ARGUMENTAIRE Michel Magon (1845-1857), jeune garçon de la banlieue de Turin, mène une vie familiale difficile et précaire, comme beaucoup d'adolescents de son âge. Sa mère vit seule après le décès de son père. Avec ses camarades de rue, Michel se révèle un caïd précoce, capable d'organiser bons et mauvais coups, au risque d'attirer l'attention des juges et policiers. Son avenir se dessine loin de l'école, au rythme de ses petits délits... jusqu'à ce soir pas comme les autres, où il fait une rencontre qui va changer sa vie. Et si la sainteté était promise aussi au petit caïd ? AUTEUR Le père Jean-Marie Petitclerc est salésien de Don Bosco, prêtre et éducateur de terrain. Il a notamment publié chez Salvator Éduquer aujourd'hui pour demain (2010) et La pédagogie de Don Bosco en douze mots-clés (2016). La vie de Michel Magon, proche de saint Jean Bosco, lui a inspiré ce roman à destination des adolescents.
Un saint de 15 ans ! Dans ce livre particulièrement destiné aux jeunes, c'est un de leurs pairs, adolescent mort à 15 ans de la tuberculose en 1857, médiateur par excellence, doux et joyeux, que Jean-Marie Petitclerc présente comme modèle de la sainteté.
Jeune disciple de Don Bosco, né au Nord de l'Italie, Dominique Savio humble et de santé fragile avait un don exceptionnel pour apaiser les conflits. Amis de tous, témoin d'espérance, le jeune garçon oeuvrait profondément pour la paix entre les jeunes, entre les jeunes et les adultes et entre les jeunes et Dieu.
A l'heure où la question de la mixité ethnique et sociale se pose de manière cruciale, à l'heure où le dialogue intergénérationnel s'effectue de plus en plus difficilement, à l'heure où tant de jeunes s'éloignent de la foi, le message de Dominique Savio est d'une grande actualité et d'une grande pertinence.
Il est le saint patron des jeunes et des petits chanteurs (pueri cantores) et protecteur des servants de messe.
Lorsque notre société parle du bonheur, propose aux jeunes d'être heureux, c'est surtout à travers la possibilité d'avoir et d'accumuler des biens : voitures, smartphones, ordinateurs, appartements... Mais si tous ces biens sont souvent utiles, cette quête matérielle n'est-elle pas en fait un leurre, qui nous fait oublier que la vraie richesse se trouve ailleurs ?
Lorsque le Christ proclame : « Bienheureux les pauvres » », ne veut-il pas nous faire comprendre que la pauvreté est d'abord le lieu du manque, qui fait de nous des êtres en attente, d'un amour et d'une vie plus profonde, d'un authentique bonheur ? Voilà pourquoi Jean-Marie Petitclerc, religieux salésien et éducateur, invite ici à méditer les Béatitudes. Parfois comprises comme une invitation à se résigner devant la vie, elles invitent en réalité à une existence dynamique, au service des autres, des frères.
L'auteur relit ainsi ce passage de l'Évangile à la lumière de la spiritualité éducative de Don Bosco, qui insiste notamment sur la joie.
Père et maître de la jeunesse, href=https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Bosco/>Jean Bosco (1815-1888) était à la fois un pédagogue visionnaire et un prêtre chaleureux proche de tous. Et pour servir les jeunes de la rue, il fut même conseiller du ministre de l'Intérieur du Piémont. Dans ce Prier 15 jours avec Don Bosco, ce prêtre italien facétieux, fondateur des Salésiens, fascine par la pertinence de ses analyses, l'audace de ses propositions, son amour indéfectible des jeunes et sa confiance totale dans le Seigneur. Aujourd'hui encore on aime à l'imaginer dire aux jeunes, un sourire aux lèvres et le regard empli de confiance : « Vis tes rêves, n'aie pas peur, bâtis la paix et demeure dans la joie. ».
La relation éducative vécue et léguée par Don Bosco a fait ses preuves depuis plus de 150 ans éducation intégrale des jeunes les aide fortement à se construire et à grandir en humanité et demeure éminemment actuelle. Il s'avère à l'expérience qu'une éducation intégrale des jeunes les aide fortement à se construire et à grandir en humanité. Les propos de Jean-Marie Petitclerc, concrets et stimulants, habités en permanence par le souci du jeune et celui d'une relation éducative cohérente, seront précieux pour celles et ceux, éducateurs ou parents, qui cherchent à accompagner au mieux les jeunes dans leur apprentissage de vie. Jean-Marie Petitclerc, polytechnicien, salésien de Don Bosco, a travaillé de 2007 à février 2009 comme Chargé de mission au Ministère du Logement et de la Ville. Auteur de nombreux ouvrages sur l'éducation dont Éduquer à l'heure d'internet (Salvator, 2015), il vit actuellement sur le diocèse de Lyon.
Dans ce livre très personnel, où sont évoqués des épisodes forts de son parcours, sa famille, la rencontre avec les jeunes, sa découverte de la spiritualité de dom Bosco et des Salésiens, Jean-Marie Petitclerc se livre à un plaidoyer fort en faveur de la fraternité : il s'agit de sortir du tombeau de l'individualisme pour marcher ensemble sur un chemin de fraternité.
Éducateur, prêtre, salésien de Don Bosco, Jean-Marie Petitclerc a une grande expérience d'accompagnement des jeunes. À quelques mois de l'ouverture, à Rome en octobre 2018, du synode des évêques convoqué par le Pape François sur le thème : « Les jeunes, la foi et le discernement des vocations », il dit dans cet ouvrage ce qu'il perçoit des attentes spirituelles des jeunes d'aujourd'hui et comment, parents, éducateurs et prêtres peuvent, au mieux, les accompagner dans l'accomplissement de leur vocation, quelle qu'elle soit (mariage, vie religieuse, ministère presbytéral...).
Un petit livre qui aidera notamment les parents à aider leurs adolescents à marcher vers l'accomplissement de leur existence et à éclairer les grands choix de vie qui s'offrent à eux. Un témoignage précieux d'un éducateur, disciple de Don Bosco, qui invite à changer de regard sur une génération prétendument éloignée de la foi et de la quête spirituelle.
Dans un monde en pleine mutation, où il n'est guère de domaine qui ne soit hanté par l'idée de crise, l'éducation ne va pas de soi. Et il est sûr que le défi de l'éducation compte parmi les plus importants à relever, tant la montée de la violence et du repli sur soi minent la cohésion sociale. « Éduquer aujourd'hui pour demain » c'est prendre en compte la réalité du jeune tel qu'il est, en nouant avec lui une relation affectueuse et confiante. Mais c'est aussi le préparer à s'insérer dans le monde de demain, dont nous devinons dès à présent les contours. Ces pages posent des jalons pour tous les éducateurs. Et puisque l'acte éducatif est, d'abord et avant tout, acte de foi, d'espérance et d'amour, il peut être relu par le chrétien à la lumière évangélique et se faire parabole du Royaume. Se trouvent alors posés de manière originale et nouvelle les jalons d'une « théologie de l'éducation ». Jean-Marie PETITCLERC, diplômé de l'École Polytechnique, salésien de Don Bosco, est titulaire du diplôme d'éducateur spécialisé et d'une maîtrise de sciences de l'éducation. Directeur de l'association Le Valdocco, il a été, de juin 2007 à février 2009, membre du cabinet du ministre du Logement et de la Ville. Il est l'auteur, de nombreux livres dont, aux Éditions Salvator, Respecter l'enfant, La Violence et les Jeunes, Tu peux changer le monde !, Chemin de Croix, À la rencontre des jeunes et Pour en finir avec les ghettos urbains.
La miséricorde : un mot qui à première vue paraît un peu vieillot, surtout quand on veut s'adresser aux jeunes. Et pourtant ce mot, selon le pape François qui lui consacre une année jubilaire, est celui qui résume le mieux l'enseignement du Christ. L'éducateur chrétien est appelé constamment à s'y référer. Être miséricordieux, c'est d'abord se laisser toucher par le jeune blessé, et apprendre à le rejoindre comme le Christ a su rejoindre les disciples d'Emmaüs qui tombaient dans la déprime. Être miséricordieux, c'est être à la fois doux, patient et confiant, les trois attitudes de base de l'éducateur selon Jean Bosco, dont nous venons de fêter le bicentenaire de la naissance, et que Jean6Paul II a choisi comme « Père et Maître de la Jeunesse ».
Être miséricordieux, c'est ne jamais enfermer le jeune dans une étiquette construite à partir de ses comportements, que ce soit dans le registre de la délinquance, de la violence ou des conduites à risque, mais toujours savoir lui reconnaître un avenir en lui pardonnant. Et c'est en expérimentant le pardon qu'il apprendra à son tour à pardonner. Seule la miséricorde peut bâtir la fraternité ! Vivre la miséricorde auprès des jeunes, pour l'éducateur, c'est une véritable exigence, mais elle est source d'un vrai bonheur : Heureux les éducateurs miséricordieux, ils obtiendront miséricorde !
Comment dire Dieu aux jeunes d'aujourd'hui ? Comment les rejoindre pour pouvoir être écouté ? Ne rêvons pas trop aujourd'hui de faire revenir les jeunes dans nos structures paroissiales. Mais allons planter notre tente dans les lieux qu'ils fréquentent. Annoncer l'Évangile, c'est toujours annoncer une bonne nouvelle ! Aussi est-il important de prendre le temps de vérifier que le contenu du message que l'on souhaite transmettre aux jeunes d'aujourd'hui constitue bien pour eux une bonne nouvelle. Si tel n'est pas le cas, mieux vaut sans doute se taire... et prendre le temps de chercher une autre voie. Il est indispensable de savoir d'abord accueillir et écouter, de se montrer ouvert à tout ce qui peut se dire : toutes les paroles des jeunes doivent pouvoir être entendues et comprises.
ISBN/EAN/UPC: 9782706707735 Titre de l'ouvrage: Pratiquer la médiation sociale Auteur: Jean-Marie Petitcler Editeur: Salvator Date de publication: 26/9/2011 Reliure: Broché Prix public/catalogue hors taxes: EUR 17,06 TVA: 5.5% Prix public taxes comprises: EUR 18,00 Nombre de pages: 152 Langue: français ? Sujet: Spiritualités / Christianisme Champs facultatifs Edition:
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Description: « Lorsque douze collégiens, exclus d'établissements scolaires de Seine-Saint-Denis, ont été parachutés à Craon, dans la Mayenne, l'affrontement fut vif entre les jeunes, englués dans leur culture du "9-3" et les adolescents normands. Qu'est-ce qui a manqué, pour que cette expérience, prometteuse sur le plan des idées, fonctionne ? - De la médiation. Lorsque l'écart culturel est devenu un fossé, seule l'intervention d'un médiateur, capable de dialoguer avec chaque protagoniste, peut travailler au rétablissement de la communication. La fonction de médiation apparaît centrale dans un tel contexte. Elle seule permet de transformer la différence non pas en menace, mais en source d'enrichissement. Elle seule peut permettre de relever le défi de la cohésion sociale, d'une société française qui aujourd'hui connaît le double risque de l'émiettement et de l'affrontement. » Jean-Marie Petitclerc L'ouvrage décrit et analyse les nouveaux métiers de la ville liés à la médiation. Il met en lumière les facteurs communs de ces fonctions et détaille leur contenu professionnel et leurs champs d'intervention. Il développe, par ailleurs, les enjeux politiques et sociaux de la formation.
Biographie de l'auteur: Jean-Marie PETITCLERC, diplômé de l'École Polytechnique, salésien de Don Bosco, est titulaire du diplôme d'éducateur spécialisé et d'une maîtrise de sciences de l'éducation. De 2007 à février 2009 il a été Chargé de mission à la Coordination des acteurs locaux au cabinet ministériel du Logement et de la Ville. Il est l'auteur de nombreux livres dont, aux Éditions Salvator, La Violence et les Jeunes, À la rencontre des jeunes, Eduquer aujourd'hui pour demain, Pour en finir avec les ghettos urbains
Parents, grands-parents : comment proposer la foi aux jeunes ? Par le célèbre prêtre-éducateur.
Tous le reconnaissent : parents, enseignants, politiques : l'école est en crise. Près d'un enfant sur dix la quitte sans avoir acquis les savoirs fondamentaux, la violence et le phénomène de décrochage prennent de l'ampleur. Ce n'est pas une question de moyens : la France est un des pays européens qui dépense le plus pour son école et le nombre d'adultes par élèves y a augmenté en vingt ans. Les réformes se succèdent sans que le système s'améliore.
Au-delà du constat, l'auteur s'engage et rappelle les indispensables chantiers :
Il est urgent de repenser la place des parents dans le système scolaire et de les associer à sa réforme.
Urgent aussi de réformer la carte scolaire, principal facteur d'échec des zones d'éducation prioritaire : ses effets sont terribles quand la mixité sociale n'existe plus.
Sortir du modèle du collège unique pour réintroduire de l'hétérogénéité. L'égalité des chances ne consiste pas à enseigner partout les mêmes contenus de la même façon. Elle implique de développer des pédagogies différenciées.
Les signaux d'alarme se sont multipliés ces dernières années : incivilités, agressions verbales et physiques, atteintes à l'intégrité corporelle, voire à la vie, parfois " gratuitement ", sans raison apparente.
Aucun milieu n'est épargné : la rue, l'école et même la famille. mais celle-ci est aussi le lieu des meilleures solutions. qu'est-ce que la violence et d'où vient-elle ? comment l'éviter dans le couple et dans la famille ? comment mettre en oeuvre une éducation à la fois ferme et non violente au sein de la famille ? comment préparer les enfants à affronter la violence hors de la famille ?.
Le véritable défi, à l'aube du xxie siècle, est celui de l'éducation.
Pour que l'acte d'éduquer soit possible, il faut que trois conditions soient réunies: la confiance en l'éducabilité du jeune, la capacité à se mettre en projet, l'aptitude à établir une relation avec le jeune. la spiritualité chrétienne conduit à vivre cet acte éducatif dans la trilogie constitutive de la démarche chrétienne, celle du croire, espérer, aimer. eduquer au nom du père, du fils et du saint esprit, c'est développer une pédagogie de la confiance, de l'espérance et de l'alliance.
Voici alors que devient possible de vivre la rencontre des jeunes comme chemin de rencontre de dieu. se dessine ainsi un chemin original de rencontre du christ, qui prend pleinement en compte la situation professionnelle, militante ou familiale de l'éducateur.
Enseignants, animateurs, éducateurs sont aujourd'hui confrontés aux problèmes posés par les difficultés que rencontrent les enfants et les adolescents dans le rapport à la loi.
Nous le savons tous, au moins à travers les médias, les enfants qui grandissent " sans espoir, sans repère, sans limite " pour reprendre une expression de Pierre Cardo, manifestent de plus en plus une violence souvent gratuite. Faire face à ce phénomène de société demande, en premier lieu, d'analyser de manière approfondie les cheminements et mentalités de la jeune population concernée, et ensuite, de trouver les réponses éducatives qui puissent prévenir ou, à défaut, permettre à l'adolescent de reprendre le cours habituel de la vie en société.
Don Bosco (1815-1888), désigné par Jean-Paul II comme "père et maître de la jeunesse", a eu l'intuition d'une pédagogie qui garde toute son actualité aujourd'hui : nouer avec chaque enfant une relation de confiance et de bienveillance, qui l'aide à grandir, à mettre en lumière le meilleur de lui-même et à déployer ce qu'il a de vraiment personnel.
Ce guide pratique, écrit par une équipe d'éducateurs et de parents inspirés par Don Bosco et coordonnés par Jean-Marie Petitclerc, met à disposition des parents et des éducateurs d'enfants de 0 à 18 ans les fruits de l'expérience centenaire des salésiens (fondés par Don Bosco au XIXe siècle), dans le domaine du déploiement des talents.
Il propose un parcours en 4 étapes, qui permet de :
- découvrir, à la lumière de la science, pourquoi les talents sont si multiples et si divers ;
- identifier des leviers pour favoriser l'éclosion et le développement des talents chez l'enfant et l'adolescent ;
- discerner les talents à l'aide de la relecture d'expériences ;
- porter un regard plus spirituel sur les talents et leur finalité.
Enrichi de nombreux témoignages, d'éclairages scientifiques, de textes de Don Bosco et de prières adaptées aux diverses circonstances (succès, échecs...), ce livre apportera de très nombreuses réponses aux parents/éducateurs qui souhaitent aider leurs enfants à devenir pleinement eux-mêmes.
Soyons prêts à échanger un sourire, le sourire est le début de l'amour et une fois que nous commençons à nous aimer les uns les autres vient le désir de faire davantage. Mère Teresa AUTEURS Charles Delhez, Jean Hanotte, Christine Hayois-Limpens, Loïc Joncheray, Tanguy Martin, Myriam Terlinden, Marie-Thérèse Thomas, Bernadette Wiame