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Prix
Machiavel
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Les grands textes du XVIe siècle.
« Pour bien connaître la nature du peuple, il faut être prince, et, pour bien connaître celle des princes, il faut être du peuple. » Cherchant à rentrer en grâce auprès des Médicis, ses maîtres, le haut fonctionnaire florentin Machiavel leur adresse ce livre qui définit, il y a tout juste cinq siècles, tous les principes de la « realpolitik ». Comment conquérir le pouvoir et le conserver ? Faut-il préserver les monarchies, et par quels moyens ? Faut-il s'appuyer sur la fortune et la force plutôt que sur la religion et la morale ? Dans quel but user de la propagande d'État ? Sans illusion sur la nature humaine, Machiavel, bien loin du machiavélisme qu'on lui prête, haïssait la tyrannie. Pragmatique, il était républicain de coeur, dans cette république de Florence confisquée par les nobles et les banquiers.
@ Disponible chez 12-21.
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE.
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«Il y a une étonnante franchise dans les préceptes machiavéliques. L'honnête homme parle volontiers de droit des peuples, de droit des gens ; en réalité, ces droits, il faut la contrainte pour qu'ils soient respectés ; et même avec la contrainte, la plupart du temps on les tourne. Dans les simples rapports de commerce, à chaque instant on a recours au contrat, à la signature ; on multiplie les marques de l'engagement, tant on sait que les engagements sont précaires. Quel est le niais qui se fierait à un engagement oral quand les engagements écrits mêmes sont loin d'être le roc sur lequel on peut bâtir ? Dans le social, le contrat n'a jamais cessé d'être tourné malgré toutes les protestations de bonne foi. Il y a même certitude de mauvaise foi dès qu'il y a affirmation répétée de bonne foi. Chez nous, un démenti confirme. C'est ici que Machiavel met une franchise d'acier. Dès que le contrat se discute, il déclare qu'il sera tourné et quand il se signe, il démontre que la signature ne vaut rien, n'engage rien de réel ; qu'on vient, somme toute, de perdre son temps. Il défend qu'on parle de bonne foi ; il empêche qu'on parle de bonne foi ; il a la loyauté de proclamer, avant que tous les débats ne commencent, qu'ils seront essentiellement présidés par la mauvaise foi. Il ne s'occupe que de la stricte vérité. C'est à ce titre qu'il est un écrivain moderne. Il cherche à savoir si l'homme peut être gouverné par l'homme. Il est donc logiquement amené à étudier l'homme. C'est également cette étude que nous pouvons faire avec lui.» Jean Giono.
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Ceux qui désirent acquérir la grâce d'un prince...
Machiavel
- Folio
- Folio Sagesses
- 17 Février 2017
- 9782072702525
Célèbre manuel consacré au pouvoir politique, Le Prince de Machiavel livre une réflexion moderne, accompagnée de conseils et d'exemples concrets, sur la conception et les arcanes du pouvoir, les moyens de le conquérir et de se maintenir aux plus hautes sphères de la société.
«Rien ne fait autant estimer un prince que ne le font les grandes entreprises et le fait de donner de soi des exemples exceptionnels».
Une méditation intemporelle sur les qualités essentielles, les devoirs et aussi les travers de l'homo politicus.
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"La" traduction, très attendue, d'un classique de la pensée militaire, présentée et annotée par l'un des meilleurs spécialistes de la littérature de la Renaissance.
En rédigeant son art de la guerre, Nicolas Machiavel entend donner aux princes italiens les moyens de défendre leurs Etats contre l'invasion française. A ses yeux, le salut se trouve dans un retour aux doctrines antiques, dans la filiation des premiers conquérants, tels Alexandre, Hannibal et César. Embrassant doctrine, histoire, tactique et stratégie, l'auteur livre le chef-d'oeuvre de l'« humanisme militaire ».
Jean-Yves Boriaud propose ici une nouvelle traduction et une présentation inédite de ce classique de la pensée militaire, lui rendant enfin son exceptionnelle modernité et autorisant Machiavel à rejoindre Sun Tzu et Clausewitz au panthéon des théoriciens intemporels du phénomène guerrier.
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C'est pour avoir confondu morale et politique que l'on a fait à Machiavel une réputation d'auteur cynique. À tort. Le Prince est un manuel de gouvernement, comme il existe des manuels d'équitation. Le but d'un bon cavalier est de rester en selle ; le but d'un prince est de garder le pouvoir, de ne pas se faire désarçonner par un rival ou par le peuple. Gouverner, c'est d'abord conserver ce pouvoir, « c'est mettre vos sujets hors d'état de vous nuire et même d'y penser ». Le devoir de prince n'est point de faire le bonheur du peuple ; d'ailleurs le peuple « ne demande rien, sinon de n'être point opprimé ».
Ce que Machiavel met à jour, c'est le mécanisme du pouvoir sous l'Ancien Régime. Ses oeuvres politiques trouvent donc obligatoirement leur prolongement dans les oeuvres historiques : l'Histoire de Florence est le complément indispensable du Prince.
Or, un homme de la Renaissance ne serait pas cet homme complet qu'est le « courtisan » sans le sens du divertissement. Machiavel est aussi un poète et un homme de théâtre. La Mandragore est une pièce régulièrement reprise par les troupes d'aujourd'hui. Et ses Lettres familières le restituent au milieu de ses amis, attentif aux plaisirs des uns, aux chagrins des autres, enjoué et plein d'humour.
Cette édition réunit pour la première fois dans une traduction nouvelle l'ensemble des oeuvres de Machiavel. Un Dictionnaire de Machiavel, inédit, permet au lecteur de replacer l'auteur dans son époque et de se familiariser avec les termes clefs de sa pensée.
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Machiavel ; le prince
Machiavel
- Nathan
- Les Integrales De Philo ; Moyen-age Et Renaisance
- 13 Août 2009
- 9782091873039
Une oeuvre philosophique complétée par des notes et enrichie par un commentaire méthodique pour une initiation à la compréhension des grands concepts et des grands auteurs de la philosophie.
Un traité sur la façon de gouverner et de conserver le pouvoir, à l'attention des princes.
Contexte:
Machiavel (1469 - 1527), homme politique et philosophe de la Renaissance, a développé une vision du pouvoir non pas morale mais pragmatique, grâce à son observation des pratiques politiques florentines au XVIe siècle.
L'oeuvre:
Le Prince, rapidement condamné par la critique pour son absence de considération morale dans sa description de la pratique de l'exercice politique, a fait naître l'adjectif " machiavélique ", en référence directe à son auteur. Machiavel se livre ici à un " réalisme politique " loin de toute utopie. Pourtant, il est aussi un penseur de la liberté.
Les concepts clés:
Le peuple
Le prince
Le machiavélisme
La raison d'état
La nécessité...
La collection Intégrales de philo, une approche complète et approfondie d'une oeuvre essentielle
Une oeuvre commentée par des spécialistes
Des dossiers autour de l'oeuvre
Plus de trente titres
4 périodes : Antiquité, Moyen Âge et Renaissance (Ve - XVIe s.), période moderne (XVIIe - XIXe s.), période contemporaine (XXe s.) -
Le Discours sur notre langue est le premier traité linguistique du XVIe siècle italien et l'une des oeuvres les plus personnelles de Machiavel. S'appuyant sur le traité De vulgari eloquentia de Dante, le Vicentin G. G. Trissino (1478-1550) fait imprimer à Rome en 1524 une Épître sur les lettres nouvellement ajoutées à la langue italienne, dédiée au pape Clément VII. Quand les Toscans entendent qualifier d'italienne la langue littéraire en usage dans la péninsule, leur sang ne fait qu'un tour. En réponse immédiate, le Discours sur notre langue est un plaidoyer patriotique en faveur des droits du parler florentin, selon la méthode de l'époque par raisons (arguments) et autorités (citations des grands auteurs). Déformant sans scrupule l'histoire de la littérature italienne, Machiavel prétend qu'elle naît avec Dante, Pétrarque et Boccace, déclarés Florentins, et que tous les autres écrivains d'Italie ont dû apprendre la langue de ces « trois couronnes », tant leur propre parler était inapte à la littérature. Le Discours constitue ainsi l'acte de naissance de la « Question de la langue », débat passionné qui mobilise ensuite pendant des années de nombreux lettrés italiens (Firenzuola, Martelli, Tolomei, Lenzoni...). Il vaut notamment par le dialogue central entre Machiavel et Dante ressuscité, coup de théâtre où l'on reconnaît la patte du dramaturge, qui convoque l'auteur de la Divine comédie en personne pour le soumettre à un interrogatoire serré et impitoyable sur ses choix linguistiques et stylistiques - et le désavouer.
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Révolte des Ciompis & Un soulèvement prolétatrien à Florence au XIVème siécle (La)
Machiavel, Simone Weil
- Cmde
- 5 Février 2013
- 9791090507081
Précédé de Un soulèvement prolétarien à Florence au XIV° siècle de Simone Weil. Aînée des insurrections prolétariennes », selon Simone Weil, la révolte des ciompis, travailleurs de la laine à Florence, à la fin du XIVe siècle, tend à démontrer que dès la naissance du capitalisme, la jeune classe ouvrière n'eût d'autres choix que de tenter de se défendre face à une juridiction et un mode d'organisation ne lui laissant aucun droit. Cet ouvrage correspondant au chapitre XIII du livre 3 des Histoires florentines de Machiavel. Celui qui fut pourtant penseur au service du pouvoir, retrace ici avec précision et dans une narration captivante l'histoire d'un mouvement clé de notre histoire.
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Le prince
Machiavel, Patrick Boucheron, Antonella Fenech
- Nouveau Monde
- 3 Novembre 2021
- 9782380942477
Conquérir le pouvoir ? Rien de plus simple, pour ceux que favorise la Fortune et qui acceptent d'être des créateurs d'État. Mais le conserver, voilà qui exige de la virtus. Car il faut conduire les hommes selon la nécessité d'un temps politique toujours incertain. Dans Le Prince, Nicolas Machiavel (1469-1527) expose cet art de gouverner en brisant les miroirs au prince des temps médiévaux.
Il l'écrit en 1513, alors que le retour des Médicis l'éloigne de l'engagement républicain qui fut la passion d'une vie entièrement tournée vers l'action politique. Il l'écrit pour parer les coups et comprendre sa défaite. Non pour rêver de cités idéales, mais pour nommer avec exactitude la réalité du pouvoir, cet exercice habile de la domination. Provocateur, drôle parfois, mais toujours surprenant, Le Prince fut écrit en état d'urgence - la traduction de Jacqueline Risset restitue à sa langue son irrésistible vélocité.
Car Le Prince file droit jusqu'à nous. Quelque soit l'idée préconçue que l'on se fasse du « machiavélisme », on le lit toujours au présent. Aussi les commentaires que propose ici Patrick Boucheron visent en même temps à restituer le texte dans son temps historique d'incertitude politique et à le donner à lire dans sa capacité d'actualisation. Ce qui s'y joue ? Rien moins que l'idée de Renaissance.
Cette édition illustrée tente de reconstituer la culture visuelle du temps de Machiavel. Peinture, sculpture, architecture, mais aussi objets plus ordinaires du cadre de vie princier, choisis et légendés par Antonella Fenech. Tout ici concourt à donner à voir l'éclat d'un moment où le prince se vivait comme le créateur d'un État considéré comme une oeuvre d'art.
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Lettres à Francesco Vettori
Machiavel
- RIVAGES
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 23 Octobre 2013
- 9782743626686
Durant cette période difficile, il s'est placé sous la protection de son ami Francesco Vettori, qui après avoir servi le régime républicain, s'est rangé habilement sous la bannière des nouveaux maîtres de Florence. Dans la première des lettres qu'il lui adresse, et qui est aujourd'hui l'une des plus célèbres de toute la littérature épistolaire italienne, Machiavel commence par décrire en des termes particulièrement émouvants et expressifs sa retraite à la campagne où il se ronge dans l'inaction, puis au détour d'une phrase évoque la rédaction d'un "opuscule" qui traitera de la souveraineté, des moyens de l'acquérir et des risques de la perdre... et qui n'est autre que Le Prince.
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Le prince ; l'art de règner
Machiavel
- Belles Lettres
- Bibliotheque Italienne
- 6 Février 2008
- 9782251730233
Parmi les royaumes bien organisés et gouvernés de notre temps, il y a celui de France, où l'on trouve une infinité de bonnes institutions, dont dépendent la liberté et la sécurité du roi ; au premier rang desquelles figure le parlement avec son autorité. Parce que celui qui institua ce royaume, connaissant l'ambition des puissants et leur insolence et jugeant nécessaire qu'ils aient dans la bouche un frein pour les corriger, sachant d'autre part fondée sur la peur la haine du populaire envers les grands et voulant rassurer ces derniers, ne voulut pas que ce fût là une attribution particulière du roi, pour lui épargner les éventuels griefs des grands s'il favorisait le populaire et ceux du populaire s'il favorisait les grands ; c'est pourquoi il institua un tiers juge chargé, sans qu'on en fît grief au roi, de battre les grands et favoriser les petits ; institution, celle-ci, qui ne pouvait être ni meilleure ni plus prudente, ni une plus grande source de sécurité pour le roi et le royaume. D'où l'on peut tirer un autre enseignement digne d'être noté, à savoir que les princes doivent faire en sorte que soient administrées par d'autres les choses qui sont matière à griefs, et par eux-mêmes celles qui sont matière à gratitude. Et je conclus une nouvelle fois qu'un prince doit faire cas des grands, mais ne pas se faire haïr du peuple. (Le Prince, ch. XIX)
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Pour conquérir et conserver le pouvoir à tout prix, accrocher ce Bookster au dessus de votre lit ou dans votre salle de bains. Dans Le Prince, Machiavel se fonde sur la compréhension et la manipulation des sentiments humains et populaires pour exposer l'art de la conquête et de la conservation du pouvoir.
On ne retient souvent de la philosophie politique de Machiavel que cet aspect d'absence de scrupules, cette idée que « la fin justifie les moyens ». Pourtant, la véritable intention de l'auteur est que ces conseils doivent permettre de libérer et d'unifier l'Italie. Dans une certaine mesure, tous les calculs rusés suggérés par Machiavel ont aussi pour but de préserver le peuple de soulèvements qui pourraient le conduire à la famine et à la répression armée. Comme il l'a écrit deux mois avant sa mort, Machiavel chérissait la liberté de sa patrie plus que tout.
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Apprendre la stratégie avec Sun Tzu, Machiavel, Napoléon
Sun Zi, Machiavel, Napoléon Bonaparte
lu par Elodie Huber, Nicolas Justamon- La Compagnie Du Savoir
- 16 Mai 2020
- 9782821111646
Pour apprendre la stratégie, qu'elle soit militaire, sociale ou quotidienne, ce sont les enseignements des plus grands qui mettent sur la voie de façon efficace.
Le général, stratège et philosophe Sun Tzu a inspiré les plus grandes figures militaires et politiques, en passant par l'entreprenariat ; l'Art de la guerre est fait de maximes qui peuvent s'appliquer tant au champ de bataille qu'au quotidien.
Nicolas Machiavel, penseur humaniste de la Renaissance, a laissé derrière lui une légende noire avec Le Prince, traité qui fait résonner douloureusement la politique et la morale.
Enfin, Napoléon Bonaparte est un des plus grands leaders ayant jamais existé, dont l'essor irrépressible le mena de l'école militaire au trône d'Empereur des Français, puis à la conquête de l'Europe. Napoléon a changé le cours de l'Histoire. La pensée de ces trois stratèges de génie sont un outil majeur pour comprendre le monde sur lequel ils eurent tant d'influence, et pour en tirer parti avec justesse.
Choisies pour résonner avec force et se mémoriser facilement, ces 300 citations vous inspireront tou
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Un véritable bijou exhumé des archives !
Dépêché à cinq reprises à la cour de France par la Signoria, le gouvernement de Florence, et deux fois auprès de l'empereur d'Allemagne Maximilien de Habsbourg, Machiavel, jeune et sagace diplomate, s'attache à décrypter les arcanes de ces deux grands Etats. Rompant avec la tradition diplomatique ancienne, il se fait l'oeil de Florence en terres étrangères et rend scrupuleusement compte à la Signoria de ses observations, dans des billets voués à demeurer confidentiels.
Ces notes analysent, sans fioritures ni états d'âme, les lignes de force de ces Etats aussi bien que la psychologie de leurs habitants : les Français, par nature, sont changeants et légers, [...] d'une grande humilité dans le malheur, et insolents quand tout va bien . Les Allemands, eux, sont riches parce qu'ils vivent comme des pauvres, ils ne bâtissent rien, ne s'habillent pas et n'ont chez eux aucun meuble ; il leur suffit d'avoir en abondance pain et viande, ainsi qu'un poêle où fuir le froid .
Dans ces textes savoureux, joints à deux billets destinés à instruire de jeunes confrères ambassadeurs, Machiavel expose méticuleusement les secrets, tels qu'il les conçoit, de l'art de la diplomatie.
Jean-Yves Boriaud traduit et présente ces documents, leur rendant leur exceptionnelle modernité. Professeur émérite de langue et littérature latines, il est déjà le traducteur de textes essentiels de Machiavel, L'Art de la guerre et Le Prince . -
Le prince ; précédé des premiers écrits politiques
Machiavel
- Classiques Garnier
- Classiques Jaunes ; Textes Du Monde
- 10 Avril 2015
- 9782812418778
Cette édition bilingue du Prince, précédée des textes brefs et variés que Machiavel a rédigés lorsqu'il était impliqué dans la vie politique, permet de remettre l'un des traités les plus importants et les plus commentés de l'histoire dans son contexte historique et politique.
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Vie de castruccio castracani (la)
Machiavel/
- Ombres
- Petite Bibliotheque Ombres
- 25 Novembre 1998
- 9782905964649
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Le Diable amoureux, par Cazotte. Le Démon marié, par Machiavel Date de l'édition originale : 1853 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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On n´a pas l´habitude de voir en Machiavel un auteur comique. Et pourtant ses collègues de la chancellerie, de leur propre aveu, riaient à s´en décrocher la mâchoire en lisant ses lettres et, outre les textes politiques qui l´ont rendu célèbre, il a écrit des nouvelles et des comédies. La Clizia écrite et jouée en 1525 raconte une histoire cent fois mise en scène : le père et le fils tous deux amoureux de la jeune et belle Clizia.
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"Machiavel relate ici une aventure de l'Archidiable Belphégor, envoyé sur terre par Lucifer pour éprouver l'humanité des femmes. Un conte morale à la manière Renaissance, drôle et enjoué.
Ce conte est suivi de 28 pensées sur le gouvernement des hommes."
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