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Fabrice Delaitre
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Reims, 13 mars 1814 : le dernier sourire de la fortune
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 30 Août 2013
- 9782912994486
Le 6 février 1814, l'adjoint au maire de Reims ouvre les portes de sa cité à une poignée de cosaques se réclamant de l'armée russe de Winzingerode. À la suite de ce coup de bluff, la ville changera de mains pas moins de quatre fois au cours du mois de mars entre Français et Coalisés. Fils d'un ancien ministre de Louis XVI, c'est le général transfuge Saint-Priest qui, en s'emparant de la ville...Voir plus
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Héliopolis, 20 mars 1800 : Kléber et la dernière victoire de l'armée d'Orient
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 31 Juillet 2011
- 9782912994332
Lorsque Bonaparte quitte l'Égypte, il laisse le commandement à Kléber. Celui-ci tente de négocier avec les Anglais et les Ottomans le retour de l'armée d'Orient en France mais le massacre de la garnison d'El-Arich met fin aux négociations. Le 20 mars 1800, les soldats français affrontent et battent l'armée ottomane de Youssef-Pacha autour des ruines d'Héliopolis. Ils doivent ensuite mener un siège de près d'un mois pour réoccuper le Caire entré en rébellion. Après ce combat, l'Egypte connaît une période de paix que viendront interrompre l'assassinat de Kléber par un fanatique musulman et son remplacement par le piètre général Menou.
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Afghanistan, 2011-2012 : la brigade LaFayette
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 31 Août 2015
- 9782912994578
En 2010, la 1re brigade mécanisée de Châlons-en-Champagne mettait sur pied la Task Force La Fayette V désignée pour servir l'année suivante en Afghanistan, un état plongé depuis quatre décennies dans un conflit particulièrement meurtrier.
C'est dans le cadre majestueux, mais extrêmement dangereux de ce pays lointain que ces hommes ont accompli leur devoir de soldat avec fierté et abnégation, planifiant et conduisant inlassablement des opérations destinées à atteindre les objectifs que leur pays leur avait fixés : tenir la province de Kapisa, former l'armée afghane, réduire le nombre des taliban et enfin entamer le désengagement progressif du contingent français.
Alors que la France a aujourd'hui quitté le théâtre afghan, ce livre a été écrit à la fois pour servir à l'histoire de cette génération de 70000 soldats français qui se sont relayés pendant onze ans que pour rendre un hommage à ceux qui en 2011-2012 étaient à la manoeuvre dans des combats quotidiens et au cours desquels ils perdirent plusieurs des leurs. -
Souvenirs d'un grenadier de la Grande Armée : la vie militaire de Jean-François Cowez ous l'Empire (1809-1815)
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 15 Août 2020
- 9782912994738
Grâce au témoignage inédit de Jean-François Cowez, nous entrons dans la grande Histoire par une porte dérobée qu'un jeune soldat du Premier Empire a entrouverte. Il nous rapporte de nombreuses anecdotes qui reflètent tout au long de son manuscrit une vie comptant plus de jours de souffrance que d'heures de gloire. Il suffit pour s'en convaincre d'imaginer le calvaire qu'a pu être à l'époque sa quête permanente de nourriture, d'un toit pour dormir et d'estimer le nombre de souliers qu'il a usés sur les routes d'Europe lors d'interminables marches.
Cowez a en effet participé à la campagne de 1809 en Autriche et en Allemagne, puis celle en Espagne et au Portugal de 1810 à 1813. Capturé en août 1813, il nous fait ensuite partager son quotidien de prisonnier sur un ponton anglais grâce à un récit aussi passionnant que rare. Rapatrié à Brest, en juin 1814, il assiste l'année suivante au retour de l'Empereur. Il termine sa carrière militaire sur le champ de bataille de Ligny avant d'être rendu à la vie civile dans son village de Belgique. -
Berry-au-Bac, 57 av J.-C. : César et les Rèmes remportent la bataille de l'Aisne
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 25 Mai 2019
- 9782912994714
En 57 avant J.-C., après avoir repoussé Helvètes et Germains, Jules César impose peu à peu la présence de ses légions au coeur de la Gaule. Profitant des dissensions entre les Gaulois, il parvient à nouer des alliances avec certaines tribus et se rend indispensable dans ces luttes fratricides. La bataille de l'Aisne est un événement historique majeur de cette guerre des Gaules. Elle voit s'opposer Jules César et ses alliés, Rèmes et Éduens, à une coalition de quinze tribus gauloises belges. Grâce aux recherches de l'auteur, ce livre met aussi un terme définitif à la polémique concernant les deux principaux lieux de cette bataille de l'Aisne. La description topographique couchée dans les pages des Commentaires de César apparaissait pourtant suffisamment claire pour localiser précisément le camp romain sur la colline de Mauchamp et l'oppidum de Bibrax des Gaulois rèmes sur le site du « Vieux-Laon ».
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Champs catalauniques, 1er-2 septembre 451 : Attila vaincu devant Troyes
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 17 Octobre 2017
- 9782912994615
Chacun a appris à l'école que les Huns, sous la conduite d'Attila, envahirent la Gaule en 451 et furent vaincus aux champs Catalauniques. Mais sait-on précisément à quelle date, en quel(s) lieu(x) et de quelle façon le Romain Aetius et ses alliés barbares ont infligé cette cuisante défaite aux hordes sauvages ? Beaucoup d'érudits ont tenté de reconstituer ce choc de titans qui s'est déroulé sous les murs de Troyes. L'auteur a réalisé la synthèse des travaux actuels en retenant leurs éléments les plus pertinents puis en les réunissant, afin de créer un tableau cohérent et complet.
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L'honneur retrouve du Général Partouneaux après la Bérézina ou l'affaire du 29e Bulletin de la Grande Armée
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- 10 Mars 2021
- 9782912994752
C'est précisément le combat désespéré de la 12e division d'infanterie du général Partouneaux et de la 30e brigade de cavalerie du général Delaitre qui lui fut attachée quelques jours avant le passage de la Bérézina, que cet ouvrage reconstitue aujourd'hui dans son intégralité, grâce aux témoignages de ceux qui le menèrent avec héroïsme.
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Premier ouvrage entièrement dédié au général baron Charles Delaitre, cette biographie s'efforce de rendre à la mémoire collective un personnage au patronyme peu connu mais dont les états de service forcent pourtant l'admiration et le respect : le 21 janvier 1804, désigné pour faire des mamelouks une unité opérationnelle, le capitaine Delaitre fait la brillante démonstration de sa réussite en culbutant à Austerlitz les terribles chevaliers-gardes du tsar Alexandre. La satisfaction de l'Empereur est telle qu'en récompense de ce haut fait d'armes, il reçoit personnellement ses épaulettes de chef d'escadron et, événement rarissime, sa compagnie une aigle et un guidon ; le 6 avril 1807, Napoléon lui confie une nouvelle mission délicate à Varsovie : monter de toutes pièces et dans les délais les plus brefs un régiment de chevau-légers polonais. Surmontant les nombreux obstacles qui entravent l'exécution du projet, le major Delaitre relève le défi et obtient sa consécration à Somosierra de la bouche même de son maître : « Vous êtes digne de ma Vieille Garde, je vous reconnais pour ma plus brave cavalerie ! » ; les 27 et 28 novembre 1812, lors des combats sur la Bérézina, la division Partouneaux et la 30e brigade de cavalerie du général Delaitre, qui lui est attachée, doivent conduire une action de diversion destinée à attirer l'attention des Russes sur Borisov. Maintenues trop longtemps en arrière-garde, ces unités sont sacrifiées par l'Empereur pour permettre au maréchal Victor de tenir la tête de pont à Studianka, permettant ainsi à la Grande Armée de franchir le fleuve.
Le lieutenant-colonel Fabrice Delaître est un officier supérieur de l'armée de terre dont l'unité tient garnison à Châlons-en-Champagne. Membre du Souvenir Napoléonien et conférencier, il a déjà publié deux ouvrages sur la campagne d'Egypte alors que Charles Delaitre était aide de camp du général Kléber.
Il publie aujourd'hui une nouvelle présentation de la carrière de cet éminent cavalier de la Garde de l'Empereur Napoléon Ier qui s'illustrera dans toutes les batailles de l'Empire, depuis Austerlitz jusqu'au passage de la Bérézina, avant de connaître, comme nombre de ses pairs, d'énormes difficultés de « réinsertion » sous la Restauration. -
Saint-Jean-d'Acre ; mars-mai 1799
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 20 Mars 2010
- 9782912994264
Ayant conquis l'Égypte, Bonaparte doit se lancer dans une nouvelle campagne pour prévenir l'arrivée imminente d'une armée ottomane en provenance de Syrie. A l'issue d'une longue marche à travers le désert et de plusieurs sièges en règle, affaiblie par la peste, les fatigues et les privations, son armée vient camper sous les murs de Saint-Jean-d'Acre tenue par les Turcs du pacha Achmed-el-Djezzar et leurs alliés anglais. Pendant 62 jours, les belligérants se disputent le contrôle de la ville avec un incroyable acharnement. Les Français doivent faire face à de nombreuses sorties et des bombardements incessants de la part de la garnison assiégée et tentent de leur côté plusieurs assauts désespérés contre des fortifications inexpugnables. Lorsque deux armées de renfort ennemies approchent pour briser l'encerclement de la ville, Bonaparte ne peut envoyer qu'une seule division à leur rencontre. Dans un combat inégal, les Français parviennent pourtant à mettre l'adversaire en déroute lors de la bataille du Mont-Thabor. Mais les échos d'une Égypte en pleine insurrection, l'absence d'artillerie lourde, et les pertes humaines qui s'accumulent, forcent Bonaparte à lever le siège de Saint-Jean-d'Acre, le 20 mai 1799 et à regagner les rives du Nil. À l'appui du Journal du siège et de nombreux documents d'archives, cet ouvrage retrace jour par jour l'histoire méconnue de ce douloureux échec de Bonaparte.
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Baron Charles Delaitre, général d'Empire ; cavalier de la garde, des Mameloucks aux lanciers de Berg
Fabrice Delaitre
- Regi Arm
- 9 Octobre 2008
- 9782915960334
Premier ouvrage entièrement dédié au lieutenant général baron charles delaitre cette biographie s'efforce de rendre à la mémoire collective un personnage au patronyme peu connu dont les états de service forcent pourtant l'admiration et le respect.
Le 21 janvier 1804, désigné pour faire des mameloucks une unité opérationnelle, le capitaine delaitre fait la brillante démonstration de sa réussite en culbutant à austerlitz les terribles chevaliers-gardes du tsar alexandre. la satisfaction de l'empereur est telle qu'en récompense de ce haut fait d'armes, il reçoit personnellement ses épaulettes de chef d'escadrons et, événement rarissime, sa compagnie une aigle et un aiglon.
Le 6 avril 1807, napoléon lui confie une nouvelle mission délicate à varsovie: monter de toutes pièces et dans les délais les plus brefs un régiment de chevau-légers polonais. surmontant les nombreux obstacles qui entravent l'exécution du projet, le major delaitre relève le défi et obtient sa consécration à somosierra de la bouche même de son maître: "vous êtes digne de ma vieille garde, je vous reconnais pour ma plus brave cavalerie!" les 27 et 28 novembre 1812, lors des combats sur la bérézina, la division partouneaux et la 30e brigade de cavalerie du général delaitre qui lui est attachée doivent conduire une action de diversion destinée à attirer l'attention des russes sur borisov.
Maintenues trop longtemps en arrière-garde, ces unités sont sacrifiées par l'empereur pour permettre au maréchal victor de tenir la tête de pont à studianka et à la grande armée de franchir le fleuve.
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Reims, mars 1814, le dernier sourire de la fortune
Fabrice Delaitre
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 6 Décembre 2018
- 9782912994691
Le 6 février 1814, l'adjoint au maire de Reims ouvre les portes de sa cité à une poignée de cosaques se réclamant de l'armée russe de Winzingerode. À la suite de ce coup de bluff, la ville changera de mains pas moins de quatre fois au cours du mois de mars entre Français et Coalisés. Fils d'un ancien ministre de Louis XVI, c'est le général transfuge Saint-Priest qui, en s'emparant de la ville de vive force le 12 mars 1814 à la tête d'un corps russo-prussien, va décider Napoléon à s'engager personnellement dans cette bataille afin de rétablir une situation tactique compromise. À l'issue de violents combats à Tinqueux et à la porte de Vesle, il entre en triomphe dans Reims dès le lendemain à la nuit tombée. L'Empereur s'y établit trois jours durant, non seulement pour faire reposer son armée, mais aussi et surtout pour gouverner la France qui en a grand besoin. Quittant la ville sous les acclamations des Rémois, le 17 mars au matin, il doit cependant se remettre en marche vers son tragique destin qui devait s'accomplir quelques jours plus tard à Fontainebleau.
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Reims - 28 octobre 1359-18 mai 1360 : La chevauchée d'Edouard III se brise devant la Cité des Sacres
Philippe Gaillard
- Historic'One
- Les Batailles Oubliees
- 15 Juin 2023
- 9782912994783