Richard Powers embrasse un sujet aussi vaste que l'univers : celui de la nature et de nos liens avec elle.Après des années passées seule dans la forêt à étudier les arbres, la botaniste Pat Westerford en revient avec une découverte sur ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Autour de Pat s'entrelacent les destins de neuf personnes qui peu à peu vont converger vers la Californie, où un séquoia est menacé de destruction.
Au fil d'un récit aux dimensions symphoniques, Richard Powers explore ici le drame écologique et notre égarement dans le monde virtuel. Son écriture généreuse nous rappelle que, hors la nature, notre culture n'est que " ruine de l'âme ".
" Si Powers était un auteur américain du 19e siècle, qui serait-il ? Il serait probablement Herman Melville, et il écrirait
Moby Dick. " Margaret Atwood
NOUVELLE ÉDITION DE L'UN DES PLUS GRANDS BEST SELLERS DE LA DERNIERE DECENNIEEn 1875, un chef cheyenne demanda au président Grant de lui faire présent de 1000 femmes blanches à marier à 1000 de ses guerriers afin de favoriser l'intégration.
Prenant pour point de départ ce fait historique, Jim Fergus retrace à travers les carnets intimes d'une de ceS femmes blanches, May Dodd, les aventures dans les terres sauvages de l'Ouest de ces femmes recrutées pour la plupart dans les prisons ou les asiles psychiatriques.
C'est à la fois un magnifique portrait de femme qu'il nous offre ainsi, un chant d'amour pour le peuple indien, et une condamnation sans appel de la politique indienne du gouvernement américain d'alors.
Cette épopée fabuleusement romanesque, qui s'inscrit dans la grande tradition de la saga de l'Ouest américain, a été un événement lors de sa publication aux États-Unis. Elle a été encensée par les plus grands écrivains américains. Les droits de ce livre ont été achetés par Hollywood.À sa parution en 2000, Mille Femmes blanches a inauguré la littérature étrangère au cherche midi.
Mille femmes blanches : L'héritage1875. Un chef cheyenne propose au président Grant d'échanger mille chevaux contre mille femmes blanches, afin de les marier à ses guerriers. Celles-ci, " recrutées " de force dans les pénitenciers et les asiles du pays, intègrent peu à peu le mode de vie des Indiens, au moment où commencent les grands massacres des tribus.
1876. Après la bataille de Little Big Horn, quelques survivantes décident de prendre les armes contre cette prétendue " civilisation " qui vole aux Indiens leurs terres, leur mode de vie, leur culture et leur histoire. Cette tribu fantôme de femmes rebelles va bientôt passer dans la clandestinité pour livrer une bataille implacable, qui se poursuivra de génération en génération.
Dans cet ultime volume de la trilogie
Mille femmes blanches, Jim Fergus mêle avec une rare maestria la lutte des femmes et des Indiens face à l'oppression, depuis la fin du xixe siècle jusqu'à aujourd'hui. Avec un sens toujours aussi fabuleux de l'épopée romanesque, il dresse des portraits de femmes aussi fortes qu'inoubliables.
Rentrée littéraire - Enfin la suite de Mille Femmes Blanches !1875. Dans le but de favoriser l'intégration, un chef cheyenne, Little Wolf, propose au président Grant d'échanger mille chevaux contre mille femmes blanches pour les marier à ses guerriers. Grant accepte et envoie dans les contrées reculées du Nebraska les premières femmes, pour la plupart " recrutées " de force dans les pénitenciers et les asiles du pays. En dépit de tous les traités, la tribu de Little Wolf ne tarde pas à être exterminée par l'armée américaine, et quelques femmes blanches seulement échappent à ce massacre.
Parmi elles, deux soeurs, Margaret et Susan Kelly, qui, traumatisées par la perte de leurs enfants et par le comportement sanguinaire de l'armée, refusent de rejoindre la " civilisation ". Après avoir trouvé refuge dans la tribu de Sitting Bull, elles vont prendre le parti du peuple indien et se lancer, avec quelques prisonnières des Sioux, dans une lutte désespérée pour leur survie.
Avec cette aventure passionnante d'un petit groupe de femmes prises au milieu des guerres indiennes, Jim Fergus nous donne enfin la suite de
Mille femmes blanches. Le miracle se produit à nouveau et cette épopée fabuleusement romanesque, véritable chant d'amour à la culture indienne et à la féminité, procure un incommensurable plaisir de lecture.
La suite tant attendue de Beignets de Tomates VertesBud a grandi dans la petite ville ferroviaire de Whistle Stop, Alabama, avec sa mère Ruth et sa tante Idgie - incontrôlable pétroleuse. Ensemble, elles ont tenu le fameux Whistle Stop Café, connu dans le monde entier pour ses succulents beignets de tomates vertes. Hélas, tout a une fin. La gare a fermé, Whistle Stop est devenue une ville-fantôme. Il n'en est resté que des bâtiments condamnés et le souvenir diffus d'un bonheur enfui.
Malgré tout, Bud décide d'y accomplir un dernier voyage afin de revoir l'endroit où il fut si heureux. Chemin faisant, il va se faire de nouveaux amis, apprendre des choses surprenantes sur les gens qu'il a connus et dont il croyait tout savoir.
Surtout, il va déclencher une série d'événements qui vont changer non seulement sa vie, mais aussi celle de ses proches. Avec, en arrière-plan, cette question : ce que nous prenons pour des coïncidences en sont-elles réellement ?
Tout aussi réconfortant, inspirant et enchanteur que
Beignets de tomates vertes,
Retour à Whistle Stop est une ode à la vie et à la magie du quotidien.
Meurtres en Alabama.Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d'une fillette noire est retrouvé. La police s'en préoccupe de loin. Mais voilà que d'autres petites filles noires disparaissent...
Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d'enquêter pour le père de la première victime.
Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s'interroge : " Les petites filles, ça disparaît pas comme ça... "
Deux êtres que tout oppose.
A priori.Sous des airs de polar américain,
Alabama 1963 est avant tout une plongée captivante dans les États-Unis des années 1960, sur fond de ségrégation, de Ku Klux Klan et d'assassinat de Kennedy.
Rentrée littéraire 2020
Un premier roman addictif et piquant qui nous plonge dans la psyché d'une femme sur le fil du rasoir. Sombre et tendre, Évidemment Martha conjugue la profondeur psychologique des romans de Sally Rooney à l'humour acéré de Nina Stibbe ou de Phoebe Waller-Bridge.Quelque chose ne tourne pas rond chez Martha, et depuis longtemps. Lorsqu'elle avait dix-sept ans, une petite bombe a explosé dans son cerveau et elle n'a plus jamais été la même. Et malgré toutes les consultations, thérapies sans fin et traitements hasardeux, elle ne sait toujours pas ce qui ne va pas... Pourquoi passe-t-elle des journées entières au fond de son lit ? Et pourquoi continue-t-elle à se mettre à dos des inconnus, et des proches, avec ses remarques cruelles et désinvoltes ?
Aujourd'hui, son mari l'a quittée et elle n'a plus nulle part où aller, si ce n'est dans la maison de son enfance, une maison bohème (délabrée) dans un quartier romantique (délabré) de Londres. Et rien d'autre à faire que retrouver sa mère, une sculptrice au talent confidentiel - et très alcoolique - et son père, un poète célèbre - bien que jamais publié... Mais comment survivre là-bas sans sa soeur dévouée, grande gueule, qui rendait tout ce chaos supportable pendant leur enfance, et qui est maintenant trop occupée ou trop fatiguée pour prendre soin d'elle ?
Peut-être qu'en repartant de zéro, Martha pourra écrire un meilleur dénouement pour son histoire ratée - ou découvrir que cette histoire n'est pas encore tout à fait terminée.
"
Évidemment Martha est un livre brillant et extrêmement drôle sur la dépression. Ce texte m'a happée comme j'espère toujours être happée par un roman. En le lisant, je faisais la liste de toutes les personnes à qui je voulais l'envoyer, jusqu'à ce que je comprenne que je voulais l'envoyer à toutes les personnes que je connais. " Ann Patchett
" Un roman véritablement drôle sur l'amour et le désespoir de la dépression. C'est une chose rare et belle quand un auteur parvient à vous briser le coeur avec humour ; c'est aussi la qualité que j'admire le plus chez un écrivain. " Cynthia D'Aprix Sweeney,
The New York Times" Un roman incroyablement drôle, porté par une énergie folle. Pourtant, il parvient toujours à être sensible et sincère, et à offrir un portrait nuancé de ce que cela signifie d'essayer de s'amender et de changer, même lorsque cela implique de repartir de zéro. "
The Guardian
Un road trip initiatique et sensible à travers l'Amérique par les auteurs d'Alabama 1963.Philadelphie, juillet 1973. Voilà un an qu'Amy est sans nouvelles de sa grande soeur partie tenter sa chance au Manoir Playboy, à Los Angeles. Inquiète, la jeune adolescente décide de la rejoindre. Pour cela, il lui faudra traverser les États-Unis. Seule.
Dans une Amérique de la contre-culture secouée par le scandale du Watergate et traumatisée par la guerre du Vietnam, elle croisera la route d'individus singuliers : vétéran, couple en cavale, hippies de la dernière heure, un Bruce Springsteen encore débutant, mais aussi une certaine Lorraine, autrefois serveuse à Birmingham, en Alabama...
Dans ce deuxième roman, les auteurs d'
Alabama 1963 convoquent
Sur la route,
L'Attrape-coeurs,
Le Magicien d'Oz ou encore
Alice au pays des merveilles pour un road trip initiatique sensible et original. Une ode à l'amitié et à la liberté.
" Le Whistle Stop Café était le foyer de tous ceux qui n'en avaient pas, c'était là qu'on se retrouvait tous, c'était là qu'était la vie. "Evelyn Couch, femme au foyer vivant mal l'approche de la cinquantaine, se rend chaque semaine dans une maison de retraite où elle se lie d'amitié avec Ninny Threadgoode, fringante octogénaire qui lui raconte ses fabuleuses histoires de jeunesse. Nous voici alors en Alabama, dans les années 1930. Commence alors l'aventure du Whistle Stop Café, bientôt connu de tous les laissés-pour-compte du pays pour être le refuge idéal contre les rigueurs de l'époque.
Peu à peu, les personnages de cette vivifiante épopée deviennent pour Evelyn mieux que des amis : des modèles. Rassérénée par le récit de la vieille dame, ode à la joie, à la fraternité et à la résilience, notre héroïne reprend le dessus sur sa vie. Suivant les conseils de Ninny, elle va enfin pouvoir se confronter à ses peurs et retrouver le goût du bonheur.
Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d'humour.
" Une histoire drôle, généreuse et poignante "Harper Lee
Quel est le secret des soeurs-servantes de Saint-Michel ?1209, Sud-Ouest de la France. En charge de la croisade contre l'hérésie cathare, les Dominicains poursuivent dans l'ombre un autre objectif : en finir avec une société secrète, les soeurs-servantes de Saint-Michel, dépositaire depuis plusieurs siècles de mystérieuses reliques liées aux premières heures du christianisme.
1428, Pyrénées. L'Espagne est occupée par les musulmans. Alors que les troupes chrétiennes regagnent du terrain, les Maures mettent à sac églises et couvents et s'en prennent aux voyageurs qui essaient de passer en France. À la frontière, un homme leur échappe de justesse grâce à l'une des servantes de Saint-Michel, qui va bientôt lui dévoiler les mystères de son ordre.
2022, Gand, Belgique. Nick Lee travaille pour l'Unesco à la sauvegarde des oeuvres d'art en péril. Alors qu'il vient de retrouver une amie, Kelsey, une religieuse et restauratrice de tableaux, un attentat est perpétré contre un chef-d'oeuvre de la peinture flamande datant de 1428. Celui-ci renfermerait-il un secret bien gardé ?
Après Cotton Malone, découvrez Nick Lee, le nouveau héros de Steve Berry. Des couloirs du Vatican aux hauts lieux du catharisme en Occitanie, en passant par une abbaye au coeur des Pyrénées, le maitre du thriller historique nous offre une fois encore un passionnant jeu d'échecs, ancré dans l'histoire de la France et de l'Église.
Après Les Saintes Reliques, le retour de Cotton Malone sur les traces des secrets nazis.Strasbourg, août 1944 : Martin Borman, conseiller spécial d'Hitler, réunit les plus grands industriels et financiers allemands. La guerre est perdue pour les nazis, il est urgent d'organiser la fuite et la dissimulation des capitaux avant que ceux-ci ne tombent dans les mains des Alliés.
Berlin, 30 avril 1945 : enfermés dans le bunker depuis dix jours, Adolf Hitler et Eva Braun se donnent la mort.
Biélorussie, 2021 : Cotton Malone entre en possession d'un dossier confidentiel au contenu explosif, issu des services secrets soviétiques. Si les informations qu'il contient sont avérées, c'est toute l'histoire de l'Europe depuis 1945 qu'il faut réécrire.
Que s'est-il vraiment passé dans le bunker le 30 avril 1945 ? Adolf Hitler et Eva Braun y ont-ils bien trouvé la mort ? Et qu'est devenu Martin Borman, dont le cadavre n'a jamais été formellement identifié ? Autant de questions auxquelles Cotton, sur les traces de l'or nazi, va devoir répondre au péril de sa vie.
Avec cette nouvelle aventure de Cotton Malone aux rebondissements incessants, Steve Berry nous emmène du Chili à la Suisse en passant par l'Afrique du Sud, et pose des questions troublantes qui vont ravir les amateurs de conspirations et d'énigmes historiques.
Art, amour, Révolution : le récit d'une existence hors du commun.Née à Strasbourg en 1761, la jeune Marie Grosholz, future madame Tussaud, est employée dès son plus jeune âge comme apprentie par un sculpteur sur cire. Lorsque le duo devient célèbre à Paris pour ses réalisations, Marie a pour modèles les plus grandes personnalités de l'époque : Voltaire, Rousseau, Benjamin Franklin, etc. Bientôt elle est accueillie à la Cour où elle prodigue des leçons de sculpture à la princesse Élisabeth, soeur du roi. En 1789, la capitale entre en ébullition, la foule exige des têtes. C'est le début d'une incroyable décennie pour Marie qui, échappant de peu à la guillotine, se voit chargée d'exécuter les masques mortuaires de ses amis les plus proches (Louis XVI), comme de ses ennemis les plus acharnés (Robespierre).
Avec ce récit palpitant, illustré de magnifiques dessins de l'auteur, Edward Carey nous fait entrer dans l'intimité d'une femme au destin exceptionnel." Un roman captivant, viscéral, bouleversant ! " The Guardian" Petite est le roman que Dickens aurait sans doute écrit s'il avait vu les films de Tim Burton. " Nick Hornby
Jusqu'où un père peut-il aller pour sauver son fils injustement accusé d'assassinat ?Madrid. À la suite d'un appel téléphonique, la police découvre un homme couvert de sang, prostré près du corps de sa femme dans leur maison d'un quartier résidentiel. Tous les indices l'incriminent. Jugé coupable, Gustavo Fonseca écope d'une lourde peine de prison.
Un an plus tard, Ramón Fonseca, le père de Gustavo, entre dans un commissariat et affirme être le ravisseur de trois personnes portées disparues. Leur point commun : ils ont tous un lien avec la condamnation de son fils. L'un est l'avocat qui a défendu Gustavo, le deuxième est le juge qui l'a envoyé en prison, quant à la troisième personne, elle a témoigné contre lui lors de son procès.
Convaincu que tous les trois ont été soudoyés, le vieil homme donne moins d'un mois à la police pour retrouver le véritable assassin de sa belle-fille et libérer Gustavo. Sans cela, il les tuera, l'un après l'autre.
L'inspectrice Indira Ramos, à l'éthique aussi tenace que sa phobie des microbes, n'aura que quelques semaines pour résoudre l'affaire avant que le " bon père " ne mette son plan macabre à exécution.
" Que seriez-vous prêt à faire pour votre enfant ? Le Bon Père contourne toutes les limites morales. Addictif. " Carmen Mola" Vertigineux. [...] Un roman qui, au fil des pages, ne perd ni son dynamisme ni sa saveur, un véritable page-turner, qui nous garde implacablement prisonniers d'une affaire à partir de laquelle, telle une poupée matriochka, de multiples autres événements, non moins intéressants, se dénouent. " Diari de Tarragona
La chaleureuse, la merveilleuse et bordélique famille Hayes est de retour !Rabbit Hayes est morte, laissant derrière elle une famille brisée par le chagrin.
Désespérée, sa mère Molly se questionne sur sa foi tandis que son père Jack s'enferme dans le grenier durant des heures pour se perdre dans ses journaux intimes. Et peut-être son passé.
C'est à Davey, son frère, qu'on confie la garde de Juliet, douze ans, que Rabbit élevait seule.
Mais comment aider Juliet à surmonter son chagrin quand lui-même parvient à peine à faire face au sien ?
Il faudra du temps et beaucoup de courage aux Hayes pour réinventer leur vie ensemble. Mais le souvenir radieux de Rabbit et l'amour inconditionnel qui relie chaque membre de cette famille peu conventionnelle sauront leur faire traverser cette épreuve.
Il y aura des sourires qui transperceront la tragédie et beaucoup, beaucoup de fantaisie pour que chacun profite pleinement de cette vie, comme Rabbit l'aurait voulu.
L'auteur à succès des
Derniers Jours de Rabbit Hayes nous revient un roman éclatant de générosité et de résilience. Un livre émouvant sur la mort, la famille et la joie qu'il ne tient qu'à nous de faire subsister aux moments les plus désespérés.
Sous un grand ciel bleu d'Anna McPartlin vous fera rire, pleurer et hurler de joie.
Quel est le secret caché dans les souterrains de Notre-Dame ?1301 : un personnage étrange s'aventure dans les souterrains de Notre-Dame à la recherche du célèbre alchimiste catalan Arnaud de Villanova. Mais ce dernier a pris la fuite pour se réfugier à Rome, auprès du pape Boniface VIII. Le tout-puissant Philipe le Bel engage alors un bras de fer implacable contre l'Église pour ramener à Paris le vieux savant et le convaincre de livrer son secret.
Au coeur de cette enquête palpitante menée entre Paris et Rome : le conflit entre les Templiers et le royaume de France, une ténébreuse affaire de famille qui menace la dynastie des Capétiens et le duel impitoyable entre le roi de France et le pape, qui s'apprête à l'excommunier.
Historienne travaillant depuis de nombreuses années sur l'ordre du Temple aux archives secrètes du Vatican, Barbara Frale tisse ici une toile machiavélique autour de faits réels et peu connus de l'Histoire de France.
À propos des
Templiers :
" C'est le livre que j'attendais, il est passionnant et d'une érudition sans failles. "
Umberto Eco
Inventive, dérangeante et incroyablement prophétique, La Destruction libératrice est un classique oublié qu'il est précieux de relire aujourd'hui pour sa pertinence et sa force prémonitoire intactes.Écrit en 1913, ce roman dépeint une planète terrassée par une guerre annonçant bien sûr le drame de 1914-1918 mais aussi le second conflit mondial. H. G. Wells est le premier à décrire une explosion atomique. Et il va encore plus loin en posant des questions qui sont aujourd'hui au coeur de notre actualité : consommation abusive d'énergie, destruction de la nature, mise en place d'un " nouvel ordre mondial " - expression qu'il est d'ailleurs le premier à employer. Wells pressent ainsi l'accélération de la mondialisation dont nous mesurons actuellement l'inquiétante puissance.
C'est donc une expérience unique que propose la réédition de ce texte : celle d'une lecture fascinante qui, grâce à l'imagination débridée, lucide et communicative de l'auteur, dessine les contours d'une catastrophe dont nous sommes aujourd'hui à la fois les acteurs et les victimes. Un tour de force littéraire.
Une seule femme peut forger une dynastie.Un roman historique captivant inspiré de la vie de Julia Domna, l'un des personnages féminins les plus fascinants et pourtant méconnus de l'histoire de Rome.
192 après J.-C. : Rome est sous le contrôle de Commode, un empereur fou. L'assassinat du tyran, puis du nouvel auguste nommé par le Sénat, ouvre la porte à un tourbillon d'intrigues et de luttes pour le pouvoir. Les prétendants sont prêts à tout, pensant que le jeu est sur le point de commencer. Mais pour Julia Domna, il a déjà commencé...
À Rome, l'intelligence et la beauté de la belle Syrienne suscitent admiration et jalousie. Dans son combat pour protéger sa famille et servir les intérêts de son mari, le gouverneur Septime Sévère, Julia fait preuve d'une grande clairvoyance et de beaucoup d'ingéniosité au milieu d'une époque tumultueuse. Une époque marquée par la succession de quatre empereurs en autant d'années.
Tandis que le grand empire de Rome est menacé par une guerre civile capable de saper ses fondements mêmes, Julia a un plan très ambitieux : faire de Septime Sévère le futur empereur et fonder une dynastie.
Complots, batailles, mensonges et trahisons... Rien ne manque à cette fresque historique terriblement romanesque.
Les romans historiques peuvent être vraiment palpitants, et Posteguillo en maître du genre nous livre ici un festin antique ! - El País
" J'aurais pu en déduire que cet homme, mon père, ne m'aimait pas, et ainsi le laisser anéantir une partie de moi. Mais j'avais compris qu'il m'avait désiré comme rien d'autre au monde, de cet amour et cette fougue sans limites si propres à la jeunesse. "Fils d'un monstre sacré du cinéma et d'une comédienne éprise de liberté, Anthony Delon lève le voile sur sa famille, celle qui se révélait une fois les micros éteints et la porte refermée. Il offre un témoignage bouleversant sur son enfance, ses années de jeunesse, la maladie de sa mère qu'il a accompagnée jusqu'au dernier jour.
Son questionnement est universel. Comment dépasser ses peurs, ses blessures, ses déceptions ? Comment ne pas reproduire le schéma imposé par une famille, où l'amour serait la première victime d'une malédiction qui se transmettrait de génération en génération ? Comment, enfin, devenir un homme et rester debout ?
Elles étaient seules, elles étaient vraies, elles étaient magnifiques.Colorado, 1873. Après la mort de son mari, Margaret Parker décide de continuer à s'occuper de son ranch. À ses côtés, celles qu'elle considère comme sa famille : deux soeurs, Joan et Stella, une cuisinière, Julie, et Hattie, une ancienne esclave au passé aventureux. Mais des femmes seules sur un ranch ont vite fait d'exciter toutes les convoitises, et bientôt elles sont dépossédées de leurs biens. Elles n'ont plus, chacune, qu'un cheval, et le choix qui reste dans l'Ouest américain à celles qui ont tout perdu : se marier ou se prostituer. Ces femmes-là vont néanmoins trouver une option inédite pour survivre : tourner le dos à la loi dont elles ont été les victimes et prendre les armes pour se faire justice. Le gang Parker est né. Bien vite, les exploits de cette mystérieuse bande de femmes défraient la chronique et les Pinkerton se mettent sur leur piste.
Les Femmes d'Heresy Ranch est un formidable récit d'aventures tiré de faits réels. Historienne et romancière au talent fou, Melissa Lenhardt y crée des personnages inoubliables, au caractère bien trempé, et nous livre des informations inestimables sur la vie méconnue des femmes dans l'Ouest américain.
Le caramel qui ne vous tue pas vous rend plus fort Ces derniers temps, l'existence d'Hannah a une saveur douce-amère. Certes, sa soeur Andrea est enceinte - et c'est une source inépuisable d'irritation et d'amusement - et, oui, elle prend toujours beaucoup de plaisir à donner des cours de cuisine au lycée de Lake Eden. Mais sa vie sentimentale, elle, reste compliquée. Entre Norman le dentiste et Mike le gentil flic, son coeur balance.
Quand soudain, la petite ville est frappée par un nouveau meurtre ! On retrouve derrière le lycée le corps du vieux shérif Grant. Avec, sur son uniforme, les traces d'un cupcake au caramel confectionné par Hannah.
Quitte à se mêler, comme elle sait si bien le faire, de ce qui ne la regarde pas, notre héroïne se met en tête de chercher le coupable. Sa mère et son chat ne seront pas en reste pour rendre cette histoire aussi sucrée que piquante !
Secrets scandaleux, trahisons brûlantes, rebondissements en pagaille, tous les ingrédients sont réunis pour une enquête passionnante. Avec de nouvelles recettes de pâtisseries toujours succulentes pour en affronter les multiples péripéties.
Le chef d'oeuvre méconnu d'Alexandre Dumas, dans la lignée des Trois Mousquetaires.Décembre 1628. D'Artagnan et les trois mousquetaires participent au siège de La Rochelle. Victorieux des Anglais, le cardinal de Richelieu regagne Paris. Au même moment, un jeune aristocrate arrive dans la capitale, le comte de Moret, porteur de mystérieuses lettres destinées à Marie de Médicis, à Anne d'Autriche et au duc d'Orléans. C'est le début d'une véritable saga, faite de complots, d'aventures, de passions et de jeux de pouvoir. Avec, au coeur du tourbillon, Richelieu, surnommé le Sphinx rouge, dont l'ombre planait déjà sur Les Trois Mousquetaires et qui apparaît ici en pleine lumière, déjouant toutes les intrigues qui menacent le trône de France.
Publié en feuilleton en 1865 et 1866, ce grand roman oublié est l'un des derniers qu'Alexandre Dumas ait écrits. Dans ce livre qui débute quelques jours seulement après Les Trois Mousquetaires -; et non " vingt ans après " -; nous est dévoilé tout un pan de l'histoire de France : de la vérité cachée sur la mort d'Henri IV à l'arrivée de Mazarin. Le Sphinx rouge est suivi ici d'un autre récit de Dumas, La Colombe, qui conclut les aventures du comte de Moret.
Une vision totalement inédite des croisades : aussi palpitant et addictif qu'une série !1095. L'empereur de Byzance demande l'aide militaire des chrétiens d'Occident afin de restaurer sa puissance menacée par les musulmans. Le pape Urbain II, saisissant l'occasion, exhorte ses fidèles à délivrer la Terre sainte de l'emprise islamique. Les volontaires sont légion, d'autant que l'absolution des péchés leur est promise. Si la première croisade, qui s'achève par la prise de Jérusalem, est vécue comme un succès par les chrétiens, les musulmans y voient, eux, une terrible humiliation. Dès lors, Europe et Proche-Orient s'enlisent dans une guerre sans fin, aux répercussions encore tangibles aujourd'hui.
Pour la première fois, un historien nous donne un récit totalement incarné des croisades. Dan Jones s'intéresse en effet ici d'abord et avant tout aux individus, qu'ils soient chrétiens, juifs, musulmans, hommes ou femmes, célèbres ou anonymes. Doué d'un sens de l'intrigue digne des plus grands romanciers, il nous fait entrer dans leur intimité et nous offre ainsi un tableau passionnant et inédit de l'époque. C'est
littéralement une autre façon d'écrire, de lire... et de vivre l'Histoire.
Un récit traversé par le conte, à la lisière de l'onirisme." Ce bruissement céleste qui jadis m'enchantait s'était cousu les lèvres en plein mois de juillet sous un soleil de plomb. Plus un battement d'ailes, plus une mélopée [...] Il était quinze heures trente ce dimanche onze juillet, et j'avais vingt-sept ans, l'âge où les étoiles meurent. "Rêveur déchu du 21e siècle, Alexandrin a perdu ses papillons.
Vous savez, ceux qui virevoltent au creux de nos ventres endormis lorsqu'on tombe amoureux. Ceux dont le doux bruissement nous émerveille.
Au détour d'un hasard, la jeune Marie croisera sa route et l'aidera à renaître.
Mais Marie porte en elle un silencieux fardeau avec lequel il devra composer avant de réentendre ce doux murmure.
Contraints de se cacher, bravant les interdits, nos amoureux se dessineront un monde à part. Jusqu'à ce que...
Avec
Les Papillons, son premier roman, Barcella nous offre un récit traversé par le conte, à la lisière de l'onirisme. Un univers à la fois poétique, sensible et malicieux. Des personnages symboliques et singuliers comme autant de petits cailloux placés sur nos routes pour que renaisse une ode oubliée.
Un beau livre illustré par des images exceptionnelles, jalonné d'extraits de textes d'époque sur l'histoire de la propagande coloniale.Pendant plus d'un siècle, de la IIIe République naissante (1870) à la dernière décolonisation (1980, les Nouvelles-Hébrides), la propagande coloniale a fait partie du quotidien des Français. Affiches touristiques ou de recrutement militaire, expositions universelles et coloniales, manuels scolaires et protège-cahiers, couvertures de livres et de magazines, presse illustrée et brochures de propagande, photographies et cartes postales, jeux de société et bandes dessinées, publicités et films, monuments et statues, peintures et émissions de radio... tous les supports ont participé à cette apologie de la " plus grande France ". Au coeur de l'État, une Agence des colonies a été le fer de lance de cette propagande, et beaucoup ont oublié son action. Génération après génération l'idée coloniale a fait son chemin, pour devenir consensuelle durant l'entre-deux-guerres et se prolonger jusqu'aux dernières heures de l'Algérie française et même au-delà. Au coeur de cette dynamique, l'image a été un vecteur essentiel du message colonial, portant un regard paternaliste et raciste sur ceux que l'on appelait les " indigènes ".
Ce livre analyse, décode et replace dans son contexte cette incroyable production, permettant, en croisant les sources les plus diverses et des archives exceptionnelles, de comprendre les mécanismes de l'adhésion du plus grand nombre à l'Empire. Par un remarquable décryptage des images, accompagné de citations pour chaque époque, ce travail nous montre comment a été construit l'univers symbolique structurant l'imaginaire sur la colonisation. Celui-ci est indissociable de l'identité nationale et a des répercussions sur les grands enjeux politiques, économiques et idéologiques pendant près d'un siècle. Ce livre, écrit à cinq voix, permet de comprendre comment le discours sur la " mission civilisatrice " s'est imposé et comment se sont bâties les grandes mythologies de la " République coloniale ", dont certaines représentations perdurent. Cette approche inédite sur notre culture visuelle, politique et historique participe au travail de déconstruction en cours sur l'héritage de la colonisation, nous permettant de regarder autrement ce passé et ses résonances dans le présent.