Bonne nouvelle : nous sommes entrés en pénurie ! Il va falloir désencombrer nos vies et vivre autrement. Faire beaucoup mieux avec beaucoup moins. Apprendre l'économie de la gratuité, l'autre économie. L'homme était jadis un adorateur d'idoles. Il aimait croire que le bonheur et la joie de vivre venaient de l'extérieur. Les religions, les idéologies, les sciences ou les richesses étaient ses planches de salut. Le matérialisme, le mercantilisme, le consumérisme, le capitalisme, étaient ses flambeaux ! Les pénuries profondes de notre siècle naissant commencent à lui exploser à la figure et le feu d'artifice ne fait que commencer... Épuisement annoncé des ressources énergétiques, gaspillage honteux, consommation effrénée et course insensée à la croissance ne sont que le reflet du vide existentiel de la vie de l'homme d'aujourd'hui. Les flambeaux d'hier deviennent des impasses et l'heure des désillusions a sonné. Faut-il pour autant engager la révolte ou inversement céder au découragement ? Marc Halévy nous invite à la réflexion et nous propose de passer à l'action !
L'homme est une erreur de la Nature, un animal inadapté à la vie sauvage qui n'a survécu que par l'émergence d'une faculté psychique originale : l'imagination, cette faculté qui lui permet de se représenter autre chose que ce qui existe autour de lui ou dans sa mémoire, de se figurer un monde qui n'existe pas, ou pas encore. Par l'imagination, il peut anticiper le danger à venir, l'esquiver ou le fuir. Mais par l'imagination, il peut aussi s'inventer d'autres mondes étrangers au monde réel faisant naître les utopies, les idéologies, les au-delàs, les arrières mondes. Ceci nous conduit à explorer les diverses formes de l'imaginaire : celui de la rêverie et du rêve, l'imaginaire artiste, l'imaginaire philosophique et scientifique, l'imaginaire religieux et mystique, l'imaginaire amoureux (et ses phantasmes), etc. Au fond, qu'est-ce que penser sinon imaginer des formes et des rapports, des assemblages et des fusions sur base de fragments de réel plus ou moins bien perçus par l'entremise de nos sens ? L'objet de ce livre est d'explorer les mystères des mondes imaginaires et des processus imaginatifs. Relever leur rapport avec la mémoire puisqu'il est impossible d'imaginer autre chose que des agrégats diversement organisés de choses déjà connues parce qu'elles ont été perçues ou conçues par le passé. Partons à la découverte de ce qui nous caractérise du reste de la Création...
Nous ne vivons pas une crise. Nous vivons bien plus que cela : une mutation profonde de toutes les références et normes socio-économiques. Cette grande révolution macroéconomique implique la réinvention de l'entreprise et du management ainsi qu'une révolution microéconomique qui fait l'objet du second tome de cette étude. À partir d'un modèle à cinq dimensions, l'auteur dessine les pratiques managériales qui devront accompagner cette mutation radicale. Pour éviter le chaos que tous ces changements pourraient induire, il propose de repenser de fond en comble le rôle du manager. Au bout de ce travail, macro et microéconomie seront remises en convergence dans leur dialectique profonde. Les entreprises et les marchés sont les deux faces d'une seule et même médaille. Ils se suscitent, se stimulent et s'inventent mutuellement. Les unes ne sont rien sans les autres ; et réciproquement.
Nous ne vivons pas une crise. Nous vivons bien plus que cela : une mutation profonde de toutes les références et normes socio-économiques. Cette grande révolution macroéconomique implique la réinvention de l'entreprise et du management ainsi qu'une révolution microéconomique qui fait l'objet du second tome de cette étude. À partir d'un modèle à cinq dimensions, l'auteur dessine les pratiques managériales qui devront accompagner cette mutation radicale. Pour éviter le chaos que tous ces changements pourraient induire, il propose de repenser de fond en comble le rôle du manager. Au bout de ce travail, macro et microéconomie seront remises en convergence dans leur dialectique profonde. Les entreprises et les marchés sont les deux faces d'une seule et même médaille. Ils se suscitent, se stimulent et s'inventent mutuellement. Les unes ne sont rien sans les autres ; et réciproquement.
La joie se construit. Elle n'est pas forcément notre humeur habituelle qui, naturellement, se teinte de soucis, de craintes, de peines. La joie de vivre est avant tout le fruit d'une volonté. Une question de regard. Une affaire d'état d'esprit. Au contraire du bonheur qui est reçu et du plaisir qui est volatil, la joie de vivre naît de l'accomplissement de soi. Elle est l'interface entre son dedans et son dehors. Mais que signifie et qu'implique l'accomplissement de soi ? Marc Halévy nous rappelle que le but de la philosophie est de nous aider à mieux vivre, c'est-à-dire à vivre dans la joie. Les moyens d'accéder à celle-ci ont changé selon les époques : pour les Grecs, c'était la sagesse ; pour les Romains, l'ordre ; pour les féodaux, le Salut ; pour les modernes, la liberté. La joie est le chemin véritable de celui qui explore tous les possibles. Voilà un essai intemporel débordant d'érudition, qui nourrit tous les niveaux de l'être, écrit par un savant philosophe.