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Le nouvel Hollywood ; coppola lucas scorsese spielberg... ; la revolution d'une generation
Peter Biskind
- Cherche Midi
- Documents
- 26 Août 2002
- 9782862748924
Avec l'étonnant succès d'easy rider, film de bikers à petit budget, en 1969, un nouvel hollywood est né.
Une génération de jeunes metteurs en scène, nommés coppola, scorsese, lucas, spielberg, s'est engouffrée dans la faille et a commencé à tourner avec des acteurs encore inconnus, robert de niro, al pacino ou encore jack nicholson.
En quelques années ils sont devenus les nouveaux nababs d'hollywood et ont réalisé des films tels que le parrain, taxi driver, les dents de la mer, l'exorciste ou apocalypse now.
C'est l'épopée de ces jeunes loups de la génération " sex, drugs and rock'n roll " que retrace cet ouvrage en suivant, au quotidien, la genèse de leurs films et leurs luttes contre l'establishment. nous voyons évoluer ici toutes ces grandes figures du cinéma sous un jour totalement inédit, dans un monde où l'art, l'argent et la drogue ont donné libre cours aux excès les plus extravagants et les plus inattendus.
à partir de centaines d'heures d'entretiens avec les protagonistes eux-mêmes, avec les producteurs, les agents, les scénaristes, les amis, les épouses ou les maîtresses, cet ouvrage nous offre le portrait sauvage du dernier grand âge d'or d'hollywood.
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Après Le Nouvel Hollywood et Sexe, mensonges et Hollywood, Peter Biskind nous offre un nouveau voyage dans le cinéma américain dont il est, depuis plus de trois décennies, l'un des observateurs les plus passionnés. A travers une série de chroniques écrites au fil des ans, il nous livre une galerie de portraits aussi incisifs que pertinents, de quelques-unes des grandes figures qui ont marqué leur époque (Martin Scorcese, Terence Malick, Woody Allen, Clint Eastwood, Don Simpson, Harvey Weinstein, etc. ). Surtout, il décrypte avec le talent qu'on lui connaît les rapports inavoués entre cinéma, politique et société, depuis la Liste Noire jusqu'à aujourd'hui, en passant par la grande époque de la contre-culture. Sous cet angle, il nous offre une vision complètement inédite de nombre de grands films tels Le Parrain, Voyage au bout de l'enfer, La Guerre des étoiles ou encore Indiana Jones et la dernière croisade. Un must.
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Après le succès public et médiatique du Nouvel Hollywood, consacré au cinéma des années 70, le nouveau livre de Peter Biskind traite, dans un ton tout aussi décapant, des figures et des moeurs du cinéma hollywoodien des deux dernières décennies.
Prenant pour fil rouge le festival de Sundance, créé par Robert Redford, et la maison de production des frères Weinstein, Miramax, Peter Biskind s'attaque ici à un nouveau mythe : le cinéma indépendant.
À partir de centaines d'heures d'entretiens et de confidences avec ses principaux protagonistes, d'anecdotes plus délirantes les unes que les autres, il lève le voile sur un monde shakespearien plus haut en couleur encore que la plupart de ses productions.
Avec des portraits aussi mordants que réalistes de figures comme Quentin Tarantino, Steven Soderbergh, Martin Scorcese, la genèse tumultueuse de films aussi célèbres que Sexe Mensonge et Vidéo, Pulp Fiction ou encore Gangs of New York, il nous offre le plus explosif des scénarios : celui du Hollywood d'aujourd'hui.
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Il était une fois Hollywood, dirigé par des producteurs tout-puissants. En 1969, une autre révolution se profile : Scorsese, Lucas, Coppola, filment de Niro, Al Pacino et Nicholson. Sex, drugs, rock'n'roll et caméras: le Nouvel Hollywood est né. Au micro de Peter Biskind, producteurs, agents, scénaristes, épouses et maîtresses racontent l'histoire fulgurante d'un âge d'or de la contre-culture.
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En tête à tête avec Orson
Henry Jaglom, Peter Biskind, Orson Welles
- Robert Laffont
- 9 Avril 2015
- 9782221141533
Orson Welles est né il y a cent ans, le 6 mai 1915, dans une famille aisée du Wisconsin qui lui assura depuis tout petit la fréquentation d'une société d'artistes et d'intellectuels. Enfant prodige, il monte ses premières pièces élizabéthaines à 14 ans. Il n'a que 23 ans lorsqu'est diffusée sur les ondes sa fameuse émission « La Guerre des mondes » qui lui ouvre les portes de Hollywood, et 25 ans lorsqu'il réalise son chef-d'oeuvre : Citizen Kane. Après de tels débuts, un personnage aussi génial et monstrueux qu'Orson Welles ne pouvait être que déçu par le système. Il séduit les plus belles femmes de Hollywood, voyage dans le monde entier, mais, après les années dorées, ses projets cinématographiques ne seront pour la plupart jamais achevés et il jouera, pour l'argent, dans des séries B et des publicités pour la télévision.
C'est le bilan de cette incroyable vie que va raconter Orson Welles, de 1983 à 1985, à Henry Jaglom, réalisateur et ami très proche du cinéaste, en déjeunant chaque semaine avec lui au restaurant Ma Maison, à Hollywood. À partir de ces entretiens, il avait l'intention d'écrire son autobiographie. Mais Welles est mort avant d'avoir achevé ce travail, et les enregistrements audio de ces déjeuners sont restés au fond d'une boîte à chaussures pendant vingt-cinq ans. C'est face à la patience et à l'opiniâtreté de Peter Biskind, l'auteur du Nouvel Hollywood, que Jaglom a fini par accepter de confier ces cassettes et de publier leur contenu.
Ces conversations à bâtons rompus, fréquemment perturbées par des personnalités venant saluer les deux hommes ou des considérations sur le menu, brosse une peinture très réaliste de l'homme excessif qu'était Orson Welles : un provocateur pouvant tenir les pires propos sur les femmes (« une autre race »), sur les Irlandais ou les Hongrois, sur les Juifs, le catholicisme, la politique et la France (« De Gaulle était très prétentieux ! »), et bien sûr sur les acteurs (Chaplin est « arrogant », Bette Davis a un physique « repoussant » et James Stewart est « très mauvais acteur »)., mais également un homme d'esprit, lucide sur son génie et son sale caractère, désabusé par l'industrie du cinéma, un séducteur passionné par Montaigne.