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Ecole Des Loisirs
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L'édition de référence dans une présentation renouvelée. Lecture recommandée en 4 ème par le Ministère de l'Education National. Avril 1884 : les mineurs de la Compagnie d'Anzin, dans le Nord, reprennent le travail après huit semaines de grève : ils n'ont plus rien à manger et n'ont rien obtenu de leurs revendications. Quelques semaines plus tôt, un écrivain est venu leur rendre visite : Emile Zola.
L'homme a pris des notes, visité les corons, il est même descendu dans la mine. Sous sa plume, Anzin va devenir le Voreux, cette mine où Etienne Lantier trouve un emploi. Le travail est rude, mal payé, la protestation gronde. Lantier prend la tête de la grève...A partir de 12 ans.
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« Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair. Thérèse et Laurent sont des brutes humaines, rien de plus. » Émile Zola
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Au bonheur des dames
Emile Zola
- L'École des loisirs
- Classiques Abreges
- 24 Octobre 2018
- 9782211238373
A la fin du XIXe siècle, la lutte s'engage dans Paris entre le petit commerce et les grands magasins. Parmi ces derniers, le Bonheur des Dames, où tout est mis en oeuvre pour que la cliente succombe à la tentation de l'achat. Selon le mot du baron Hartmann, le financier de l'histoire, à l'une de ces dames : " Prenez garde, ma chère, il vous mangera toutes. " Il en est une, cependant, qui ne se laisse pas manger : Denise ; une nature d'acier sous ses airs timides.
Elle tient bon et, dans ce Bonheur des Dames qui n'avait rien pour faire le sien, effectue une irrésistible ascension, prouvant qu'il est d'autres empires que celui du profit et qu'on les fonde parfois sur un refus.
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Tous les ingrédients du polar sont réunis dans ce roman ferroviaire : un meurtre, et même plusieurs, du sang, de la violence, une femme fatale, du suspense, des scènes chocs, une enquête avec arrière-plans politiques, notables véreux et magistrats carriéristes... et, bien sûr, au moins un assassin. Que ce soit par jalousie, vengeance, bêtise ou intérêt, nul ne se retiendra de tuer s'il y trouve son compte.
Le seul à susciter l'indulgence est le criminel-né, le cheminot qu'affecte un besoin maladif de poignarder une femme. Ce malade trouvera-t-il, dans les délices d'un amour partagé, la force de vaincre la tare héréditaire qui pèse sur lui ? Mérite-t-il d'ailleurs d'échapper à son destin ? C'est toute la question que pose cet épisode très noir et très célèbre du cycle des Rougon-Macquart.