Le livre le plus célèbre de Freud, cinq conférences prononcées par Freud en 1909, lors de son voyage aux Etats-Unis, devant un public de non-spécialistes.
On y trouve un récit simple et vivant des origines de la psychanalyse inventée par l'hystérique Anna O., mais aussi une introduction aux problèmes centraux : la sexualité infantile, l'interprétation des rêves, le complexe d'OEdipe. Freud conclut sur la nature des névroses et le refuge dans la maladie. Les Cinq leçons sur la psychanalyse sont suivies de Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique, où Freud retrace les débuts difficiles de la psychanalyse et les résistances qu'elle rencontra.
L'illusion à laquelle Freud s'attaque ici est la religion. Selon le père de la psychanalyse, nous avons créé les dieux, la Providence et la morale divine pour répondre au désir archaïque et infantile d'être rassurés - contre l'incompréhensibilité du monde, l'angoisse de la mort et la violence des rapports humains. Toutefois, la religion n'a rendu les hommes ni plus moraux ni plus heureux. Pour Freud, elle a fait son temps : grâce à la science, l'humanité va sortir de l'enfance, et l'illusion s'écroulera.
Mais sur quoi fonder alors la moralité ? En privant l'homme des croyances religieuses, ne risque-t-on pas de basculer dans le chaos ? Enfin, la science n'apparaît-elle pas elle-même comme un nouvel objet de croyance ?
Alors que, 70 ans après sa mort, les textes de Freud tombent dans le domaine public, les éditions du Seuil ont entrepris de retraduire les plus grands d'entre eux. Sous la direction de Jean-Pierre Lefebvre, ces nouvelles traductions, par leur parti-pris de lisibilité, s'adressent à l'honnête homme et non aux seuls psychanalystes. Livre monument qui n'a d'équivalent dans l'histoire de la pensée occidentale que Le Capital de Marx, L'Origine des espèces de Darwin ou La Phénoménologie de l'esprit de Hegel, L'Interprétation du rêve est LE livre de Freud.
Il connut huit éditions successives entre 1900 et 1930, chacune enrichie des lectures qu'en firent les interlocuteurs de Freud. Somme théorique, consacré à un phénomène psychique universel, il ouvrit la voie à des pratiques thérapeutiques fondées sur la parole échangée avec les patients. Ainsi naquit la psychanalyse. La présente édition s'imposera à n'en pas douter comme l'édition de référence, tant la traduction française aujourd'hui disponible (aux PUF) est décriée pour son peu de lisibilité.
«Il faut bien que la sorcière s'en mêle.» C'est ainsi que Freud, citant dans un de ses derniers écrits le Faust de Goethe, désigne la métapsychologie, et il ajoute : «Sans spéculer ni théoriser - pour un peu j'aurais dit fantasmer - on n'avance pas d'un pas.»La sorcière métapsychologie, Freud n'a cessé de la convoquer. Mais, en 1915, parvenu au milieu de son trajet, il éprouve le besoin de préciser et de cerner les concepts fondamentaux de la psychanalyse laissés jusqu'alors dans une relative et féconde indétermination. D'ou cette série d'essais portant sur l'inconscient, le refoulement, la pulsion, l'objet perdu (sur l'exemple du deuil et de la mélancolie), la régression (à propos du désir de dormir et de rêver). Autant de textes capitaux où la densité va de pair avec la clarté de l'expression et qui sont à chaque fois l'occasion d'une lecture neuve. Ici la distinction rebattue entre théorie et clinique vole en éclats. C'est que la psychanalyse est d'abord une épreuve de la pensée, une mise à l'épreuve de nos convictions, à commencer par celles héritées de la psychologie.
À la fin de 1899 mais daté de 1900 comme pour marquer un nouveau siècle paraît Die Traumdeutung : c'est le livre du rêve jusque dans sa composition baroque, foisonnante. Un an plus tard paraît ce petit livre-ci, commandé par un éditeur, et dont le propos est bien différent : cette fois, c'est un exposé sur le rêve et qui revêt une forme plus classique, parfois didactique. Comme l'indique Didier Anzieu dans sa préface, la Traumdeutung constituait et constitue toujours une initiation à l'inconscient. Sur le rêve, lui, introduit à la psychanalyse. Y sont énoncés les résultats acquis par une science alors toute nouvelle. Si l'objet est ici le rêve, Freud n'entend pas pour autant lui conférer une valeur exceptionnelle. Au contraire il se déprend et déprend tout au long son lecteur d'une «surestimation», romantique ou mystique, qui ferait du rêve le lieu de quelque ascension de l'âme vers l'inconnu. Aussi porte-t-il principalement son attention sur les procédés du «travail du rêve» en les illustrant par de nombreux exemples et en nous engageant à les retrouver à l'oeuvre dans d'autres productions de l'inconscient. Sur le rêve, oui, mais surtout pour l'analyse, pour une méthode.
Sommes-nous faits pour le bonheur ? À lire cet essai de 1929 que Freud intitula d'abord Le Bonheur et la civilisation, puis Le Malheur dans la civilisation, avant de s'en tenir à Malaise dans la civilisation, on peut en douter, notre existence étant plutôt caractérisée, selon lui, par la violence, la souffrance et l'insatisfaction. Utilisant la théorie des pulsions élaborée dix ans plus tôt dans Au-delà du principe de plaisir (PBP n° 761), Freud explique pourquoi l'agressivité, l'hostilité et la cruauté sont inhérentes au genre humain, il dégage ce qui les relie au plaisir et à l'amour, et il montre à quelles conditions la culture permet de contrôler les pulsions de mort. Un livre terriblement actuel sur la violence dans notre société, mais aussi sur l'égoïsme et l'altruisme, le sentiment de culpabilité et la conscience morale, la possibilité même de liberté individuelle.
« Cela ne cesse de me faire une impression singulière de voir que les histoires de malades que j'écris se lisent comme des nouvelles ».
La psychanalyse repose, à ses débuts, sur cinq cas célèbres : Dora, Le Petit Hans, L'Homme aux rats, Le Président Schreber, et L'Homme aux loups. Une jeune fille manipulée et abusée par son père, un garçon pris de panique à la vue des chevaux, un jeune homme obsédé par un horrible supplice chinois, un respectable magistrat se disant persécuté par Dieu, un Russe bipolaire aux étranges hallucinations... Chacun incarne une notion clé : l'hystérie, la phobie, l'obsession, la castration, la paranoïa. Freud les a regroupés dans ce livre publié d'abord en 1935 chez Denoël et qui, depuis lors, a marqué, charmé et inspiré des générations de thérapeutes et d'étudiants grâce à sa puissance narrative.
« La question cruciale pour le genre humain me semble être de savoir si et dans quelle mesure l'évolution de sa civilisation parviendra à venir à bout des perturbations de la vie collective par l'agressivité des hommes et leur pulsion d'autodestruction. Sous ce rapport, peut-être que précisément l'époque actuelle mérite un intérêt particulier. Les hommes sont arrivés maintenant à un tel degré de maîtrise des forces de la nature qu'avec l'aide de celles-ci il leur est facile de s'exterminer les uns les autres jusqu'au dernier. Ils le savent, d'où une bonne part de leur inquiétude actuelle, de leur malheur, de leur angoisse. Il faut dès lors espérer que l'autre des deux «puissances célestes», l'éros éternel, fera un effort pour l'emporter dans le combat contre son non moins immortel adversaire. Mais qui peut prédire le succès et l'issue ? » Sigmund Freud
Le Malaise dans la culture, publié en 1930, est le seul véritable exposé de la conception de la réalité sociale et de la philosophie politique de Freud.
Son diagnostic en a troublé plus d'un : la culture s'efforce d'endiguer l'irréductible agressivité humaine sans jamais remporter de victoire décisive. On a voulu y voir la preuve du pessimisme d'un vieil homme rongé par la maladie et rattrapé par l'histoire. Bien au contraire, en leur montrant qu'ils n'ont rien à attendre d'un retour à la « nature », d'une société sans classes ou encore d'un paradis régi par les lois du marché, Freud délivre les hommes de leur dernière chaîne, celle qui les liait à la croyance et à l'espoir, et les fait entrer dans le royaume de la liberté où l'illusion n'a plus cours.
On croit bien souvent connaître les concepts freudiens sans avoir lu Freud. Pourtant, cette pensée exigeante s'oppose à toute compréhension succincte.
Quelle est la signification initiale des textes de Freud ? Qu'a-t-il réellement « dit » ? Le retour à la lettre du texte freudien s'impose comme une évidence. Freud à la lettre a l'ambition de proposer une lecture de Freud au plus près de sa pensée. Expliquer Freud par Freud, éclairer son oeuvre par elle-même, tel est le principe directeur qui guide cette collection.
La collection présente des textes courts et fondateurs de la pensée freudienne. Pour chaque ouvrage, le lecteur retrouvera systématiquement : le texte traduit ; le commentaire paragraphe par paragraphe ; la genèse du concept ; une contextualisation du texte au sein de l'oeuvre de Freud ; une explication des concepts ; une bibliographie autour du concept ; un glossaire. Un tel travail s'accompagne nécessairement d'une attention fine portée à la traduction du texte original allemand.
Après deux premiers ouvrages consacrés respectivement au Narcissisme et à la Sexualtité féminine, la collection se poursuit avec ce troisième titre.
Très tôt Freud se soucie de montrer que l'inconscient est à l'oeuvre chez tout un chacun et pas seulement chez les névrosés. Nous rêvons tous, mais le rêve est asocial et il est un produit de la nuit. Nous commettons, en public, des lapsus troublants, des gestes intempestifs. Des mots et des noms, que nous connaissons bien pourtant, nous échappent. Ce sont ces phénomènes marginaux que Freud analyse en détail ici, multipliant au fil des ans et des éditions, tel un collectionneur gourmand, les exemples. En ceux-là, il voit autant de preuves du bien-fondé de sa thèse qui veut que dans ces méprises, ces défaillances de la fonction, se manifeste un désir refoulé venu contredire l'intention consciente.
Emblème de la psychanalyse, l'inconscient psychique est cette part cachée de nous-mêmes, rebelle à toute observation directe, qui ne se révèle qu'à travers ses effets au quotidien (rêves, actes manqués, symptômes). Freud en dégage les lois dans cet essai capital de 1915 qui annonce la future thématique du moi, du ça et du surmoi. Notre inconscient est-il seulement composé de ce que nous refoulons ? Quels rôles nos pulsions y jouent-elles ? Existe-t-il des sentiments, des émotions, des affects inconscients ? Pourquoi l'inconscient prend-il sans arrêt de nouvelles formes ?
En plaçant l'ensemble des essais ici recueillis sous le titre du plus célèbre d'entre eux, nous croyons être fidèles à l'esprit qui les anime comme à l'objet même de la psychanalyse:l'ouverture à l'Unheimliche, à ce qui n'appartient pas à la maison et pourtant y demeure.Cette édition reprend dans une traduction nouvelle et annotée, qui devrait être l'occasion d'une lecture neuve, les textes qui figuraient jusqu'alors dans les Essais de psychanalyse appliquée. Ils apparaissent ici, augmentés d'une étude sur l'humour, dans l'ordre chronologique de leur publication.
Pourquoi certains hommes ne sont-ils excités que par des femmes déjà « prises » et ayant « une réputation sexuelle sulfureuse » ? Comment expliquer l'impuissance masculine ? Quel est l'enjeu symbolique du premier rapport sexuel ? Entre 1910 et 1918, Freud publia trois textes - « Un type particulier de choix d'objet chez l'homme » (1910), « Du rabaissement le plus commun de la vie amoureuse » (1912) et « Le tabou de la virginité » (1918) - qu'il finit par regrouper sous l'appellation de « Contributions à la psychologie de la vie amoureuse ». Ces textes éclairent plusieurs aspects fondamentaux de notre sexualité : la jalousie, les fantasmes sexuels, la peur inconsciente que la sexualité féminine suscite chez les hommes, le rôle de la tendresse et de la sensualité, l'hostilité de certaines femmes envers les hommes, ou encore le complexe d'OEdipe, qui apparaît ici pour la première fois sous la plume de Freud.
«Devant le fait que les penchants sexuels étaient largement répandus, l'idée s'imposa à nous que la prédisposition aux perversions était la prédisposition originelle et universelle de la pulsion sexuelle humaine, à partir de laquelle le comportement sexuel normal se développait au cours de la maturation sous l'effet de modifications organiques et d'inihibitions psychiques. Nous espérions dégager la prédisposition originelle dans l'enfance; parmi les forces qui délimitent l'orientation de la pulsion sexuelle, nous avons mis en évidence la pudeur, le dégoût, la compassion et les constructions sociales de la morale et de l'autorité. C'est ainsi que nous avons été amenés à voir dans chaque déviation fixée de la vie sexuelle normale une part d'inhibition du développement et d'infantilisme.»Sigmund Freud.
Le Moi et le Ça, paru en 1923, est la clé de voûte de ce qu'on appelle la « seconde topique » chez Freud. À l'empilement pyramidal de l'inconscient, du pré-conscient et du conscient (première « topique » de la psychanalyse) succède une conception du système psychique plus fluide, interactive et dialectique, dans laquelle le Moi s'avère très lié à l'inconscient, lequel ne coïncide plus avec le refoulé.
Freud complète cette réorganisation par la mise en évidence d'une instance qualifiée de « Surmoi », qui prend le relai de l'idéal du Moi mis en évidence dans les travaux antérieurs sur le narcissisme. Tout le champ du travail psychanalytique est remanié, les conflits à l'origine de la névrose sont redéfinis, la théorie de la libido est redéployée pour mieux intégrer la dualité (pas toujours contradictoire) des pulsions de vie et des pulsions de mort, qui avait été abordée pour la première fois dans Au-delà du principe de plaisir.
Freud avait un faible pour les histoires de «marieurs» dont on trouvera plusieurs échantillons savoureux dans ce livre. C'est que le Witz - le mot ou le trait d'esprit - met en rapport des choses et des pensées hétérogènes : il les condense, il les combine ou, mieux, il les marie, le plus souvent dans une mésalliance qui déclenche le rire de l'auditeur et surprend même celui qui l'énonce. Le Witz réussi a la fulgurance de l'éclair.Le mot d'esprit est ici analysé, dans sa technique et dans ses visées, comme le furent, quelques années plus tôt, le rêve et les actes manqués. C'est qu'il est comme eux, aux yeux de Freud, une formation de l'inconscient plus qu'une production volontaire.Le mot d'esprit ou l'esprit des mots.
Sous le titre Essais de psychanalyse sont regroupés quatre textes de Freud d'une importance centrale dans son oeuvre : « Considérations actuelles sur la guerre et sur la mort »» (1915), « Au-delà du principe de plaisir » (1920), « Psychologie des foules et analyse du Moi » (1921), « Le Moi et le Ça » (1923).
Cet ensemble permet de pénétrer au coeur même de la théorie psychanalytique des organisations sociales et d'appréhender les principes de la « seconde topique » freudienne (moi, ça, surmoi).
On y retrouve la réinterprétation de la civilisation engagée par Freud dans Totem et Tabou et les concepts fondamentaux de la nouvelle métapsychologie.
« «L'homme est un loup pour l'homme» ; qui donc, d'après toutes les expériences de la vie et de l'histoire, a le courage de contester cette maxime ? » « Sombre tableau, Malaise a la couleur de son temps ; la haine, l'agression, l'auto-anéantissement en donnent le ton psychanalytique. Sinistre présage, Freud dépose son manuscrit chez l'imprimeur en novembre 1929, tout juste une semaine après le «mardi noir» de Wall Street (29 octobre). Les derniers mots de la première édition conservaient malgré tout un vague espoir dans les effets de l'«Eros éternel», le grand rassembleur. Un an plus tard, lors de la seconde édition - les 12 000 premiers exemplaires ont été rapidement vendus, Freud est devenu un homme célèbre -, la dernière phrase ajoutée assombrit la perspective : entre les deux adversaires, Eros et la pulsion de mort, «qui peut présumer du succès et de l'issue ?» » (Extrait de la préface).
Au-delà du principe de plaisir, paru en 1920, est un texte majeur de la littérature psychanalytique. Freud y remanie profondément le dispositif conceptuel dans lequel s'était développée la psychanalyse depuis l'origine. Le premier dispositif reposait sur une théorie des pulsions où un rôle essentiel était dévolu au principe de plaisir, selon lequel l'appareil psychique tend à réduire à un niveau aussi bas et constant que possible les tensions causes de déplaisir, d'étiologie principalement sexuelle. Dans le présent essai, une pulsion étrangère à l'économie du plaisir - la pulsion de mort - entre en concurrence avec elle, ce qui conduira, dans un ouvrage ultérieur (Le Moi et le Ça), à une réorganisation du dispositif psychique, dite « seconde topique ».
Freud s'attache ici principalement à mettre en évidence l'existence de cette pulsion de mort et à définir son rapport aux pulsions de vie, à réinstaller ses analyses antérieures dans un horizon nouveau, qui implique cependant un retour et un détour systématiques par les hypothèses neurologiques de ses premières approches de la souffrance psychique.
A partir de 6 cas cliniques, dont celui de sa propre fille Anna, Freud montre comment les enfants ont des fantasmes. Un texte célèbre dont Lacan s'est emparé pour élaboré son approche de l'angoisse.
Comment devient-on névrosé ? Qu'est-ce qui plonge un être dans la psychose ? Comment s'y prend-on, dans un monde de conflits permanents, pour rester normal ? Deux textes de Freud en 1924 (" Névrose et psychose ", et " La perte de la réalité dans la névrose et la psychose ") et un essai de Ferenczi qui montrent que les " anormaux " ont tenté de trouver des solutions, certes dysfonctionnelles, à des problèmes profondément humains, et, par-delà, qui pointent le pouvoir démesuré, aujourd'hui, des laboratoires pharmaceutiques.
Mémoire et répétition : ce nouveau recueil de Freud traite de deux thèmes centraux à la psychanalyse. Pourquoi répétons-nous toujours les mêmes erreurs, les mêmes actes ? Comment cette même compulsion à la répétition peut-elle nous permettre de sortir de ce cercle vicieux qu'elle semble pourtant dessiner ? Ce recueil complète «Anna O.» et contient notamment le célèbre essai « Remémoration, répétition, perlaboration » (1914), ainsi que « Sur les souvenirs-écrans » (1899) et « Note sur le "bloc magique" » (1925).
Dans ces conférences où Freud prouve une fois de plus son talent à exposer ses idées, nous sommes guidés au coeur de la révolution psychanalytique : le moi n'est pas maître chez lui. Rien d'obscur ou de désincarné ici, mais le mouvement même de la psychanalyse, les phénomènes qu'elle prend en compte (rêves, lapsus, symptômes), les problèmes majeurs qu'elle aborde (interprétation des rêves ou théorie de la névrose), et les notions qu'elle a forgées (libido, transfert, inconscient, etc.).