Mollâ Nasroddine se réveille... Connu des orientalistes européens depuis le XVIIe siècle, ce sage facétieux qui fait la joie des pays musulmans, du Maghreb à la Chine, sous divers noms, se trouve ici présenté dans sa version persane, celle qui sévit depuis des siècles en Afghanistan et en Iran. Rien n'échappe à sa malicieuse - mais légitime - vigilance: ni la bêtise humaine, ni l'hypocrisie, ni la fausse science, ni la lâcheté... Pour faire valoir sa cause, non seulement il entend rire des autres - principalement des juges, gouverneurs et théologiens -, mais encore se prête-il lui-même au rôle de bouffon, en toute humilité.
Il y a plus de trente ans, une petite milice chiite émergeait dans un Liban déchiré par la guerre civile. Soutenue par la République islamique d'Iran, cette force paramilitaire est devenue l'acteur politique le plus influent du pays, notamment par sa résistance à l'occupation israélienne. Critiqué dans son pays et blacklisté à l'étranger, le mouvement de Hassan Nasrallah continue à défrayer la chronique. Engagé dans la guerre syrienne, il assume son statut de force régionale présente sur plusieurs théâtres d'opération. Jusqu'où ira le Hezbollah ?
14 décembre 1969... il y a 50 ans disparaissait la gare de la Bastille. La ligne jusqu'à Boissy-Saint-Léger, désormais exploitée par la RATP depuis la nouvelle station de Nation, devint le premier Réseau express régional, le RER A. Les gares de Reuilly, Bel-Air et Saint-Mandé ont disparu du paysage local, tout autant que les vieilles locomotives à vapeur et leurs voitures « vert wagon » qui dominaient Paris sur le célèbre viaduc de Daumesnil. En cette journée hivernale de décembre, ce sont 110 ans qui partaient en fumée... Cet ouvrage est la mémoire de cette ligne si attachante, avec son environnement populaire, fait d'artisans, de petits commerces, d'immeubles modestes... L'auteur a réuni de nombreuses images, des documents, des plans inédits, en mettant en relief l'atmosphère des gares de la ligne de Vincennes, dont l'âme résidait dans son style désuet et hors du temps, invitant le lecteur à conjuguer le passé au présent.
Etude longitudinale sur le Hezbollah libanais, cet ouvrage synthétise les phases de maturation idéologique que celui-ci a connues depuis son émergence et retrace l'évolution structurelle de ce mouvement milicien devenu parti politique caractérisé par son projet de "société résistante". L'apport nouveau de ce livre est de proposer la transposition du concept - initialement psychologique - de "résilience" dans le champ sociopolitique, livrant une grille d'interprétation originale du cheminement de ce parti.
Voulue fastueuse par la riche Compagnie du PLM pour l'exposition universelle de 1900, portée par sa prestigieuse tour de l'horloge et son célèbre restaurant, la gare de Lyon est incontestablement devenue un véritable monument parisien.
Son rôle reste le plus souvent associé aux destinations nobles de la Côte d'Azur et des Alpes, aux mythiques Train Bleu et Mistral, qui ont un peu éclipsé ses trafics plus traditionnels. De son parvis jusqu'à Montereau, Montargis et Malesherbes, les auteurs parcourent ses lignes, ses triages et ses dépôts grâce aux plus beaux clichés de la Vie du Rail et de collections particulières, dont la plupart sont inédits.
Ils relatent ainsi l'ambiance ferroviaire de la fin de la vapeur jusqu'à l'arrivée du TGV, dans ce que « Paris-Lyon et sa banlieue » ont de plus attachant : la vie des voyageurs et des cheminots !
Avec près de 450 000 voyageurs quotidiens, Paris Saint Lazare est de nos jours l'une des plus grandes gares de la banlieue parisienne. Cette vocation est héritée de l'administration du réseau de l'Etat qui l'exploita à partir de 1909 et veilla particulièrement à développer le trafic de banlieue, moins favorisé par les autres compagnies. L'impulsion de son célèbre directeur Raoul Dautry en fera une gare à la pointe du progrés, conçue pour transporter les "Français du métro". Dès 1924, avec l'arrivée de la traction électrique par troisième rail, la gare Saint Lazare présente la particularité de voir cohabiter harmonieusement deux modes de traction qui marquèrent durablement le monde ferroviaire.Les fameuses automotrices standard,reines du 750 volts,qui circulèrent jusqu'en 1985,restent des figures marquantes de cet élan de modernisation.Quant aux panaches des locomotives,Saint Lazare n'en a pas manqué avec les Mikado de banlieue,mais aussi avec les reluisantes Pacific Etat du temple vapeur des Batignolles,un dépôt parisien mythique tout acquis à la traction vapeur jusqu'au dernier jour. Paris Saint Lazare et sa banlieue raconte aussi l'histoire et l'évolution des lignes de la banlieue Saint Lazare, celle du matériel et des dépôts les plus emblématiques. Dans la tradition des précédents ouvrages de la collection,la part belle est réservée à l'image,à travers une illustration souvent inédite issue du fonds de la vie du rail et de collections privées. L'atmosphère de l'époque est mise en valeur par un beau format.
La gare du Nord et la banlieue qu'elle dessert ont connu plusieurs tournants au cours de leur histoire, notamment la disparition tardive de la traction vapeur en 1970 et l'arrivée des TGV, Eurostar et Thalys au milieu des années quatre-vingt-dix Au départ de Paris-Nord, les lignes, les gares et les dépôts concernés par cet ouvrage s'étendent jusqu'à Pontoise, Persan-Beaumont, Creil et Crépy-en-Valois.
L'essentiel des photographies de ce livre sont inédites et pour moité en couleur ; elles couvrent en très grande majorité la période allant de 1950 à 1975, vingt-cinq années au cours desquelles le paysage ferroviaire se composait d'une diversité inégalée de matériel, puisque les locomotives à vapeur et électriques cohabitèrent en bonne harmonie pendant douze ans, une exception pour une gare parisienne ! De même, la gare du nord était desservie par de nombreux services internationaux de prestige tels LA FLECHE D'OR ou l'ETOILE - du - Nord, qui voisinaient avec les humbles omnibus de banlieue et une multitude de rames marchandises. Ainsi, le lecteur va pouvoir vivre ou revivre au rythme des gares et des trains nés au temps de la Compagnie du Nord, avec pour fer de lance la traction vapeur, qui reste mythique dans le monde du rail.
Fidèle à cette collection, comme à la volonté des auteurs, l'ambiance et l'aspect humain liés aux différents métiers du rail sont mis en valeur par l'iconographie choisie.
Dans ce volume d'Images de Trains, nous avons volontairement choisi la dominante vapeur qui vivait là ces dernières années.En effet, à partir de 1969, de grandes séries disparaissent d'un coup et il ne subsite plus guère que les 141 R et des 140 C.En 1970, le déclin s'accentue et les années suivantes la part de la vapeur est désormais résiduelle, même si l'on utilise encore ces engins jusqu'à la livraison des dernières locomotives diesel appelées à les remplacer .On peut encore les voir en tête de trains de voyageurs lors des pointes de trafic des fêtes de fin d'année.Les 141 R permettent d'assurer la "soudure"avec les locomotives modernes et peuvent alors s'effacer, mission accomplie.
À l'orée des années cinquante, les omnibus font partie de la vie quotidienne de personnes de tous âges alors qu'ils les empruntaient sur des courtes distances afin de se rendre à l'usine, au bureau, au collège ou au lycée.
Toutes les régions, particulièrement les plus rurales, voient les omnibus sillonner leurs territoires.
Ces trains à vapeur, diesels, électriques ou autorails sont le symbole du quotidien français des années 1950 à 1990.
S'inscrivant dans la même veine que « Les autorails en couleurs » publié en 2011 et rapidement épuisé, ce nouvel ouvrage de la collection « Héritage » séduira les lecteurs par plus de 185 photos choisies par Didier Leroy parmi les plus rares et pour leur intérêt en particulier. Compositions hétéroclites, ambiances, diversité de matériel, variété des régions sont les sujets de prédilection de l'auteur et font la richesse de ce livre.
Lyon élue par les professionnels du tourisme et le public "meilleure destination européenne du week-end" lors des World Travel Awards 2016. Lyon meilleure ville pour entreprendre, Lyon capitale de la gastronomie, Lyon ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, ville historique du cinéma, deuxième ville universitaire de France, ville des sports. Autant de qualificatifs pour une métropole où il fait bon vivre.
Au fil des pages, cet ouvrage inédit vous donnera du plaisir à la découvrir ou la redécouvrir.
« Moi moi moi ! » Le petit roi ne sait dire que cela. Alors quand un beau jour, une drôle de voix répète après lui : « Moi moi moi », le petit roi s'étonne, se fâche... puis éclate de rire quand il découvre le coupable...
Après Paris-Saint-Lazare et sa banlieue, paru en 2010 et épuisé, La Vie du Rail réédite cet ouvrage incontournable dédié à une gare prestigieuse. Cette nouvelle édition remaniée reprend une partie de la précédente épuisée tout en s'augmentant de l'histoire et des photographies de la gare Saint- Lazare actuelle et des travaux qui y conduisirent.
Avec près de 450 000 voyageurs quotidiens, Paris Saint Lazare est de nos jours l'une des plus grandes gares de la banlieue parisienne.
Cette vocation est héritée de l'administration du réseau de l'Etat qui l'exploita à partir de 1909 et veilla particulièrement à développer le trafic de banlieue, moins favorisé par les autres compagnies.
L'impulsion de son célèbre directeur Raoul Dautry en fera une gare à la pointe du progrès, conçue pour transporter les « Français du métro ».
Rapides, Express, Directs, Semidirects, Omnibus, telles étaient les dénominations de ces trains qui parcouraient les lignes de la SNCF issues des anciennes compagnies.
Les auteurs ont voulu offrir aux lecteurs des tableaux où les visages des employés et voyageurs apportent une force irremplaçable et profondément humaine à ce livre.
Les chapitres traitent de certains aspects moins connus, tels que les grandes révisions d'une voiture en atelier ou les livrées des voitures et fourgons, un sujet cher à ceux qui désirent reproduire de manière authentique des véhicules de cette période.
L'iconographique fait appel à des documentsméconnus, aussi bien en noir et blanc qu'en couleur, et d'une grande diversité, digne reflet de ces gares. Les quelques 300 photographies de ce livre sont le fruit d'une longue recherche pour mettre en avant cette histoire du rail français.
La collection Héritage, qui a déjà traité différentes machines, s'attaque aujourd'hui au cas des vapeurs, probablement les machines les plus mythiques de l'histoire du rail de France.
Généralement vues en noir et blanc, Didier Leroy et Philippe Feuteun se proposent aujourd'hui de nous les faire redécouvrir en couleurs ! Avec une sélection de clichés venant de différents photographes, ils retracent ainsi une partie de l'Histoire du rail.
Des différentes Compagnies aux différents types de réseaux, les locomotives à vapeur représentent une partie non négligeable de l'histoire ; dans cet ouvrage figure un panel de machines qui méritent qu'on leur porte une attention particulière. Ce voyage à travers le temps offre un panorama de l'époque où le rail était encore très présent, jusque dans les lieux les plus oubliés !
A la fin du XIXe siècle, les cures thermales se développent pour une clientèle aisée, un essor accentué par leur démocratisation après 1918. Les compagnies de chemin de fer vont très tôt s'intéresser à ces voyageurs saisonniers en leur garantissant un confort à la hauteur de leurs attentes, avec des trains directs au départ de Paris offrant une restauration raffinée, et des gares à l'architecture et au standing en harmonie avec les villes thermales desservies.
Ce livre retrace cette riche histoire ferroviaire aujourd'hui disparue, à travers de nombreuses images et documents inédits.
Partant de la capitale, les « trains des eaux » s'aventurent dans des paysages bucoliques au coeur de l'Est et de l'Auvergne.
La vapeur s'effacera au milieu des années 1960 au profit de la traction diesel ou électrique.
Voyageurs et cheminots sont mis en relief, ce qui donne à cet ouvrage les couleurs de la vie.
Situés à la croisée de tant de chemins, les Hauts-de-France ont hérité d'un passé très fertile et haut en couleurs. Dans cet ouvrage, les auteurs ont sélectionné les histoires les plus folles qui ont émaillé la vie de cette région. Trente histoires rigoureusement véridiques, souvent peu connues, qui empêchent de refermer les pages de ce livre.
Les auteurs nous plongent ainsi dans la découverte d'un étrange crâne de cristal qui donna naissance à une terrible prophétie, au coeur d'un village entier sous la terre que tout le monde avait oublié, ou dans les arcanes d'un des conflits sociaux les plus durs de France qui démarra à cause... de simples boutons de chemise !
Le lecteur s'enthousiasmera encore à la découverte de destins hors du commun : ces deux frères fondateurs d'un empire dans le ciel, cet ennemi public numéro un devenu premier policier de France, ce mineur martyrisé qui deviendra une icône, ou ces prisonniers de la mer qui feront frémir la France entière...
Prêts à vous émerveiller ?
Un midi, Juliette trouve un drôle d'objet : une baguette toute noire.
Et si c'était une baguette magique ? Pour le savoir, il faut essayer : " Fais apparaître des frites ! " demande la fillette. Mais rien ne se passe. Rien ne se passe non plus quand elle tente de détraquer la sonnerie de l'école ou de coller les bureaux au plafond... Jusqu'à ce qu'elle parvienne à transformer la maîtresse en grenouille ! Horreur ! Vite, elle doit comprendre comment fonctionne cette baguette magique !
La gare Montparnasse actuelle ne bénéficie pas, contrairement à ses consoeurs parisiennes, de l'attrait d'une architecture héritée du temps des compagnies : sa reconstruction au milieu des années soixante l'a définitivement rangée dans la catégorie des gares modernes, rationnelles mais sans cachet. Les gares de Montparnasse étaient restées longtemps marquées de la modernisation des années trente réalisée par le Réseau de l'Etat dirigé par Raoul Dautry. Les locomotives à vapeur 141 P fréquentèrent pourtant la ligne de Granville et la nouvelle gare jusqu'en 1968 ! Dans l'esprit des précédents ouvrages de cette collection, les auteurs vous invitent à découvrir par l'image le passé de la gare Montparnasse et de ses lignes de banlieue jusqu'à Chartres et Dreux en choisissant des vues les plus vivantes possibles.