Des graffitis sur des tableaux exposés au Louvre-Lens, deux morts suspectes... Le commissaire local est chargé de l'enquête. Mais, englué dans ses certitudes, il se voit imposer l'aide éclairée d'un grand criminologue parisien. Choc de cultures et rivalité arrogante produisent des situations burlesques.
Réflexions sur la mort, à l'occasion du décès d'un grand ami, la façon dont on la vit et dont on essaie de la penser ou de l'imaginer.
Pour connaître les bases de la logique classique, mais aussi pour s'amuser et exercer ses capacités mentales. Tome 1 : présentation de la logique des classes d'Aristote et de la logique des propositions des Stoïciens, avec une ouverture sur la logique mathématique, par Dominique Catteau. Tome 2 : exercices d'application, par le collectif Cafir Marava (Dominique Catteau, Thérèse et Jean-Bernard Firmin, Michèle Manach, Bernard Raquet, Philippe Vasseur).
Trois textes réunis pour présenter la philosophie de Nietzsche et ses exigences de lecture, en donnant toute sa place à sa relation privilégiée avec la musique et les plus grands musiciens de son temps.
Dominique Catteau nous livre ici ses réflexions personnelles, celles d'un prof de philo, à partir d'événements vécus par lui en marge de sa profession, sur tous les grands sujets, ordonnés de façon approximative en suivant les grandes lignes du programme officiel de terminale.
Dans ce volume II, l'auteur poursuit son exploration croisée, analysant les influences, les parallèles,et les " cousinages " de Nietzsche et de Berlioz. Deux personnalités qui, l'une en philosophie et l'autre en musique, peuvent faire figure d'incompris au panthéon des grands créateurs. Un rapprochement étayé par des recherches et des références d'une grande précision.
Cet ouvrage remarquable tente d'établir la réalité de l'influence de Berlioz sur Nietzsche : en quoi a-t-elle consisté, sur quoi s'est-elle appuyée ? Qu'est-ce que Nietzsche savait effectivement de Berlioz et de son oeuvre? Qu'en a-t-il pensé et surtout qu'en a-t-il appris ? Naturellement, des zones d'ombre subsistent. Si vraiment Berlioz a compté à ce point dans la composition nietzschéenne, comment comprendre que le philosophe l'ait si rarement nommé? L'auteur nous laisse entrevoir un pan très appréciable, et jusqu'à ce jour toujours mésestimé, des affinités entre le philosophe et le musicien.
Dans ce premier volume d'un travail de longue haleine sur Hector Berlioz, l'auteur tente de dégager les lignes directrices spirituelles et philosophiques du musicien. En effet, cet essai nous fait découvrir les talents d'écriture méconnus de ce compositeur romantique. Ainsi, à travers des écrits divers de Berlioz nous sont dévoilées les influences philosophiques qui ont pénétré son oeuvre musicale. Une symphonie en prose qui offre une impression fantastique à laquelle le lecteur ne peut que succomber, en attente du deuxième volume.
Comment Nietzsche juge-t-il Wagner à la fin de sa vie, et comment apprécie-t-il sa propre position et son propre cheminement à l´égard du musicien? Grâce à l´étude du petit pamphlet le Cas Wagner, signé par Nietzsche en 1888, le lecteur découvre les profondeurs des soubassements philosophiques de l´oeuvre de Wagner. Plus qu´une étude sur Wagner, Nietzsche fait du maître de Bayreuth le porte-parole du « malaise dans la civilisation ».
Nietzsche est réputé pour avoir été un wagnérien fervent pendant une première partie de sa vie. Or, deux textes seulement ont été officiellement consacrés par Nietzsche à la défense et illustration de Wagner : La Naissance de la tragédie en 1872 et la quatrième Considération inactuelle en 1876. D´autant qu´il fut prompt à prendre ses distances avec le maître de Bayreuth : « ce que, dans mes jeunes années, j'avais entendu dans la musique de Wagner, n'a strictement rien à voir avec Wagner ». Il semble donc nécessaire d´opérer un retour sur cette relation ambiguë, en s´appuyant sur les textes de ces deux titans, animés par le désir de percer le secret de l´émotion musicale...
La compétence « Agir en fonctionnaire de l Etat et de façon éthique et responsable » est la première des dix compétences professionnelles (arrêté décembre 2006) que doit maîtriser l enseignant. Il a été décidé dans la refonte des concours de l enseignement de l évaluer lors de l admission.L interrogation sur cette compétence constitue la seconde partie de la seconde épreuve d admission (après la séquence d enseignement en français). Il s agit d un exposé suivi d un entretien avec le jury.Sous forme de fiches, présentées de manière claire et synthétique, cet ouvrage propose des thématiques liées aux connaissances (ex. : Les textes fondateurs des valeurs de la République et de l école), capacités (ex. : Participer à la vie de l établissement) et attitudes (ex. : Intégrer, dans l exercice de sa fonction, ses connaissances sur ses droits et ses devoirs de fonctionnaire) de la compétence en question et nécessaires à la réussite de cette épreuve.
" À de nombreux points de vue, Richard Wagner occupe une place unique dans l'histoire de la création musicale. Notamment en ce qui va nous concerner ici, dans la mesure où il entretint avec la philosophie une relation tout à fait originale. Il fut en effet, et restera, ce musicien littéralement extraordinaire qui éprouva constamment le besoin de raccrocher d'une manière ou d'une autre les oeuvres musicales que son génie engendrait à des systèmes théoriques, censés les expliquer, sinon même les justifi er. Il demeure ce musicien singulier qui n'aura jamais pu faire de la musique sans faire en même temps de la philosophie. " Depuis longtemps les wagnériens, sans y être forcément autorisés, répandent abondamment la réputation de philosophe du génial musicien allemand. Il est temps qu'un philosophe de métier vérifi e enfi n les rapports entre l'oeuvre musicale et littéraire de Wagner et les philosophies qu'elle revendique. C'est l'objet de cette étude, qui s'articule autour des questions suivantes : sur quelles philosophies s'est-il appuyé, en quoi consistaientelles vraiment, qu'en a-t-il retenu et compris ? Gageons que le lecteur ira au devant de quelques surprises inédites...
« Qu'on se rassure ! Berlioz n'était pas philosophe, et il n'aimait guère les philosophes. Probablement les a-t-il même fort peu lus. Mais il a participé activement, à travers sa critique musicale comme à travers ses propres oeuvres, à tous les grands débats de son temps sur l'art en général et la musique en particulier. On le verra vite, la philosophie est partout chez lui, évidemment presque toujours de manière implicite mais néanmoins très appréciable. » Après un « Hector Berlioz ou la philosophie artiste » en deux volumes, Dominique Catteau revient à l'essentiel en captant dans ce condensé l'essence même de la pensée d'un compositeur trop souvent réduit à l'étiquette romantique. Se penchant aussi bien sur la remarquable philosophie de la musique à travers ses écrits sur celle des autres musiciens qu'à l'authentique philosophie qui se cache dans ses oeuvres musicales, cet ouvrage démontre brillamment que Berlioz mérite sa place aux côtés des grands poètes et philosophes tragiques, quelque part entre Virgile et Shakespeare, Sophocle et Nietzsche.
Prenant acte des profonds bouleversements actuels de la famille, D. Catteau tente ici de mettre à jour les principaux préjugés qui faussent aujourd'hui la vision la plus commune de l'institution maritale. Puis, de façon à la fois essentielle et particulière à notre époque, il cherche les justifications actuelles et les problèmes de toujours inhérents à la volonté des jeunes de se marier encore. Enfin et, en un sens surtout, il analyse les conséquences - dérivés logiques et véritables dérives - des mariages dans la constitution des familles et l'éducation des enfants. Tout ceci amenant l'essayiste à conclure que le mariage et la famille doivent assurément encore beaucoup évoluer. Crispations et tensions ont entouré la promulgation toute fraîche du mariage pour tous. De là les discours emportés, partiaux, schématiques qui ont couru dans les médias, mésestimant une réflexion beaucoup plus large et audacieuse sur le mariage. Ce que celui-ci présuppose et implique, son histoire et les transformations de ses fondements, mais encore la place accordée à l'enfant, à la religion, aux sentiments, ou le divorce : tout ceci occupe l'essai de D. Catteau qui, a posteriori des récents débats, met à jour des éléments plus dérangeants qu'il n'y paraît, révèle les hypocrisies modernes et indique que nos nouvelles lois ne sont qu'une phase dans l'évolution, toujours en marche, de cette institution.
Ce livre vous dira tous les sens ou plutôt les non-sens auxquels peut aboutir l'expression « Pas son genre », ou encore vous fera un résumé des débats philosophiques autour de la notion d'indécision. Mais il analysera aussi le rapport pouvant parfois s'exercer entre philosophie et coiffure... Enfin, il évoquera et critiquera le regard qu'ont parfois les Parisiens sur Arras et plus globalement sur ce qu'ils appellent la « province ».
Dans cet ouvrage, Dominique Catteau espère apporter une conclusion aux débats incessants et largement inexacts concernant les relations entre Nietzsche et Wagner. Où, quand et pourquoi Nietzsche aurait-il renié Wagner ? Avant de s'engager dans cette voie, notre essayiste juge nécessaire de se demander si Nietzsche s'est réellement détaché du maître de Bayreuth. Sur le plan personnel, il est indubitable que Nietzsche n'a jamais trahi son amitié pour l'homme qu'il estimait le plus au monde. Sur le plan conceptuel, on peut douter que Nietzsche ait jamais été wagnérien. Explication dans ces pages...
Dominique Catteau nous dévoile ici une tout autre facette de son écriture. On le connaissait spécialiste de Nietzsche, Wagner ou Berlioz... il nous apparaît ici comme un nouvelliste capable d'associer légèreté et réflexion, fantaisie et questionnements, originalité et profondeur. Aussi est-ce avec une belle élégance qu'il aborde ces thèmes majeurs que sont Dieu, le langage, les sciences ou la philosophie elle-même, au fil de ces récits aux notes amusées et espiègles... mais aussi féconds en interrogations.
Le livret des "Troyens", que Berlioz écrivit lui-même, méritait à lui seul une étude détaillée. Contrairement à sa réputation paresseusement recopiée, il ne déçoit que ceux qui y cherchent ce qui ne s'y trouve pas. Sortant des voies battues du drame théâtral habituel avec ses noeuds et ses dénouements, il apparaît comme une authentique tragédie, d'une originalité totale en son temps. Celle de la nécessité implacable d'un destin qui écrase les hommes et de l'aveuglement que ces derniers lui opposent de façon dérisoire. Insupportable répétition d'enchaînements tragiques imposés d'en haut par des dieux essentiellement absents. Jusqu'à l'ultime sursaut de l'héroïsme humain, celui du rejet désespéré de ces dieux indignes. Berlioz, aux antipodes de Wagner, et aux côtés de Sophocle, de Shakespeare... et de Nietzsche.
« S'il fallait dire en deux mots le fil directeur de ce petit essai, j'avouerais que nos mises en scène d'opéra sont bien de notre temps dans la mesure où elles révèlent nos travers les plus obstinés, et qu'en tant que telles précisément, elles ne nous font guère honneur. Il est devenu clair que la postérité nous jugera un jour comme nous le méritons : durement. »
L´école révèle les fondements d´une société. Mais aujourd´hui l´enseignement se voit confiné de plus en plus dans une bulle déterminée par l´Education nationale, étouffant les professeurs et les élèves. Entre la vulgarité de la télévision et le pédagogisme à la mode, l´école s´épuise dans les réformes incessantes, inutiles ou pernicieuses. Laminée par les manies de la société néo-libérale, elle s´acharne tant bien que mal à sauver une grande idée de l´éducation.
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