Battut nous convie à entrer dans sa peinture, pour prendre un grand bol d'air. Une découverte de notre environnement, une exploration de ces espaces un peu entre deux, ni pleine nature, ni totalement zone urbaine. De quoi donner envie de partir en balade, les yeux grand ouverts !
Des histoires qui se déroulent comme un film muet. Sans texte.
On voit le chien dans son exploration insolite du monde qui l'entoure.
Des histoires qui se déroulent comme un film muet. Sans texte.
On voit le chien dans son exploration insolite du monde qui l'entoure.
Vivant sous une vieille coquille, grand collectionneur de billes, José au gré des rimes, va affronter mille dangers pour sauver sa belle.
Un voyage nocturne dans des ambiances pleines de contrastes et de couleurs où la nuit n'est pas simplement noire.
Une suite de formules loufoques déclinées sur le mode du Jacques-a-dit.
Un ton nouveau, très enfantin et diablement drôle.
Bébert a 1 chien, qui s'appelle Bébert aussi.
Il a aussi 2 ânes qui portent tous les deux le nom du chien.
Pour ranger ses Bébert, Bébert a construit 3 niches.
Puis il a construit une maison avec 4 fenêtres pour se ranger lui-même.
De 1 à 9, toute la vie de Bébert à la maison et au coeur grand ouvertoe En plus de sa ménagerie, il accueille bientôt Paulette et ses chats qui s'appellent tousoe Paulette bien sûr. Et dans 9 mois, qui est-ce qui va débarquer dans la vie de Bébert et Paulette ?
On retrouve avec grand plaisir l'esprit caustique et tendre à la fois de Frédéric Kessler (La promenade merveilleuse de Kevin le lutin, Robert dit que 1 et 2), dont le trait s'est arrondi. De l'humour à lire autant dans le texte que dans les images, pour un plaisir partagé.
Un petit livre de découverte, pour se dérider les méninges ! À savourer à côté du deuxième tome (Bébert et Paulette sens dessus dessous)
Depuis que Léon, le bébé à Bébert et Paulette, sait marcher, Il trottine de gauche à droite...
Il est dessus, il est dessous.
Il monte la garde devant sa mère, ou se réfugie derrière son père.
Il est partout ! Ou bien nulle part ! Le bébé tout neuf de Bébert et Paulette leur en fait voir de toutes les couleurs, dans toutes les directions.
On retrouve avec grand plaisir l'esprit caustique et tendre à la fois de Frédéric Kessler (La promenade merveilleuse de Kevin le lutin, Robert dit que 1 et 2), dont le trait s'est arrondi. De l'humour à lire autant dans le texte que dans les images, pour un plaisir partagé.
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Un petit livre de découverte, pour se dérider les méninges ! À savourer à côté du premier tome (Bébert et Paulette comptent jusqu'à neuf).
Construit sur l'extraordinaire capacité d'imaginer et de rêver, un album-valise regorgeant de trésors, de petits riens inaccessibles qui éveillent les sens...
12 mois, illustrés en 12 magnifiques tableaux.
Mars, je guette, Avril, je construis ma maison, Mai, j'aime...
A la rencontre du temps qui passe, de la vie qui s'écoule...
Grand prix de la Biennale de Bratislava,2001
5, 4, 3, 2, 1... Partez !
Et la fusée décolle de la terre vers le pays des rêves.
Mais à son bord le commandant Auguste ne trouve plus son volant.
Et le cauchemar qui s'approche ...
Cartons, papier, fils électriques, ressort et chaîne de vélo, pour une galerie de personnages venus de nulle part, sur un texte d'une grande poésie.
Au bout de la plus longue de toutes les routes, vit Mono, un petit bout de bonhomme. De toutes ses forces, Mono veut savoir ce qu'il y a à l'autre bout du monde.
Gégé est un géant, et un géant tout le monde le sait le sait, c'est très grand, donc encombrant.
Gégé n'ose plus bouger ! Il a trop peur d'écraser la moindre fourmi. Alors Gégé s'endort ...
Un texte très sensible qui parle avec finesse des ambivalences du désir de grandir.
Robert revient avec son lot de bêtises, tantôt absurdes, tantôt cruelles, mais toujours aussi drôles. Tout y passe : bébés, mamans, frères et soeurs, crotte de bique et camembert... Il fait sourire ou grincer des dents, mais ne laisse personne indifférent !
Terrible nouvelle aujourd'hui : Monsieur Coco Picostrollâme a disparu !
Mais c'est sans compter sur la pugnacité du célèbre détective Oscar Why.Il n'hésitera pas à faire le tour du monde pour retrouver l'inventeur du crousticoco.
C'est la nuit, tous les cochons sont endormis...
Tous sauf...un. Simon, il a peur du marchand de sable. Il ne veut pas que cet affreux bonhomme lui envoie son tas de sable dans la figure.
Mais c'est compter sans la poésie de Cécile Hudrisier , qui va lui faire rencontrer non pas un vilain méchant, mais une adorable libellule...Une libellule vraiment ? Chut, il faut dormir pour le voir...
Am' Stram' et Gram' trois rois apparaissent tour à tour dans un paysage désertique. Ils plantent leur drapeau sur le mont qui leur ressemble. Puis c'est la guerre, une grande bataille, jusqu'à cette vague bleue qui emporte leur fureur très loin et qui laisse derrière elle une nouvelle création.
Martine Bourre propose une vision très personnelle de la célèbre comptine.
Sa version frôle les mythes fondateurs (le déluge de Noé, le paradis perdu) et esquisse une morale dans laquelle les hommes n'ont pas forcément le beau rôle.
Laine, cartons, éléments naturels Martine Bourre sait mieux que personne utiliser ce qui lui tombe sous la main pour traduire ce que lui évoque les trois syllabes.
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Guerre et paix, rapports entre humains et animaux des thèmes cruciaux dans un livre qui éveille l'imaginaire.
Monsieur p'tit sou a perdu son bouton. Il part au marché avec 3 sous dans son panier. Mais 3 sous, c'est vite dépensé !
Voilà une histoire pleine de poésie et d'humour, sorte d'inventaire à la prévert.