La vie et l'oeuvre des plus grands écrivains français !
Grâce au Petit Larousse des grands écrivains français, découvrez ou redécouvrez les textes majeurs, les écrivains et les poètes incontournables, les principaux genres et mouvements littéraires. Plongez dans l'univers de chaque auteur, le contexte de la genèse de ses écrits et de ses choix stylistiques. Des anecdotes insolites ou amusantes vous dévoileront également des aspects méconnus de sa vie et de son oeuvre.
Richement illustré, le Petit Larousse des grands écrivains français décrypte de nombreux textes de façon claire et minutieuse. Enrichi des extraits emblématiques des oeuvres les plus célèbres, il permet de comprendre toute la richesse de la littérature française, d'en saisir son histoire et d'en percevoir son caractère éternel.
Tous les parcours présentés dans cet ouvrage s'appuient sur les archives de la justice française de l'Occupation et de la Libération. Des documents peu ou mal connus qui offrent un regard nouveau sur l'histoire de la Résistance en Haute-Marne, mais également dans le périmètre de l'Interrégion Est.
En 1941, des centaines de Juifs immigrés parisiens sont envoyés cultiver la terre dans les Ardennes. C'est le projet « Retour à la terre ». Ils seront déportés à Auschwitz en janvier 1944.
En avril 1941 débute le projet « Retour à la terre » de juifs immigrés, initié par le Consistoire israélite et proposé au Commissariat général aux questions juives. Cette main-d'oeuvre « volontaire », dupée et réduite à l'état de forçat, sera envoyée dans la « zone interdite » des Ardennes. Là-bas, cette « Terre promise » de liberté et de sécurité, deviendra très vite un piège redoutable.
Celles et ceux qui y séjourneront laisseront leur santé, et parfois leur vie dans ces champs et ces cantonnements. Ceux qui y survivront seront raflés en janvier 1944 et déportés à Auschwitz après un passage par Drancy.
À l'aide d'archives et de témoignages, Maurice Rajsfus approfondit un autre aspect de la collaboration des notables de l'Ugif qui, espérant se sauver en servant l'occupant, finirent eux-mêmes déportés.
Rescapé de la rafle du Vél' d'Hiv à quatorze ans, Maurice Rajsfus n'aura de cesse, jusqu'à sa mort en juin 2020, d'interroger la période et ses acteurs. Attaché à raconter certains épisodes sans grand retentissement que connaissent les guerres, ces histoires inconnues qui devraient être contées, il sera l'auteur de plus de 60 ouvrages.
Il a été le premier à démontrer dans Des Juifs dans la Collaboration : L'Ugif (1941-1944), sources à l'appui, la mécanique infernale de ce Judenrat à la française.
La bataille des Ardennes fut le théâtre des plus intenses combats de chars que l'US Army ait connu durant toute la Seconde Guerre mondiale. À la fin de l'année 1944, l'armée américaine a déployé plus de 4 000 chars Sherman sur l'ensemble du front occidental, mais seuls 170 sont stationnés dans les Ardennes au début des hostilités. Un diorama puzzle ? Quelle drôle d'idée, me direz-vous. Mais aussi, quel challenge ! Une fois le thème trouvé - la bataille des Ardennes reste un sujet propice pour des mises en scène riches - il me fallait réaliser un diorama d'envergure capable de se décomposer en quatre saynètes qui, individuellement, restent des scènes dynamiques et vivantes totalement indépendantes. Regroupées, elles forment un ensemble cohérent et donnent plus de profondeur aux différentes actions. Ce choix m'a en outre permis de travailler plus confortablement sur chaque décor. J'ai toutefois dû déconcevoir et réaliser des jonctions faciles à camoufler pour obtenir un résultat final impeccable. Chaque chapitre aborde des thèmes différents qui, je l'espère, vous intéresseront et vous apporteront des solutions pour envisager vos propres décors et pourquoi pas sous la forme d'un diorama puzzle.
Le 16 décembre 1944 à l'aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler tente un dernier coup de dés pour contrer l'avancée des Alliés en lançant trois armées à travers les Ardennes belges et luxembourgeoises. Les objectifs de l'opération« Wacht am Rhein » sont clairs : foncer vers l'ouest et franchir la Meuse, s'emparer du port d'Anvers et avancer jusqu'à Bruxelles. Alors, espèrent les nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-Saxons. Véritable épopée, la bataille des Ardennes a été la plus coûteuse pour l'armée américaine en Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale. Pendant six semaines, les soldats allemands et alliés livrent des combats acharnés dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, malgré l'épuisement physique et moral. Le 31 janvier 1945, les Allemands ont perdu près de 100 000 hommes et un millier de blindés ainsi que plusieurs centaines d'avions. Autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
Alors que la fortification des frontières du Nord-Est est pratiquement achevée, l'Etat-Major décide d'ériger le long de la frontière allemande une série de postes bétonnés avancés connus sous le nom de maisons fortes. Chargés de donner l'alerte en cas d'attaque brusquée et de faire jouer des destructions sur les axes de pénétration vers la ligne fortifiée, ces organes sont alors pleinement justifiés.
En 1937, le Commandement se propose de faire construire le même genre de maisons fortes le long d'une partie de la frontière belge, en rive droite de la Meuse. Vingt-deux maisons fortes vont ainsi voir le jour, de Carignan à Hautes-Rivières. Situées derrière un pays neutre, elles présentent beaucoup moins d'intérêt que celles implantées le long de la frontière allemande et leur rôle pendant la drôle de guerre va se limiter à celui de postes frontière. Intégrées dans le plan de repli de la Cavalerie après sa mission en Belgique, elles vont s'avérer totalement inutiles en raison du rythme plus rapide que prévu des opérations.
Abandonnées sans combat à une exception près, elles ne joueront aucun rôle en mai 1940 et auront vraiment été « des sentinelles inutiles ».
Elles n'en demeurent pas moins des témoins de cette période que le temps commence à faire disparaître. C'est pour éviter qu'elles disparaissent totalement des mémoires qu'il nous a semblé utile de les faire revivre au travers de cet ouvrage illustré de 225 photos et d'une quarantaine de cartes et plans.
Quand a commencé la paix après la Grande Guerre ? Comment se sont reconstituées les activités économiques, les sociabilités, les fêtes ? À partir de l'exemple des Ardennes, seul département occupé pendant toute la guerre, ravagé en 1918 par les combats de la libération, 20 chercheurs interrogent le retour à la normale.
La sortie de guerre est ici une longue période transitoire qui se poursuit pendant toute la décennie des années folles. La population traverse des années de résilience, entre espoir du retour à la quiétude passée et adaptation nécessaire à la réalité d'une société ébranlée.
Parce qu'ils ont utilisé les fonds d'archives qu'ils pratiquent chacun dans leur champ d'études (histoire sociale, politique, culturelle, religieuse, économique, etc.), les auteurs ont inscrit la situation ardennaise dans un cadre plus vaste. Leur regard éclaire ainsi la situation d'autres départements occupés ou/et sinistrés par les combats, voire la société française dans son ensemble.
818 rues, places, chemins, cours, squares, jardins, impasses, esplanades, ruelles, avenues, passages, boulevards, quais, ronds-points, ponts, carrefours... et 188 kilomètres de voirie.
Plus de 1000 odonymes sont rassemblés dans ce dictionnaire qui recense toutes les rues actuelles et anciennes de Troyes.
Qu'ils semblent familiers ou curieux, les noms des rues de notre belle ville de Troyes font partie de sa grande histoire et du patrimoine de ses habitants, des premiers temps à nos jours.
La particularité du département des Ardennes, c'est sa grande diversité de paysages et de biotopes qui peuvent radicalement changer en quelques kilomètres. Cet ouvrage vise à travers la description de dix grandes unités paysagères, à mettre en évidence le patrimoine naturel exceptionnel des Ardennes, pour faire prendre conscience au grand public de l'intérêt de le découvrir et de le préserver. Il ne s'agit pas d'un inventaire exhaustif du patrimoine naturel ardennais, mais plutôt, d'une balade esthétique accompagnée de la rigueur scientifique, s'appuyant sur un choix de sites précis que sont les ZNIEFF (zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique). Cet ouvrage a pour ambition de révéler, de partager, de donner envie de regarder, de parcourir, de comprendre et sauvegarder ce que les Ardennes ont de plus que nature.
Ce neuvième volume de Pictor, collection de l'AFPMA, constitue les actes du trente-et-unième colloque annuel de l'Association française pour la peinture murale antique qui s'est tenu à la Maison de l'outil et de la pensée ouvrière, à Troyes, à l'invitation de l'association Les Passeurs de fresques.
Au fil des vingt-cinq contributions de cet ouvrage, le lecteur suivra l'actualité des recherches touchant à la peinture romaine, qu'il s'agisse d'études toichographologiques, d'analyses iconographiques ou encore de travaux de recherche sur les techniques et les matériaux.
Selon l'habitude de ces rencontres, le volume explore les travaux effectués en France avec des découvertes toutes récentes, à Bretteville-l'Orgueilleuse, Évreux, Allonnes, Chartres, Bernolsheim, Charleville-Mézières... Des découvertes plus anciennes sont également réexaminées comme à Poitiers et à Villards-d'Héria.
La présentation d'exemples étrangers, en Italie, en Suisse, en Allemagne, en Espagne et jusqu'au Liban contribue à mettre en perspective ces peintures de Gaule avec le reste du monde romain.
Ce trente-et-unième colloque fut enfin l'occasion d'un hommage à Alix Barbet, directrice de recherche honoraire au CNRS, dont la longue carrière a contribué à faire émerger, en France et à l'étranger, la toichographologie, chaque jour un peu mieux prise en compte dans le cadre des opérations archéologiques.
Actes du colloque qui clôt le cycle culturel ArkéAube en septembre 2019 L'étude questionne la place particulière occupée par les sociétés ayant vécu sur ces terres du haut cours de la Seine, dans l'univers propre au bassin parisien. Parmi les grandes caractéristiques de cet espace géographique situé entre les héritages historiques que sont la Champagne et la Bourgogne, et qui a pris de multiples formes territoriales avant de devenir aubois, l'observateur devine la place prise par le bassin hydrogéologique de la Seine dans les activités humaines. Situé en tête du bassin-versant, l'espace aubois doit le partager avec d'autres espaces baignés par des vallées parallèles affluentes et parfois concurrentes, notamment l'Yonne, l'Aube et la Marne.
Dans un paysage ouvert, sans grande contrainte topographique, constitué de plaines aux terres fertiles et propices aux mouvements de populations, se dessine une histoire complexe, tiraillée entre moments de cohésion et épisodes de tensions. L'approche d'un tel sujet a privilégié, sur la base des données archéologiques les plus actuelles, l'exploration de trois facettes à des échelles variables de temps et d'espace : les ressources offertes par le milieu constituant le bassin de la Seine et rendues progressivement accessibles par le fruit des évolutions technologiques, le temps long de la mise en valeur et de l'exploitation du territoire en lien avec l'évolution de son peuplement, enfin les réalités variables de ce potentiel couloir d'échanges majeur du nord-ouest européen que représente la Seine et son bassin-versant.
L'ordre des vingt-trois contributions de ce volume reprend cette présentation, en respectant la trame chronologique.
Le déroulement des faits qui ont criblé la région de Trois-Ponts durant l'hiver 1944-1945 est à l'image du paysage encaissé et accidenté qui la caractérise : littéralement en dents de scie. Le fil de cette bataille n'y est pas une succession linéaire d'événements. Les lignes de front se chevauchent tour à tour, s'encerclent puis se défont. Les actions des deux camps se succèdent rapidement, en alternance ou simultanément. Par rapport à l'ensemble du paysage ardennais, le microcosme que constitue la région de Trois-Ponts, avec ses vallées et ses plateaux, dévoile un cadre géographique particulièrement intéressant dans la chronologie des combats de décembre 1944 à janvier 1945. Dans les vallées tortueuses de la Salm et de l'Amblève, actions et réactions des opposants se succèdent, se superposent durant plusieurs semaines dans des vallées, des villages d'Ardenne aux apparences changeantes. Les offensives, les contre-offensives de « la bataille des Ardennes » apparaissent alors comme « les batailles de l'Ardenne ». Chaque belligérant va devoir, l'un après l'autre, tenter prudemment et fébrilement de tirer le meilleur de chacune de ces batailles, sans jamais laisser se débloquer le verrou que constitue Trois-Ponts sur le secteur nord du front ardennais.
L'essentiel pour comprendre Perceval ou le conte de Graal de Chrétien de Troyes.
Cet ouvrage propose une étude approfondie de Perceval ou le conte de Graal de Chrétien de Troyes, les repères essentiels sur l'oeuvre et son auteur, des analyses thématiques, des prolongements vers d'autres textes et, en annexe, des informations complémentaires utiles à la compréhension de ce roman.
Ce livre est le résultat d'un travail de près de vingt ans. Sur la base de recherches au sein des archives officielles et d'interviews de vétérans, Richard Frognier retrace l'histoire oubliée de jeunes hommes ordinaires emportés dans la tourmente du plus grand conflit qu'a connu l'humanité. Cet ouvrage abondamment illustré retrace la vie quotidienne de ces soldats des troupes aéroportées américaines et les faits d'armes qu'ils ont accomplis au cours de la bataille des Ardennes.