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Luc Loiseaux
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Pendant cinq ans, entre 1870 et 1875, le jeune Arthur Rimbaud mène une existence d'une grande intensité au cours de laquelle il compose la majeure partie de ses poèmes. Cet âge d'or de sa vie poétique est nourri par une soif insatiable d'expériences, d'amitiés, de fugues et de coups d'éclat. Le poète a besoin d'éprouver le monde pour écrire. Luc Loiseaux fait le récit passionné de ses rencontres, de ses amours, de ses errances ; et au moyen des nouvelles technologies, il élabore des images qui s'inspirent librement des évènements de ces années frénétiques. Son récit s'appuie sur une documentation rigoureuse et de nombreuses citations de Rimbaud, qui témoignent de sa fougue et de son audace. Grâce aux illustrations de ce double numérique, tout devient possible pour montrer le quotidien du poète et de ses compagnons. C'est le projet de ce livre : offrir au lecteur un voyage inédit à la découverte du monde singulier d'Arthur Rimbaud en images.
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« Dans l'ivresse des brumes fait partie de ces recueils de poésies dans lesquels l'auteur, tout en relevant le défi de la versification traditionnelle, déploie de multiples aspects de son talent et de sa vision du monde. C'est ainsi que, dans cette oeuvre de Luc Loiseaux, profondément marquée par les grands poètes de la seconde moitié du XIXe siècle, on trouve bien des échos baudelairiens, ne fût-ce que du point de vue du seul vocabulaire (Benjoin dans Nos élévations ; reposoir, encensoir dans La vision véritable, le titre même de Tristesses du matin...). Comment, de même, ne pas trouver de réminiscences de Maurice Rollinat dans ces vers de Tableau sauvage ? » Extrait de la préface de Jean Hautepierre.
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«Éther et brouillard fait partie de ces recueils de poésies dans les-quels l'auteur, tout en relevant le défi de la versification traditionnelle, déploie de multiples aspects de son talent et de sa vision du monde. C'est ainsi que, dans cette oeuvre de Luc Loiseaux, profondément marquée par les grands poètes de la seconde moitié du XIXe siècle, on trouve bien des échos baudelairiens, ne fût-ce que du point de vue du seul vocabulaire (Benjoin dans Nos élévations ; reposoir, encensoir dans La vision véritable, le titre même de Tristesses du matin...). Comment, de même, ne pas trouver de réminiscences de Maurice Rollinat dans ces vers de Tableau sauvage ? »
Extrait de la préface de Jean Hautepierre