Sans emballage, sans conservateurs, écoresponsables, faciles à transporter et à utiliser, les cosmétiques solides ont tout pour plaire. On peut maintenant se les procurer dans les boutiques spécialisées, parfois au prix fort, mais on peut également les fabriquer à la maison, à peu de frais et en quelques minutes seulement.
Dans ce troisième ouvrage, Sylvie Fortin, la pionnière des cosmétiques maison, nous propose 50 recettes de produits de soins pour le visage et le corps : dentifrices, déodorants, shampoings, masques capillaires, savons de rasage, produits pour l'heure du bain, en plus de 30 recettes ultra simples de cosmétiques minute qui se préparent en un éclair pour une utilisation immédiate. Les cosmétiques non toxiques solides se composent de quelques ingrédients usuels, le plus souvent locaux et comme ils ne contiennent pas d'eau, ils se conservent longtemps et ne contiennent aucun agent de conservation
Nous utilisons tous les jours de nombreux produits d'hygiène et de beauté, mais que savons-nous à leur sujet? Bien peu de choses à vrai dire, mais suffisamment pour avoir envie de se tourner vers des produits dont l'innocuité est reconnue. Après le succès de COSMÉTIQUES NON TOXIQUES paru en 2011, Sylvie Fortin nous propose 120 nouvelles recettes de produits cosmétiques d'usage courant faits à partir d'ingrédients naturels, d'origine minérale ou végétale. Les techniques de préparation sont présentées étape par étape comme dans un livre de cuisine et nécessitent peu d'équipement. Huiles, argile, fruits, légumes, fines herbes, les matières premières utilisées sont non seulement faciles à se procurer, mais la plupart sont comestibles. Des recettes testées et des produits approuvés par de nombreux utilisateurs pour des résultats dignes des pros, sans une liste interminable d'ingrédients synthétiques.
Crème multi-active, régénérante ou liftante, soin anti-âge ou repulpeur de lèvres, l´industrie des cosmétiques nous promet mer et monde à des prix souvent très onéreux... Pour être séduisantes, les promesses de l´industrie le sont, mais peut-on vraiment y croire? Et que penser du véritable cocktail de substances chimiques qui les compose? Joue-t-on à l´apprenti sorcier en se badigeonnant de crème dont l´innocuité est loin d´être prouvée?
Préparer ses cosmétiques à la maison avec des ingrédients courants et faciles à se procurer, c´est le pari fait par l´auteure dans Cuisiner les cosmétiques chez soi. Ingrédients, méthodes de fabrication, matériel, trucs et conseils, tout ce que vous devez savoir pour confectionner vos cosmétiques à la maison.
Un tour d´horizon des principaux produits à éviter dans nos cosmétiques.
Plus de 100 recettes pour cuisiner ses cosmétiques à la maison.
Des trucs et des conseils pour prendre soin de soi au naturel.
Sylvie Fortin a déjà publié quelques nouvelles dans des revues littéraires québécoises. Elle nous offre ici un recueil de courts textes de fiction un peu baroques, voire inclassables, qui parlent d'oeufs et de désir bafoué, d'écriture et de débordements culinaires, de revanche et de gastronomie nouvelle : une histoire de victime et de bourreau où les rôles s'inversent, en effet, mais également une réflexion sur la littérature, sur une société à peine sortie de l'obscurantisme, toujours à cheval sur deux cultures et encore à la recherche de son identité. L'univers de l'auteure est particulier, certes, mais peut-être pas aussi sombre qu'il en a l'air.
Que représente la santé et comment se vit-elle aujourd'hui dans la pratique de la danse, un art qui invite à une dévotion " corps et âme "oe des auteurs de divers pays invitent le lecteur à découvrir divers points de vue sur les rapports au corps et à la santé en danse professionnelle contemporaine.
Déboulonnant au passage certains clichés, levant le voile sur des tabous, révélant de saisissantes réalités, ce livre offre des façons plurielles de regarder la danse et de lire sa santé. il s'adresse donc aux danseurs, créateurs, répétiteurs, étudiants, enseignants, chercheurs, spectateurs, thérapeutes et journalistes en danse mais aussi, plus généralement, à tous les acteurs appartenant aux différents milieux des arts de la scène qui se trouvent confrontés aux défis que pose la rencontre entre l'art, le corps et la santé.
Les progrès de la médecine, la complexification des maladies et l'ensemble des biotechnologies interpellent cliniciens, chercheurs et, bien entendu, ceux qui vivent ces situations de vie au quotidien.
La santé et la médecine sont modifiées par ces progrès qui, tout en offrant des avancées spectaculaires, posent des défis nouveaux, en particulier lorsqu'une fin de vie se profile.
Les moments de fin de vie ont toujours revêtu un caractère symbolique particulier.
Les rituels et croyances qui y sont associés sont des thèmes chers en sciences humaines et sociales.
Or, le décès en milieu hospitalier interpelle différemment ce rituel de passage où le « savoir mourir » est à apprivoiser.
Savoirs faire et savoirs être, réflexions éthiques, médicales, philosophiques et anthropologiques se rencontrent dans cet ouvrage où professionnels de la santé et chercheurs en sciences sociales étayent ce sujet sensible.
Destiné à tous - parents, chercheurs, intervenants sociaux et professionnels de la santé -, il propose un éventail de voix évoquant de manière originale et complémentaire le thème du mourir à l'ère biotechnologique.
Ces voix abordent notamment les profondes interrogations sur l'arrêt de traitements actifs et les réflexions qui en découlent, nourries à la fois des écrits, du ressenti et des expériences des cliniciens et des chercheurs.
Ensemble, ces contributions appellent à une pratique médicale réflexive, informée et centrée sur l'humain.
De quelles manières les arts visuels, la danse, la musique et le théâtre peuvent-ils concourir au rétablissement et à l'inclusion sociale de personnes marginalisées qui vivent ou qui ont vécu l'itinérance, et qui composent avec des difficultés importantes de santé mentale, de toxicomanie et de pauvreté ? Dans le contexte d'une recherche d'une durée de trois ans, des ateliers d'art impliquant une activation corporelle, un engagement de l'imaginaire, une stimulation cogni- tive et des interactions sociales ont été organisés en partenariat avec des milieux communautaires et de soins. La recherche est devenue un véritable projet collaboratif entre des artistes pédagogues de ces quatre disciplines, des médecins spécialisés en psychiatrie urbaine et médecine des toxicomanies, des partenaires communautaires des milieux de l'itinérance et de la toxicomanie et des professeures-chercheures en art.
L'ouvrage pose un regard inédit sur les approches artistiques et pédagogiques déployées par des artistes pédagogues en complémentarité avec les approches psychosociales et médicales. Conjuguant savoirs pratiques et théoriques, il offre une vision singulière du rôle que l'art peut jouer en soutien au rétablissement de personnes désaffiliées socialement et en rupture de sens.
Adoptant une perspective multidisciplinaire et intersectorielle sur la contribution de l'art au rétablissement et à l'inclusion sociale de personnes marginalisées, l'ouvrage s'adresse à un public large provenant du domaine des arts, de la médiation culturelle, des sciences humaines et de la santé, intéressé par une réflexion unique sur la complémentarité entre l'art, le rétablissement et la communauté.