Cet ouvrage fait référence dans l'univers de la Franc-maçonnerie et a été lu par des centaines de milliers de Francs-maçons depuis plus d'un siècle.
Ce manuel enseigne à penser, donc à faire l'effort personnel qui conduit à l'élaboration de la vérité. Celle-ci n'est jamais révélée à l'initié, dont la mission consiste à découvrir par lui-même les secrets qui l'intéressent.
Le tarot, science divinatoire la plus célèbre et la plus controversée, a fait l'objet de nombreux écrits, mais l'ouvrage qui demeure une référence est bien celui d'Oswald Wirth. Graphiste et écrivain talentueux, il a reconstitué les 22 lames majeures du tarot, et en a donné les explications symboliques et l'utilisation divinatoire.
Pour cela, il puise aux sources de l'Hermétisme, de la Kabbale ainsi qu'auprès des artistes et des imagiers du Moyen Âge qui nous ont laissé en héritage leur imaginaire dans les cathédrales.
La première partie du livre est consacrée au tarot dans son ensemble (origines, indices révélateurs des secrets du tarot, le tarot kabbalistique, astronomique, le symbolisme des nombres, des formes et des couleurs).
La deuxième partie est consacrée au symbolisme des "22 clefs de la Sapience secrète du Moyen Âge".
Le lecteur, largement initié par les explications qui lui ont été fournies précédemment, peut s'atteler à la découverte des cartes. Chacun des 22 arcanes est étudié séparément ; ainsi guidés, nous sommes conviés par l'auteur à nous libérer de l'emprise de pensées toutes faites, à entamer une réflexion personnelle et à acquérir des idées que nous ne devrons qu'à nous-mêmes.
La troisième partie traite de la divination reposant à la fois sur la connaissance, l'imagination et l'intuition.
Enfin, un appendice donne des indications sur le symbolisme des pentacles qui accompagnent le texte.
Le présent manuel ne prétend rien inculquer : ce n'est pas un livre de classe oú l'élève apprend sa leçon en vue de pouvoir la réciter correctement.
L'initiation enseigne à penser, donc à faire l'effort personnel qui conduit à l'élaboration de la vérité. celle-ci n'est jamais révélée à l'initié, dont la mission consiste à découvrir par lui-même les secrets qui l'intéressent. l'art auquel il s'adonne veut qu'il sache construire selon ses convenances personnelles l'édifice de ses propres convictions. toute liberté lui est laissée à cet égard, pourvu qu'il construise solidement, avec des matériaux judicieusement choisis, car toute pierre n'est pas acceptable par le constructeur, qui doit éprouver, au point de vue de la cohésion, le grain de tout bloc qu'il met en oeuvre.
Il en va de même dans le domaine des idées, oú nulle conception ne doit être acceptée sans examen.
Le présent manuel ne prétend rien inculquer : ce n'est pas un livre de classe oú l'élève apprend sa leçon en vue de pouvoir la réciter correctement.
L'initiation enseigne à penser, donc à faire l'effort personnel qui conduit à l'élaboration de la vérité. celle-ci n'est jamais révélée à l'initié, dont la mission consiste à découvrir par lui-même les secrets qui l'intéressent. l'art auquel il s'adonne veut qu'il sache construire selon ses convenances personnelles l'édifice de ses propres convictions. toute liberté lui est laissée à cet égard, pourvu qu'il construise solidement, avec des matériaux judicieusement choisis, car toute pierre n'est pas acceptable par le constructeur, qui doit éprouver, au point de vue de la cohésion, le grain de tout bloc qu'il met en oeuvre.
Il en va de même dans le domaine des idées, oú nulle conception ne doit être acceptée sans examen.
Oswald Wirth est à la source du renouveau des études symboliques et traditionnelles à la Grande Loge de France et dans la maçonnerie française en générale.
En ce sens, son oeuvre fut fondamentale et ses ouvrages sont toujours lus par des milliers de francs-maçons. Pour Oswald Wirth, la suite des opérations alchimiques et la succession des épreuves qu'ont à subir les francs-maçons repose sur une même symbolique. Les mêmes données initiatiques se traduisent par des allégories empruntées, les unes à la métallurgie, les autres à l'art de bâtir : l'abandon des métaux à la porte du Temple correspond à la suppression de toute impureté sur la Matière, le cabinet de reflexion à l'oeuf philosophale hermétiquement fermé, etc.
Pour lui, on peut comparer ce programme symbolique à celui du grade de Maître maçon qui est l'aboutissement de la véritable initiation maçonnique. La franc-maçonnerie n'est, de ce point de vue, qu'une transposition de l'alchimie. La transmutation des métaux, c'est la transformation de l'homme " ignorant " en homme " instruit ". L' " or potable " que l'on cherche à produire symboliquement, c'est la perfection humaine.
C'est cette alchimie-là que cultive Oswald Wirth, en ne l'envisageant pas comme un but, mais comme un puissant moyen d'arriver au discernement du Vrai conduisant à la réalisation du Bien.
Votre période d'apprentissage ayant été accomplie, vous avez été jugés capables de collaborer utilement au Grand oeuvre de la Construction universelle. Vous voici admis au nombre des Ouvriers sachant travailler : un ouvrage peut désormais vous être confié, vous ne manquerez pas de l'exécuter fidèlement, selon toutes les règles de notre Art.
Mais, pour être dignes de la confiance qui vous a été témoignée, il est indispensable que vous deveniez de véritables Compagnons.
Vous avez été élevés au suprême degré de la hiérarchie maçonnique : votre diplôme en fait foi. Mais êtes-vous Maîtres véritablement ? Répondre que certain rameau mystérieux vous est connu ne résout pas la question, car chacun peut retenir une formule rituélique et la répéter, sans en avoir saisi toute la portée.
Il n'y a du reste rien d'humiliant à confesser notre impuissance en face du mystère. Admis en Chambre du Milieu il y a neuf lustres, je ne puis me targuer de connaître l'Acacia. Comme vous, je suis, en réalité, resté Compagnon. Mes voyages n'ont pas pris fin et je travaille sans relâche à conquérir la Maîtrise, que je suis très loin de posséder.
Comment puis-je avoir alors la présomption de rédiger un Livre du Maître ?
Une prestigieuse civilisation florissait sur les rives de l'Euphrate à l'époque où, selon la tradition initiatique, la lumière nous est venue d'Orient. Elle semble être née sur place de la fertilité du sol qui fixa les tribus nomades. De vastes cités se formèrent, et, à l'abri de leurs remparts de briques, les arts et les sciences purent se développer.
De ces antiques foyers de culture intellectuelle rayonna une influence qui s'est propagée jusqu'à notre occident, si bien que nous devons une bonne part de notre formation mentale à la Mésopotamie.
Explorez au travers de cet ouvrage du début du XXème siècle le document le plus complet qui nous soit parvenu de cette Haute Antiquité, se rapportant à la Descente d'Ishtar aux enfers, poème de 138 vers faisant allusion à des mystères initiatiques pour le moins insondables et intemporels dont l'auteur tente ici de décrypter toute la richesse.
"Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu'à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu'il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d'une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté).
Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris.
Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de « rénovateur de l'occultisme », il lui devait, de son propre aveu, « d'écrire lisiblement ». Même s'il dénonçait ce qu'il nommait « le bas occultisme », Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d'apports hermétiques.
Bien que cette partie de son oeuvre soit à prendre avec précaution, la lecture des ouvrages d'Oswald Wirth est toujours passionnante et enrichissante."
"Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu'à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu'il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d'une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté).
Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris.
Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de « rénovateur de l'occultisme », il lui devait, de son propre aveu, « d'écrire lisiblement ». Même s'il dénonçait ce qu'il nommait « le bas occultisme », Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d'apports hermétiques. "
" La force de la maçonnerie réside en sa tradition.
Elle se rattache au passé vivant de l'initiation et prépare la revivification de ce que qui veut vivre en plus complète conscience que jusqu ici. L'occultisme éclaire-t-il en ce sens ? Vraisemblablement, mais à la condition d'être bien compris. Par malheur, ses adeptes se laissent éblouir par des ambitions mesquines. La conquête des pouvoirs occultes les pousse aux extravagances et quand ils parlent de Grand oeuvre, ils ne visent que la cuisine des souffleurs.
Que ne consentent-ils à entrer dans la voie de l'initiation traditionnelle ! J'espère que le lecteur, dans les présentes pages, voudra bien y puiser la conviction que le symbolisme maçonnique est une mine riche en un minerai dont l'esprit peut extraire le plus pur or philosophique. "
Clef de voûte de son oeuvre, Oswald Wirth nous propose avec Le Maître, rien de moins que la compréhension de ce langage sacré qui aide le disciple d'Hiram à transformer le symbole en réalité, se relever et trouver la parole de Vie. Les ténèbres extérieures ne prévaudront plus désormais sur la lumière intérieure.
Le grand livre de la nature, ou L'apocalypse philosophique et hermétique : ouvrage curieux, dans lequel on traite de la philosophie occulte, de l'intelligence des hiéroglyphes des anciens, de la Société des Frères de la Rose-Croix, de la transmutation des métaux et de la communication de l'homme avec des êtres supérieurs et intermédiaires entre lui et le Grand Architecte, vu par une Société de Ph... Inc... et publié par D... depuis I jusqu'à l'an 1790... (Nouvelle édition, revue et corrigée, augmentée d'une introduction) Date de l'édition originale : 1910 Collection : Bibliothèque des hautes sciences Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
"Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu'à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu'il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d'une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté).
Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris.
Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de « rénovateur de l'occultisme », il lui devait, de son propre aveu, « d'écrire lisiblement ». Même s'il dénonçait ce qu'il nommait « le bas occultisme », Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d'apports hermétiques.
Bien que cette partie de son oeuvre soit à prendre avec précaution, la lecture des ouvrages d'Oswald Wirth est toujours passionnante et enrichissante."
Cet ouvrage est une référence absolue dans la bibliothèque de la Franc-maçonnerie a été très largement diffusé auprès des Francs-maçons français depuis sa parution entre 1893 et 1922 pour chacun des trois volumes (I. L'Apprenti, II. Le Compagnon, III. Le Maître) ici réunis dans cette nouvelle édition en un seul et même ouvrage. La posture adoptée par Oswald Wirth est d'éviter le pédagogisme pour privilégier la pédagogie des apprentis et, plus largement, de tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à la Franc-maçonnerie. Ce n'est donc pas un livre réservé aux seuls initiés, bien au contraire : s'il est un guide pratique pour l'Apprenti qui souhaite être initié à la philosophie, la méthode, les rites et les symboles de la Franc-maçonnerie, il est aussi destiné au plus grand nombre de lecteur curieux de comprendre les différentes traditions des rites et des obédiences maçonniques.
Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu'à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu'il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d'une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté).
Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris. Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de " rénovateur de l'occultisme ", il lui devait, de son propre aveu, " d'écrire lisiblement ". Même s'il dénonçait ce qu'il nommait " le bas occultisme ", Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d'apports hermétiques.
À force de parcourir le monde en tous sens afin de s'instruire de tous les secrets de son Art, le Compagnon ne peut manquer d'acquérir une vaste expérience, propre à le conduire peu à peu aux portes de la maîtrise.
Dans ses bagages on trouvera certainement ce guide qui a servi de boussole à des générations de maçons, desplus humbles aux plus illustres.
Une prestigieuse civilisation florissait sur les rives de l'Euphrate à l'époque où, selon la tradition initiatique, la lumière nous est venue d'Orient. Elle semble être née sur place de la fertilité du sol qui fixa les tribus nomades. De vastes cités se formèrent, et, à l'abri de leurs remparts de briques, les arts et les sciences purent se développer. De ces antiques foyers de culture intellectuelle rayonna une influence qui s'est propagée jusqu'à notre occident, si bien que nous devons une bonne part de notre formation mentale à la Mésopotamie. Explorez au travers de cet ouvrage du début du XXème siècle le document le plus complet qui nous soit parvenu de cette Haute Antiquité, se rapportant à « la Descente d'Ishtar aux enfers », poème de 138 vers faisant allusion à des mystères initiatiques pour le moins insondables et intemporels dont l'auteur tente ici de décrypter toute la richesse.
L'art Royal désigne le savoir et la connaissance, c'est aussi l'art de la construction par excellence puisque le but est d'établir le temple, demeure de la divinité. L'Art Royal est donc avant tout un art, c'est à dire un savoir-faire, une mise en ?uvre, une pratique, non pas une théorie. Il est lié à la vie même, à la fonction humaine, au devoir d'être humain. C'est la première constatation, la première certitude. La seconde a trait à l'oeuvre, au chef-d'oeuvre. La caractéristique du chef-d'oeuvre, c'est d'aller au-delà de la simple fonctionnalité, d'être un ouvrage de transcendance, d'oeuvrer vers quelque chose de plus que l'objet dans sa seule fonction usuelle. L'Art Royal nécessite au moins deux conditions : premièrement, la pratique d'un savoir-faire spécifique, adaptée à chaque forme particulière. secondement, la capacité d'une transcendance liée à cette pratique. Mais de quelle pratique et de quelle transcendance parlons-nous ? Tout le monde n'est pas artiste, l'Art Royal est-il réservé à une élite ? La pratique de l'Art Royal sollicite la présence de l'homme, de l'être humain dans sa totalité, être de chair certes, mais être spirituel, l'un et l'autre formant ensemble une présence. Cette pratique exige de l'être un engagement sincère, une quête sans tricherie en vue de son accomplissement. C'est ce que l'auteur appel démarche initiatique et qu'il tente de nous expliquer dans ce livre. Au XVIIIe siècle l'Art Royal est devenu l'ensemble des connaissances symboliques contenues dans l'enseignement maçonnique. L'initié devient un Maître, un roi.