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Halvard Solness est devenu le constructeur le plus important et le plus sollicité du pays. Tyrannique envers tous ceux qui l'entourent, il ne supporte plus que le vieux Brovik, son assistant, lui rappelle d'où il vient, ni qu'Aline, sa femme, se plaigne ou soit jalouse de sa secrétaire Kaja, ou encore que le jeune Ragnar lui fasse de la concurrence. Le constructeur est hanté par la peur de « la jeunesse qui viendra frapper à la porte » et qui sonnera le glas de sa carrière. Et voici justement Hilde qui arrive et qui se souvient de l'étrange promesse que Solness lui a faite, dix ans plus tôt.
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Revue L'Avant-scène théâtre n.1286 : Solness, le constructeur
Henrik Ibsen
- Avant-Scene Theatre
- Revue L'avant-scene Theatre
- 28 Septembre 2010
- 9782749811611
Halvard Solness est devenu le constructeur le plus important et le plus sollicité du pays. Tyrannique envers tous ceux qui l'entourent, il ne supporte plus que le vieux Brovik, son assistant, lui rappelle d'où il vient, ni qu'Aline, sa femme, se plaigne ou soit jalouse de sa secrétaire Kaja, ou encore que le jeune Ragnar lui fasse de la concurrence. Le constructeur est hanté par la peur de « la jeunesse qui viendra frapper à la porte » et qui sonnera le glas de sa carrière. Et voici justement Hilde qui arrive et qui se souvient de l'étrange promesse que Solness lui a faite, dix ans plus tôt.
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Hedda et Jorgen Tesman rentrent d'un long voyage de noces. Ils s'installent dans leur nouvelle maison, accueillis par la vieille tante Julie. Jorgen, lui, est tout occupé à ses recherches universitaires. Hedda s'ennuie, entre deux visites du Conseiller Brack. Mais Eilert Lovborg, ancien intime d'Hedda, ancien condisciple de Tesman, est de retour en ville. Il est précédé de Théa Elvsted, la femme du préfet, échappée du domicile conjugal. Le retour de l'écrivain exilé réveille les passions éteintes. Mais que cache la froideur de la belle Hedda Gabler ?
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Rubek et Maia sont mariés depuis quatre ans. Lui est un sculpteur très célèbre et riche, mais il avoue que depuis qu'il a réalisé « le jour de la Résurrection », une jeune femme qui se réveille au sommet de la mort -, l'oeuvre qui l'a rendu célèbre, il ne fait plus que des choses banales sur commande... Sa femme s'ennuie et le couple se désagrège. Rubek est attiré par une mystérieuse femme en robe blanche toujours suivie, comme son ombre, d'une diaconesse en habit noir. C'est son ancien modèle, Irène, celle qui lui a inspiré son oeuvre exceptionnelle. Il l'a admirée nue, mais ne l'a jamais touchée. Après cette sculpture, n'ayant plus besoin d'elle, il l'a abandonnée, recherchant d'autres modèles qu'il n'a jamais trouvés... Ils se retrouveront dans la mort, écrasés par une avalanche... alors ils se réveilleront d'entre les morts.
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(durée : 1 heure et 45 minutes - 5 hommes / 3 femmes)
La Démarieuse : Agathe, dans un long monologue, nous dévoile peu à peu la raison de son désenchantement. Très amoureuse d'Albert, qui l'a quittée il y a huit ans, elle n'a de cesse de le rechercher. Son obsession confine à la folie.
(durée : 25 minutes - 1 femme)